Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volumes 25 à 26Paulin, 1836 |
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... maire , des détails de l'expédition . > › Ainsi le pillage , horrible avant - coureur de plus grands maux , s'est exercé paisiblement , sous les yeux des autorités con- stituées , et sans que la force armée secourût les lois expirantes ...
... maire , des détails de l'expédition . > › Ainsi le pillage , horrible avant - coureur de plus grands maux , s'est exercé paisiblement , sous les yeux des autorités con- stituées , et sans que la force armée secourût les lois expirantes ...
Page 57
... est suspendue ; il est sept heures . Du dimanche 10 , à neuf heures du soir . [ Le maire et le commandant - général Santerre sont introduits à la barre . Pache . J'ai été instruit dans le courant de la MARS ( 1793 ) . 57.
... est suspendue ; il est sept heures . Du dimanche 10 , à neuf heures du soir . [ Le maire et le commandant - général Santerre sont introduits à la barre . Pache . J'ai été instruit dans le courant de la MARS ( 1793 ) . 57.
Page 58
... maire , la députation du conseil - général et le commandant Santerre , invités aux honneurs de la séance , traversent la salle et se rendent à leurs fonctions . On reprend la discussion sur l'organisation du tribunal révo- lutionnaire ...
... maire , la députation du conseil - général et le commandant Santerre , invités aux honneurs de la séance , traversent la salle et se rendent à leurs fonctions . On reprend la discussion sur l'organisation du tribunal révo- lutionnaire ...
Page 79
... maire , j'avais convoqué les citoyens ; l'as- semblée se trouva très - nombreuse . En attendant l'arrivée des commissaires , chacun proposa les réclamations qu'il croyait de- voir être faites . Les esprits s'échauffèrent par ces motions ...
... maire , j'avais convoqué les citoyens ; l'as- semblée se trouva très - nombreuse . En attendant l'arrivée des commissaires , chacun proposa les réclamations qu'il croyait de- voir être faites . Les esprits s'échauffèrent par ces motions ...
Page 93
... maire de Paris rendrait compte des faits . Sur la seconde , vous passâtes à l'ordre du jour . J'oserai vous le dire , citoyens , votre faiblesse ou votre insouciance ont failli vous perdre . Le club des Cordeliers prend un arrêté que l ...
... maire de Paris rendrait compte des faits . Sur la seconde , vous passâtes à l'ordre du jour . J'oserai vous le dire , citoyens , votre faiblesse ou votre insouciance ont failli vous perdre . Le club des Cordeliers prend un arrêté que l ...
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Expressions et termes fréquents
accusés adresse agens annonce applaudissemens applaudit armées assemblées assignats avaient avez avril Belgique Beurnonville Brissot Buzot calomnie ci-devant citoyens civisme club CLUB DES JACOBINS comité de défense comité de législation comité de salut commissaires Commune conseil arrête conseil exécutif conseil-général conspiration constitution contre-révolutionnaires Convention nationale crime d'Orléans Danton déclare décret d'accusation défense générale demande dénoncé départemens département députés despotisme discussion Dumourier ennemis envoyé état d'arrestation faction Fayette Gensonné Girondins Guadet guerre hommes j'ai Jacobins journal jurés l'armée l'assemblée l'ordre du jour Lasource législative lettre liberté maire Marat Mauny membres ment mesures ministre motion moyens municipalité murmures nation nommé passe à l'ordre patriotes perfide Pétion pétition pétitionnaires présenter président projet propose proposition républicains République révolution Robespierre Roland salle salut public sans-culottes sauver la patrie scélérats séance section de Bon-Conseil sera seront seul Sillery société soient sûreté Thuriot tion toyens traîtres tribunal révolutionnaire tribune tyran vention Vergniaud voix
Fréquemment cités
Page 94 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 59 - Paris un tribunal criminel extraordinaire qui connaîtra de toute entreprise contre-révolutionnaire, de tout attentat contre la liberté, l'égalité, l'unité, l'indivisibilité de la République, la sûreté intérieure et extérieure de l'Etat, et de tous les complots tendant à rétablir la royauté ou à établir toute autre autorité attentatoire à la liberté, à l'égalité et à la souveraineté du peuple , soit que les accusés soient fonctionnaires civils ou militaires, ou simples citoyens.
Page 131 - La propriété est le droit qu'a chaque citoyen de jouir et de disposer de la portion des biens qui lui est garantie par la loi.
Page 131 - Pourquoi notre déclaration des droits semblerait-elle présenter la même erreur en définissant la liberté, « le premier des biens de l'homme, le plus sacré des droits qu'il tient de la nature. » Nous avons dit avec raison qu'elle avait pour bornes les droits d'autrui ; pourquoi n'avez-vous pas appliqué ce principe à la propriété, qui est une institution sociale, comme si les lois éternelles de la nature étaient moins inviolables que les conventions des hommes ? Vous avez multiplié les...
Page 95 - Aucune portion du peuple ne peut exercer la puissance du peuple entier; mais chaque section du souverain assemblée doit jouir du droit d'exprimer sa volonté avec une entière liberté. 27. Que tout individu qui usurperait la souveraineté soit à l'instant mis à mort par les hommes libres.
Page 97 - Ceux qui font la guerre à un peuple pour arrêter les progrès de la liberté et anéantir les droits de l'homme, doivent être poursuivis par tous, non comme des ennemis ordinaires, mais comme des assassins et des brigands rebelles.
Page 96 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Page 97 - Les rois, les aristocrates, les tyrans quels qu'ils soient, sont des esclaves révoltés contre le souverain de la terre, qui est le genre humain, et contre le législateur de l'univers, qui est la nature...
Page 440 - Fuyez la manie ancienne des gouvernements de vouloir trop gouverner ; laissez aux individus, laissez aux familles le droit de faire ce qui ne nuit point à autrui ; laissez aux communes le pouvoir de régler elles-mêmes leurs propres affaires, en tout ce qui ne tient point essentiellement à l'administration générale de la république. En un mot, rendez à la liberté individuelle tout ce qui n'appartient pas naturellement à l'autorité publique, et vous aurez laissé d'autant moins de prise...
Page 130 - ... l'extrême disproportion des fortunes est la source de bien des maux et de bien des crimes, mais nous n'en sommes pas moins convaincus que l'égalité des biens est une chimère. Pour moi, je la crois moins nécessaire encore au bonheur privé qu'à la félicité publique. Il s'agit bien plus de rendre la pauvreté honorable que de proscrire l'opulence.