Histoire de France depuis les temps les plus reculés jusqu'en 1789, Volumen 6 |
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... voyait toujours « brandiller » quatre - vingts ou cent cadavres ' . Il est impossible de peindre l'excès de désespoir auquel la sol- datesque réduisait les habitants des campagnes : les Anglais ache- vaient ce qu'avaient commencé les ...
... voyait toujours « brandiller » quatre - vingts ou cent cadavres ' . Il est impossible de peindre l'excès de désespoir auquel la sol- datesque réduisait les habitants des campagnes : les Anglais ache- vaient ce qu'avaient commencé les ...
Página 90
... voyait plus s'effaçait à l'instant de sa pensée ; si son esprit était capable de réflexion et de sou- venir , jamais homme n'eut moins que lui la mémoire du cœur ; il était ingrat , moins par perversité réfléchie que par impuissance ...
... voyait plus s'effaçait à l'instant de sa pensée ; si son esprit était capable de réflexion et de sou- venir , jamais homme n'eut moins que lui la mémoire du cœur ; il était ingrat , moins par perversité réfléchie que par impuissance ...
Página 98
... voyait que champs en friche et villages déserts . Les bois , les hal- liers et les broussailles regagnaient de toutes parts le terrain que leur avaient enlevé l'accroissement de la population et les progrès de l'agriculture3 . L'argent ...
... voyait que champs en friche et villages déserts . Les bois , les hal- liers et les broussailles regagnaient de toutes parts le terrain que leur avaient enlevé l'accroissement de la population et les progrès de l'agriculture3 . L'argent ...
Página 104
... voyait , entre les gentilshommes d'Artois et de Picardie , jusqu'à des capitaines dauphinois accourus joyeuse- ment pour guerroyer contre les Anglais sous les bannières de Bourgogne Pothon de Saintrailles était du nombre . La querelle ...
... voyait , entre les gentilshommes d'Artois et de Picardie , jusqu'à des capitaines dauphinois accourus joyeuse- ment pour guerroyer contre les Anglais sous les bannières de Bourgogne Pothon de Saintrailles était du nombre . La querelle ...
Página 122
... voyait trop le parti que les ennemis tireraient de sa possession . Un heu- reux événement vint , le lendemain , faire diversion aux alarmes des Orléanais ce fut l'entrée d'un renfort que le bâtard d'Orléans et La Hire étaient allés ...
... voyait trop le parti que les ennemis tireraient de sa possession . Un heu- reux événement vint , le lendemain , faire diversion aux alarmes des Orléanais ce fut l'entrée d'un renfort que le bâtard d'Orléans et La Hire étaient allés ...
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Términos y frases comunes
Anglais archers Armagnacs armée assiégés avaient avoit bailli Bâle Basin bataille bâtard Berri Bour Bourbon Bourguignons c'était capitaines Cauchon chancelier Charles VII Chartier château chefs chose Compiègne comte de Charolais concile connétable conseil couronne d'Angleterre d'Armagnac d'Arras dauphin Dauphinois Déposition devant Dieu duc d'Alençon duc de Bedford duc de Bourgogne duc de Bretagne duc Jean duc Philippe Duclercq Dunois ennemis envoyés étoient étoit eût évêques femme Flandre française frère garnison gens d'armes Georges Chastellain Glocester gogne gouvernement Guyenne Harfleur Henri hommes Jacques Cœur Jean Bureau Jean Chartier Jean-sans-Peur Jeanne Darc l'armée l'Église l'évêque Loire Louis XI main manda maréchal ment mille Monstrelet mort n'avait n'était Normandie Ordonn Orléans paix pape passer Perceval de Cagni peuple Picardie Pierre Cauchon princes Procès Pucelle Reims reste Richemont Rouen royale royaume s'était saint Saint-Denis Saint-Pol seigneurs seulement siége d'Orléans sire soldats Talbot Tannegui Thomas Basin tion Trémoille Troies troupes Winchester
Pasajes populares
Página 386 - bien appointé, n lorsque les ducs de Bourbon et d'Alençon, les comtes de Vendôme et de Dunois quittèrent brusquement la cour, qui était à Angers, et se retirèrent à Blois. Les ennemis de l'ordre, grands et petits, écorcheurs et princes, s'étaient entendus : une conspiration s'était ourdie pour arracher encore une fois au roi ses conseillers , non plus , comme auparavant , parce qu'ils perdaient la France , mais parce qu'ils la servaient trop bien. La Trémoille était l'âme du complot...
Página 207 - Un matin (le 23 août), elle appela le duc d'Alençon : « Mon beau duc, faites appareiller vos gens et ceux des autres capitaines. Par mon martin, je veux aller voir Paris de plus près que je ne l'ai vu!
Página 159 - Pucelle qui est cy envoiée de par Dieu, le Roy du ciel, les clefs de toutes les bonnes villes que vous avez prises et violées en France. Elle est cy venue de par Dieu pour réclamer le sang royal.
Página 277 - I, pp. 376, 378. tions qu'elle avait eues de par Dieu, saint Michel, saintes Catherine et Marguerite. Et, comme on lui demandait une fois encore si elle soumettait soi et ses actes à notre sainte mère l'Église, elle répondit : — Quelque chose qui m'en doive advenir, je n'en ferai ou dirai autre chose que ce que j'ai déjà dit au procès1.
Página 173 - Les incertitudes, les fluctuations du roi la désolaient. « Quand elle étoit trop affligée, elle se tiroit à part et se plaignoit à Dieu de ce qu'on ne la croyoit point, et, son oraison faite, elle entendoit une voix disant: Fille Dé (fille de Dieu), va, va, va; je serai à ton aide; va!
Página 144 - Le philosophe pourrait soutenir que l'illusion de l'inspiré consiste à prendre pour une révélation apportée par des êtres extérieurs, anges, saints ou génies, les révélations intérieures de cette personnalité infinie qui est en nous, et qui parfois, chez les meilleurs et les plus grands, manifeste par éclairs des forces latentes dépassant presque sans mesure les facultés de notre condition actuelle.
Página 147 - Car personne au monde, ni roi, ni ducs, ni fille du roi d'Ecosse, ne peuvent reprendre le royaume de France, et il n'ya pour lui de secours que moi-même, quoique j'aimasse mieux rester à filer près de ma pauvre mère; car ce n'est pas là mon ouvrage; mais il faut que j'aille et que je le fasse, parce que mon Seigneur le veut.
Página 188 - Enfin, gentil roi, ores est exécuté le plaisir de Dieu, qui voulait que vous vinssiez à Reims recevoir votre digne sacre, en montrant que vous êtes vrai roi, et celui auquel le royaume doit appartenir.
Página 160 - Je suis ci envoyée de par Dieu, le roi du ciel, corps pour corps, POUR vous BOUTER HORS DE TOUTE FRANCE'.
Página 294 - ... et arracher les cheveux : « Hélas ! me traite-t-on ainsi horriblement et cruellement, qu'il faille que mon corps net en entier, qui ne fut jamais corrompu, soit aujourd'hui consumé et rendu en cendres...