J'aimais jusqu'à ses pleurs que je faisais couler. Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce ; j'employais les soupirs, et même la menace. Voilà comme occupé de mon nouvel amour, Mes yeux sans se fermer ont attendu le jour. Mais je m'en... Œuvres - Página 371de Jean Racine - 1767Vista completa - Acerca de este libro
| Jean Racine - 1884 - 184 páginas
...J'employais les soupirs, et même la meuace. Voilà comme, occupé de mon nouvel amour, Mes yeux sans se fermer ont attendu le jour. Mais je m'en fais peut-être une trop belle imag» ; Elle m'est apparue avec trop d'avantage : Narcisse, qu'en dis-tu ./ NARCISSE. Quoi, Seigneur... | |
| Émile Auguste Étienne Martin Deschanel - 1884 - 370 páginas
...je faisais couler. Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce: J'employais los soupirs, et même la menace. Voilà comme, occupé de mon nouvel amour, Mes yeux sans se fermer ont attendu le jour. Néron, par la vivacité de sa passion, devient poète sans y songer... | |
| Émile Auguste Étienne Martin- Deschanel - 1884 - 376 páginas
...faisais couler. Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce : J'employais les soupirs, et même la menace. Voilà comme, occupé de mon nouvel amour, Mes yeux sans se fermer ont attendu le jour. Néron, par la vivacité de sa passion, devient poète sans y songer... | |
| Jean Racine - 1886 - 86 páginas
...croyais lui parler; Quelquefois, mais trop tard, je lui demandois grâce : J'employois les soupirs, et même la menace. Voilà comme, occupé de mon nouvel amour, Mes yeux, sans se fermer, ont attendu le jour. > /'< Mais je m'en fais peut-être une trop belle image Elle m'est... | |
| Jacques Demogeot - 1889 - 576 páginas
...je faisais couler. Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce; J'employais les soupirs, et même la menace. Voilà comme, occupé de mon nouvel amour, Mes yeux, sans se fermer, ont attendu le jour. Mais je m'en fais peut-être une trop belle image; Elle m'est... | |
| Emile Deschanel - 1891 - 374 páginas
...je faisais couler. Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce: J'employais les soupirs, et même la menace. Voilà comme, occupé de mon nouvel amour, Mes yeux sans se fermer ont attendu le jour. Néron, par la vivacité de sa passion, devient poète sans y songer... | |
| Jean Racine - 1896 - 154 páginas
...faisais couler, so Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce ; J'employais les soupirs, et même la menace. Voilà comme, occupé de mon nouvel amour, Mes yeux sans se fermer ont attendu le jour. Mais je m'en fais peut-être une trop belle image; 35 Elle m'est... | |
| Jean Racine - 1903 - 380 páginas
...J'employais les soupirs, et même la menace. Voilà comme, occupé de mon nouvel amour, 405 Mes yeux, sans se fermer, ont attendu le jour. Mais je m'en fais peut-être une trop belle image ; Elle m'est apparue avec trop d'avantage : Narcisse, qu'en dis-tu ? NARCISSE. Quoi, Seigneur ? croira-t-on... | |
| 182 páginas
...je faisais couler. Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce; J'employais les soupirs, et même la menace. Voilà comme, occupé de mon nouvel amour, Mes yeux, sans se fermer, ont attendu le jour. Mais je m'en fais peut-etre une trop belle image; Elle m'est apparue... | |
| Anne Cassou-Noguès, Marie-Aude de Langenhagen - 2004 - 292 páginas
...faisais couler. Quelquefois, mais trop tard, je lui demandais grâce ; j'employais les soupirs, et même la menace. Voilà comme occupé de mon nouvel amour, Mes yeux sans se fermer ont attendu le jour. Mais je m'en fais peut-être une trop belle image. Elle m'est apparue... | |
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