Vous vous imaginez donc être plus que moi ; quelques valets sans doute vous l'auront dit; 'et moi, je ne crains pas de vous dire, puisque vous m'y forcez, que je suis plus que vous. Vous comprenez assez qu'il n'est pas ici question de la naissance. La Mosaïque du midi: publication mensuelle - Page 225publié par - 1839Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| François de Salignac de la Mothe Fénelon (abp. of Cambrai.) - 1878 - 738 pages
...ignorez l'un et l'autre. Vous vous « imaginez donc, monsieur, être plus que moi ? Quelques « valets , sans doute , vous l'auront dit ; et moi je ne crains « pas de v*us dire , puisque vous m'y forcez , que je suis « puis que vous. Vous comprenez assez qu'il n'est... | |
| François de Salignac de La Mothe- Fénelon - 1882 - 710 pages
...ignorez l'un et l'autre. Vous vous « imagine/, donc, monsieur, être plus que moi? Quelques « valets , zW ?ȿF [ R ; {ꛪ I =N) U `I p ( z H K M u1 3 oQ6 . - \ ]...$ LN3`1 R G> ҩ + | U?n ܫ % N ? Q 4IT « question ¡ci de la naissance. Vous regarderiez comme « un insensé celui qui prétendrait se faire... | |
| François Guizot - 1887 - 600 pages
...l'autre. Vous vous imaginez, monsieur, être plus que moi ; quelques valets, sans doute, vous l'ont dit, et moi je ne crains pas de vous dire, puisque...Vous comprenez assez qu'il n'est pas ici question de naissance. Vous regarderiez comme un insensé celui qui prétendrait se faire un mérite de ce que... | |
| François Guizot - 1887 - 594 pages
...l'autre. Vous vous imaginez, monsieur, être plus que moi ; quelques valets, sans doute, vous l'ont dit, et moi je ne crains pas de vous dire, puisque...Vous comprenez assez qu'il n'est pas ici question de naissance. Vous regarderiez comme un insensé celui qui prétendrait se faire un mérite de ce que... | |
| Victor Kastner - 1889 - 312 pages
...vous ignorez l'un et l'autre. Vous vous imaginez donc, monsieur, être plus que moi ; quelques valets, sans doute, vous l'auront dit, et moi je ne crains...plus que vous. Vous comprenez assez qu'il n'est pas question ici de naissance ; vous regarderiez comme un insensé celui qui prétendrait se faire un mérite... | |
| Théodore-Henri Barrau - 1894 - 470 pages
...apprendre que vous ignorez l'un et l'autre. Vous vous imaginez donc être plus que moi ? quelques valets vous l'auront dit ; et moi je ne crains pas de vous...assez qu'il n'est pas ici question de la naissance, qui n'ajoute rien au mérite. Vous ne sauriez douter que je suis au-dessus de vous par les lumières... | |
| Victor Kastner - 1894 - 296 pages
...vous ignorez l'un et l'autre. Vous vous imaginez donc, monsieur, être plus que moi ; quelques valets, sans doute, vous l'auront dit, et moi je ne crains...plus que vous. Vous comprenez assez qu'il n'est pas question ici de naissance ; vous regarderiez comme un insensé celui qui prétendrait se faire un mérite... | |
| Victor Kastner - 1894 - 296 pages
...puisque vous m'y forcez, que je suis plus que vous. Vous comprenez assez qu'il n'est pas question ici de naissance ; vous regarderiez comme un insensé celui qui prétendrait se faire un mérite de ce que la pluie a fertilisé sa moisson, sans arroser celle de son voisin. Vous ne seriez pas plus... | |
| 1897 - 828 pages
...ignorez l'un et 1 autre. Vous vous imaginiez donc, Monsieur, être plus que moi ; quelques valets, sans doute, vous l'auront dit : et moi, je ne crains...insensé celui qui prétendrait se faire un mérite de ce que la pluie du ciel a fertilisé sa moisson, sans arroser celle de son voisin. Vous ne seriez... | |
| Henri Druon - 1897 - 524 pages
...Vous vous imaginez donc, Monsieur, « être plus que moi ? Quelques valets sans doute vous Pau« ront dit ; et moi je ne crains pas de vous dire, puisque...insensé celui qui prétendrait se faire un mérite « de ce que la pluie du ciel a fertilisé sa moisson, sans arro« ser celle du voisin. Vous ne seriez... | |
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