Œuvres de Jean Racine..: BritannicusDe l'Imprimerie de A. Belin., 1810 |
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... Rome ou dans ma cour . Allez cet ordre importe au salut de l'empire . ( aux gardes . ) Vous , Narcisse , approchez . Et vous , qu'on se retire . SCÈNE II . NERON , NARCISSE . NARCISSE . GRACES ACTE SECOND . SCÈNE I. ...
... Rome ou dans ma cour . Allez cet ordre importe au salut de l'empire . ( aux gardes . ) Vous , Narcisse , approchez . Et vous , qu'on se retire . SCÈNE II . NERON , NARCISSE . NARCISSE . GRACES ACTE SECOND . SCÈNE I. ...
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... empire ? NARCISSE . Je ne sais . Mais , seigneur , ce que je puis vous dire , Je l'ai vu quelquefois s'arracher de ces lieux , Le cœur plein d'un courroux qu'il cachoit à vos yeux , D'une cour qui le fuit pleurant l'ingratitude , Las de ...
... empire ? NARCISSE . Je ne sais . Mais , seigneur , ce que je puis vous dire , Je l'ai vu quelquefois s'arracher de ces lieux , Le cœur plein d'un courroux qu'il cachoit à vos yeux , D'une cour qui le fuit pleurant l'ingratitude , Las de ...
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... empire vainement demande un héritier . NARCISSE . Que tardez - vous , seigneur , à la répudier ? L'empire , votre cœur , tout condamne Octavie . Auguste votre aïeul soupiroit pour Livie : Par un double divorce ils s'unirent tous deux ...
... empire vainement demande un héritier . NARCISSE . Que tardez - vous , seigneur , à la répudier ? L'empire , votre cœur , tout condamne Octavie . Auguste votre aïeul soupiroit pour Livie : Par un double divorce ils s'unirent tous deux ...
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... empire . Flus j'ai cherché , madame , et plus je cherche encor Fn quelles ' mains je dois confier ce trésor ; Plus je vois que César , digne seul de vous plaire , En doit être lui seul l'heureux dépositaire , Et ne ACTE II , SCENE III . 47.
... empire . Flus j'ai cherché , madame , et plus je cherche encor Fn quelles ' mains je dois confier ce trésor ; Plus je vois que César , digne seul de vous plaire , En doit être lui seul l'heureux dépositaire , Et ne ACTE II , SCENE III . 47.
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... empire des humains . Vous - même , consultez vos premières années ; Claudius à son fils les avoit destinées ; Mais c'étoit en un temps où de l'empire entier Il croyoit quelque jour le nommer l'héritier . Les dieux ont prononcé . Loin de ...
... empire des humains . Vous - même , consultez vos premières années ; Claudius à son fils les avoit destinées ; Mais c'étoit en un temps où de l'empire entier Il croyoit quelque jour le nommer l'héritier . Les dieux ont prononcé . Loin de ...
Términos y frases comunes
ACOMAT Adieu AGRIPPINE aime ALBINE Allez amant amour Amurat ANTIOCH ANTIOCHUS ARBATE ARCAS ARSACE ATALIDE avoit Bajazet BÉRÉNICE bontés Bosphore BRITANNICUS BURRHUS César cher chercher cœur connois cour courroux crime cruel d'Agrippine dessein dieux dis-je discours disgrace douleur empereur enfin ennemi esclave étoit fidèle fils frère funeste fureur gloire grace haine Hélas heureux hymen ingrat j'ai j'ose jaloux jour JUNIE l'aime l'amour l'empire l'ingrat l'univers laisse larmes lieux long-temps m'aime m'en madame main malheur MITHRIDATE moi-même MONIME mort NARCISSE Néron Oh ciel Orcan OSMIN Pallas par-tout parler paroître Parthe PAULIN pensée père perfide périls peut-être Pharnace PHÉNICE PHOEDIME plaire pleurs pouvoit prêt prince prompt puis-je qu'à reine rien rival Romains Rome ROXANE s'il sais sang SCÈNE VII secret seigneur sénat Sénèque seul soins sort soupçons soupirs sultan tendresse TITUS tragédie trépas triste trône trouble vais vertu veut veux vizir vœux vois vous-même Xipharès yeux ZAIRE ZATIME
Pasajes populares
Página 14 - Au lieu d'une action simple, chargée de peu de matière, telle que doit être une action qui se passe en un seul jour, et qui s'avançant par degrés vers sa fin, n'est soutenue que par les intérêts, les sentiments et les passions des personnages...
Página 130 - On sait qu'elle est charmante, et de si belles mains Semblent vous demander l'empire des humains ; Elle a même, dit-on, le cœur d'une Romaine ; Elle a mille vertus ; mais, seigneur, elle est reine...
Página 186 - L'éloignement des pays répare en quelque sorte la trop grande proximité des temps. Car le peuple ne met guère de différence entre ce qui est, si j'ose ainsi parler, à mille ans de lui, et ce qui en est à mille lieues.
Página 108 - Il y en a qui pensent que cette simplicité est une marque de peu d'invention. Ils ne songent pas qu'au contraire toute l'invention consiste à faire quelque chose de rien...
Página 163 - ... M'ordonnât elle-même une absence éternelle. Moi-même j'ai voulu vous entendre en ce lieu. Je n'écoute plus rien : et, pour jamais, adieu.... Pour jamais! Ah seigneur ! songez-vous en vous-même Combien ce mot cruel est affreux quand on aime ? Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ; Que le jour recommence et que le jour finisse ' Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice, Sans que de tout le jour je puisse voir Titus?
Página 108 - ... l'invention consiste à faire quelque chose de rien, et que tout ce grand nombre d'incidents a toujours été le refuge des poètes qui ne sentaient dans leur génie ni assez d'abondance ni assez de force pour attacher durant cinq actes leurs spectateurs par une action simple, soutenue de la violence des passions, de, la beauté des sentiments et de l'élégance de l'expression.
Página 82 - Seigneur, j'ai tout prévu pour une mort si juste : Le poison est tout prêt. La fameuse Locuste A redoublé pour moi ses soins officieux : Elle a fait expirer un esclave à mes yeux; Et le fer est moins prompt, pour trancher une vie, Que le nouveau poison que sa main me confie.
Página 107 - Il y avait longtemps que je voulais essayer si je pourrais faire une tragédie avec cette simplicité d'action qui a été si fort du goût des anciens. Car c'est un des premiers préceptes qu'ils nous ont laissés : "Que ce que vous ferez, dit Horace, soit toujours simple et ne soit qu'un.
Página 311 - C'est là qu'en arrivant, plus qu'en tout le chemin, Vous trouverez partout l'horreur du nom romain, Et la triste Italie encor toute fumante Des feux qu'a rallumés sa liberté mourante*. Non, Princes, ce n'est point au bout de l'univers Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers; Et de près inspirant les haines les plus fortes, Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes.
Página 96 - Poursuis , Néron : avec de tels ministres, Par des faits glorieux tu te vas signaler ; /. ' Poursuis. Tu n'as pas fait ce pas pour reculer : Ta main a commencé par le sang de ton frère ; le prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère : Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais ;. Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.