Leurs années se poussent successivement comme des flots ; ils (3) ne cessent de s'écouler; tant qu'enfin, après avoir fait un peu plus de bruit et traversé un peu plus de pays les uns que les autres, ils vont tous ensemble se confondre dans un abîme,... Oeuvres completes de Condillac - Página 317de Etienne Bonnot de Condillac - 1827Vista completa - Acerca de este libro
| Gabrielle Beuvain d'Altenheym - 1860 - 430 páginas
...retour. En effet nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine, et cette origine est petite. Leurs aimées se poussent successivement comme des flots; ils ne cessent de s'écouler, tant qu'enfin, après... | |
| Adolphe Mazure - 1861 - 376 páginas
...retour. En effet, nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine,...années se poussent successivement comme des flots ; elles ne cessent de s'écouler; tant qu'enfin, après avoir t'ait un peu plus de bruit, et traversé... | |
| Charles Pierre Girault-Duvivier - 1863 - 692 páginas
...doit respecter dans « la suite des siècles? * — « De quelques superbes distinctions que • se flattent les hommes, ils ont tous une même origine, et cette « origine est petite. * 11 en est de même d'un discours direct que l'on cite, quoiqu'il suit précédé d'une ponctuation... | |
| Académie française - 1865 - 818 páginas
...une même origine, et cette origine est-petite; leurs années se poussent successivement comme les flots, ils ne cessent de s'écouler; tant qu'enfin,...fait un peu plus de bruit et traversé un peu plus îlepays les uns que les autres, ils vont tous ensemble «• confondre dans un abisme où l'on ne... | |
| François-Xavier Feller - 1867 - 640 páginas
...« effet, nous ressemblons tous à des « eaux courantes. De quelque superbe « distinction que se flattent les hommes, » ils ont tous une même origine...Leurs années se • poussent successivement comme des < flols: ils ne cessent de s'écouler, uni • qu'enfin après avoir fait un peu plu» • de bruit... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1872 - 388 páginas
...*. » En effet, nous ressemblons tous à des eaux courantes *. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine ; et cette origine est petite. Leurs années 1 « La princesse que nous pleurons, etc. » Transition simple. En général, cependant, le souvenir... | |
| Augustin Jean Hurel - 1872 - 884 páginas
...distingué que la princesse dont je parle? • Et encore : « De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine, et cette origine eit petite. » 1. A Saint-Germain, dev. le roi. I™ partie. tous, et que le pauvre soit assuré par... | |
| Léon Jacques Feugère - 1877 - 516 páginas
...retour. » En effet, nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes, ils ont tous une même origine,...Leurs années se poussent successivement comme des flots1 : ils ne cessent de s'écouler; tant qu'enfin, après avoir fait un peu plus de bruit et traversé... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - 1878 - 500 páginas
...retour1. » En effet, nous ressemblons tous à des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se flattent les hommes , ils ont tous une même origine ; et cette origine est petite. Leufs années se poussent successivement comme des flots : ils ne cessent de s'écouler ; tant qu'enfin... | |
| Jacques Bénigne Bossuet, Armand Gasté - 1883 - 400 páginas
...des eaux courantes. De quelque superbe distinction que se fiatent les hommes, ils ont tous une mesme origine; et cette origine est petite. Leurs années...flots : ils ne cessent de s'écouler; tant qu'enfin, aprés avoir fait un peu plus de bruit et traversé un peu plus de païs les uns que les autres, ils... | |
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