| 1843 - 800 páginas
...l'arc aux cerfs. — « Louis XV, rassasié des con<|ue4es que lui offrait la cour, fut conduit par une imagination dépravée à former pour ses plaisirs...élégantes, bâties dans un enclos nommé le Parc aux cerfs, recevaient les femmes qui attendaient les embrassements de leur maître. On y conduisait de... | |
| Philippe Le Bas - 1843 - 770 páginas
...Parc aux cerfs. — « Louis XV, rassasié des conquêtes que lui offrait la cour, fut conduit par une imagination dépravée à former pour ses plaisirs...élégantes, bâties dans un enclos nommé le Parc aux cerfs , recevaient les femmes qui attendaient les embrassements de leur maître. On y conduisait de... | |
| Charles Lacretelle - 1844 - 770 páginas
...rassasié des conquêtes que lui offrait s« infime. _ i . * * , . . désordres. la cour, rut conduit par une imagination dépravée à former pour ses plaisirs...désordre. Quelques maisons élégantes , bâties dans uu enclos nommé le P arc-aux-Cerfs, recevaient les femmes qui attendaient les embrassemens de leur... | |
| HENRI MARTIN - 1859 - 624 páginas
...de Versailles 1 , t Ce fut là l'origine d'un établissement tellement infâme, dit un historien a , qu'après avoir peint les excès de la Régence, on ne sait encore comment exprimer ce genre de désordres... On y conduisait de jeunes filles vendues par leurs parents, ou qui leur étaient arrachées...... | |
| Henri Martin - 1859 - 628 páginas
...de Versailles ' . « Ce fut là l'origine d'un établissement tellement infâme, dit un historien 2, qu'après avoir peint les excès de la Régence, on ne sait encore comment exprimer ce genre de désordres... On y conduisait de jeunes filles vendues par leurs parents, ou qui leur étaient arrachées...... | |
| Charles-Jean-Dominique de Lacretelle (Le jeune) - 1812 - 416 páginas
...flétries dans l'histoire. Louis , rassasié des conquêtes que lui of- s* frait la cour, fut conduit par une imagination dépravée à former pour ses plaisirs...maisons élégantes , bâties dans un enclos nommé le Parc-auxCerfs, recevaient les femmes qui attendaient les embrassemens de leur maître. On y conduisait... | |
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