PoemsSaunders and Otley, 1848 - 199 páginas |
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... J'ai les ailes de l'espérance : Échappée aux réseaux de l'oiseleur cruel , Plus vive , plus heureuse , aux campagnes du ciel , Philomèle chante et s'élance . " Est - ce à moi de mourir ? Tranquille je m'endors , Et tranquille je veille ...
... J'ai les ailes de l'espérance : Échappée aux réseaux de l'oiseleur cruel , Plus vive , plus heureuse , aux campagnes du ciel , Philomèle chante et s'élance . " Est - ce à moi de mourir ? Tranquille je m'endors , Et tranquille je veille ...
Página 154
... Et de songes si beaux enivrant son sommeil , Ne se reconnoît plus au moment du réveil . Hélas ! tel fut ton sort , telle est ma destinée . J'ai vidé comme toi la coupe empoisonnée ; Accents of joy , and praise , and holy song 154 MAN .
... Et de songes si beaux enivrant son sommeil , Ne se reconnoît plus au moment du réveil . Hélas ! tel fut ton sort , telle est ma destinée . J'ai vidé comme toi la coupe empoisonnée ; Accents of joy , and praise , and holy song 154 MAN .
Página 156
... J'ai cherché vainement le mot de l'univers . J'ai demandé sa cause à toute la nature , J'ai demandé sa fin à toute créature ; Dans l'abîme sans fond mon regard a plongé ; De l'atome au soleil , j'ai tout interrogé ; J'ai devancé les temps , ...
... J'ai cherché vainement le mot de l'univers . J'ai demandé sa cause à toute la nature , J'ai demandé sa fin à toute créature ; Dans l'abîme sans fond mon regard a plongé ; De l'atome au soleil , j'ai tout interrogé ; J'ai devancé les temps , ...
Página 158
... J'ai cru que la nature , en ces rares spectacles , Laissoit tomber pour nous quelqu'un de ses oracles ; J'aimois à m ... J'ai vu par - tout un Dieu sans jamais le comprendre . J'ai vu le bien , le mal , sans choix et sans dessein ...
... J'ai cru que la nature , en ces rares spectacles , Laissoit tomber pour nous quelqu'un de ses oracles ; J'aimois à m ... J'ai vu par - tout un Dieu sans jamais le comprendre . J'ai vu le bien , le mal , sans choix et sans dessein ...
Página 160
... J'ai reconnu ta voix avant de me connoître , Je me suis élancé jusqu'aux portes de l'être : Me voici le néant te salue en naissant ; Me voici ! mais que suis - je ? un atome pensant ! Qui peut entre nous deux mesurer la distance ? Moi ...
... J'ai reconnu ta voix avant de me connoître , Je me suis élancé jusqu'aux portes de l'être : Me voici le néant te salue en naissant ; Me voici ! mais que suis - je ? un atome pensant ! Qui peut entre nous deux mesurer la distance ? Moi ...
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Términos y frases comunes
accents affection's âme André Chénier Barbaroux beauty bliss bords bosom breath bright Bright land brow Byron c'est Charlotte Corday child ciel cieux cœur Conquest of Granada couldst dark darkness reign dear death Dieu dream dwell e'en earth echoes erst être fair fall'n farewell Father flots flowers fond fondly friends Gardez génie gentle Gloire Glory to thee Gomel Granada grief hast hath heart Heav'n heavenly hope J'ai jamais jour L'homme LAMARTINE land le monde life's light lips loin Loire lone looks LORD BYRON lov'd lyre meads of asphodel monde mourir mourn ne'er nuit o'er Oriflamme pow'r prayer pure qu'il qu'un realms repose SCHILLER sein séjour seul smile soft soleil song sorrow soul sous spirit spring strains suprême sweet swimmer tears temps terre thine thou art thoughts throng TOGGENBURG tomb tout Twas VICTOR HUGO viewless voice voix wake wave wild wings yeux young
Pasajes populares
Página 194 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur! Eh quoi! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?
Página 128 - S'il est des jours amers, il en est de si doux! Hélas! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête? L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'espérance.
Página 192 - O temps ! suspends ton vol ; et vous, heures propices ! Suspendez votre cours : Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours ! " Assez de malheureux ici-bas vous implorent, Coulez, coulez pour eux : Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent, Oubliez les heureux.
Página 196 - Que le vent qui gémit , le roseau qui soupire , Que les parfums légers de ton air embaumé , Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise : ils ont aimé ! MÉDITATION QUATORZIÈME.
Página 184 - J'aime à revoir encor, pour la dernière fois, Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois. Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire, A ses regards voilés...
Página 188 - Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? 0 lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
Página 130 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
Página 132 - Et secouant le faix de mes jours languissants, Aux douces lois des vers je pliais les accents De sa bouche aimable et naïve. Ces chants, de ma prison témoins harmonieux, Feront à quelque amant des loisirs studieux Chercher quelle fut cette belle : La grâce décorait son front et ses discours, Et, comme elle, craindront de voir finir leurs jours Ceux qui les passeront près d'elle.
Página 25 - THESE, as they change, ALMIGHTY FATHER, these Are but the varied God. The rolling year Is full of THEE. Forth in the pleasing Spring THY beauty walks, THY tenderness and love. Wide flush the fields ; the softening air is balm ; Echo the mountains round ; the forest smiles ; And every sense, and every heart is joy. Then comes THY glory in the Summer months, With light and heat refulgent.
Página 144 - L'aigle, roi des déserts, dédaigne ainsi la plaine] II ne veut, comme toi, que des rocs escarpés, Que l'hiver a blanchis, que la foudre a frappés, Des rivages couverts des débris du naufrage, Ou des champs tout noircis des restes...