 ... et inaccessible. Ceux qui l'ont approchée, la tiennent, au rebours, logée dans une belle plaine fertile et fleurissante, d'où elle voit bien sous soi toutes choses ; mais si...  Éloge de Montaigne - Page 26de François Antoine Jean Mazure - 1814 - 51 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
 | Henri Mazel - 1917 - 408 pages
...fleurissante où arrive qui en sçait l'adresse par des routes ombrageuses, gazonnées et doux fleurantes, plaisamment et d'une pente facile et polie comme est celle des voûtes célestes ». Même si l'on trouvait ces gentillesses trop continues, il serait bon de ne pas tourner bride si... | |
 | Edmond Estève, E. Guirand, René Harmand - 1921 - 516 pages
...en sait l'adresse (2), par des routes ombrageuses(3), gazonnées et doux fleurantes, plaisamment (4) et d'une pente facile et polie, comme est celle des voûtes célestes. Pour n'avoir hanté cette vertu suprême, belle, triomphante, amoureuse, délicieuse pareillement et courageuse,... | |
 | Michel de Montaigne - 1924 - 552 pages
...peut-on y arriver, qui en sait l'adresse, par des routes ombreuses, gazonnées et doux fleurantes, et d'une pente facile et polie, comme est celle des voûtes célestes. » Ce changement, ajoute M. Villey, dans l'opinion de Montaigne sur la vertu, résulte et est le signe... | |
 | Emile Abry, Charles Audic, Paul Crouzet - 1912 - 688 pages
...peut-on y arriver, qui en sait l'adresse, par des routes ombrageuses, gazounées et doux fleurantes, plaisamment et d'une pente facile et polie, comme est celle des voûtes célestes (I, 25). Une honnêteté aimable, une âme libre et pondérée, voilà ce qu'il faut chercher à donner... | |
 | 115 pages
...peut-on y arriver, qui en sait l'adresse, par des routes ombrageuses, gazonnées et doux fleurantes, plaisamment et d'une pente facile et polie, comme est celle des voûtes célestes. Pour n'avoir hanté cette vertu suprême, belle, triomphante, amoureuse, délicieuse pareillement et courageuse,... | |
 | University of Bombay - 1909 - 354 pages
...on y arriver« qui en sçait l'addresse, par des routtes ombrageuses, gazonnees et doux fleurantes, plaisamment et d'une pente facile et polie, comme est celle des voûtes célestes. Pour n'avoir hanté cette vertu supreme, belle, criumphante,..., ayant pour guide nature, fortune et volupté... | |
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