Revue des deux mondes, Volumen 23Au bureau de la Revue des deux mondes., 1840 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 100
Página 19
... long - temps la satisfaction qu'elles réclamaient . Déjà la goëlette était en vue de la Corse . Le patron nommait les points principaux de la côte , et , bien qu'ils fussent tous parfaitement inconnus à miss Lydia , elle trouvait ...
... long - temps la satisfaction qu'elles réclamaient . Déjà la goëlette était en vue de la Corse . Le patron nommait les points principaux de la côte , et , bien qu'ils fussent tous parfaitement inconnus à miss Lydia , elle trouvait ...
Página 32
... long , afin de passer devant la mairie . En défilant , un idiot , qui s'était joint au cortège , s'avisa de crier ... long - temps . Au bout d'une année , la cour allait rendre son arrêt , et suivant toute apparence en faveur du colonel ...
... long , afin de passer devant la mairie . En défilant , un idiot , qui s'était joint au cortège , s'avisa de crier ... long - temps . Au bout d'une année , la cour allait rendre son arrêt , et suivant toute apparence en faveur du colonel ...
Página 48
... temps de le connaître . Il avait quitté Pietranera à quinze ans pour étudier à Pise , et de là était entré à l'École militaire , pendant que Ghilfuccio promenait en Europe les aigles ... long - temps immobile , 48 REVUE DES DEUX MONDES .
... temps de le connaître . Il avait quitté Pietranera à quinze ans pour étudier à Pise , et de là était entré à l'École militaire , pendant que Ghilfuccio promenait en Europe les aigles ... long - temps immobile , 48 REVUE DES DEUX MONDES .
Página 50
... long - temps qu'ils auraient disparu de la Corse . - Les plus méchans de notre pays ne sont pas ceux qui sont à la campagne ( 1 ) . - Donne - leur du pain si tu veux ; on n'en doit refuser à personne , mais je n'entends pas qu'on leur ...
... long - temps qu'ils auraient disparu de la Corse . - Les plus méchans de notre pays ne sont pas ceux qui sont à la campagne ( 1 ) . - Donne - leur du pain si tu veux ; on n'en doit refuser à personne , mais je n'entends pas qu'on leur ...
Página 54
... Long - temps il demeura dans la même position , sans oser détourner la tête . Enfin , il se leva , ferma la cassette et sortit préci- pitamment de sa maison , courant la campagne et marchant devant lui sans savoir où il allait . Peu à ...
... Long - temps il demeura dans la même position , sans oser détourner la tête . Enfin , il se leva , ferma la cassette et sortit préci- pitamment de sa maison , courant la campagne et marchant devant lui sans savoir où il allait . Peu à ...
Otras ediciones - Ver todo
Términos y frases comunes
Adolphe Dumas anglais Arlequin avaient Barcelone Barricini bientôt Brandolaccio Brighella Broussais c'était cabinet Cabrera carlistes chambre chef chose christinos cœur Colomba colonel comédie Corse côté coup d'Espartero d'Orso demanda devant Dieu dire donner espagnol Espartero esprit eût évènemens exaltés femme force Frédéric-Guillaume frère fusil général gens Goldoni gouvernement grace guerre homme j'ai jamais jeune jour l'Angleterre l'armée l'Autriche l'Espagne l'esprit l'Europe laisser long-temps lord Melbourne lord Palmerston lord Stanley main maison mâquis Marino ment ministère miss Lydia miss Nevil Mme de Longueville modérés monde monsieur mort n'avait Napoléon Orso Ortygie pacha Pantalon parler passer passions pays pensée père peuple Pietranera poète Poisson politique porte pouvait préfet premier prince Prusse puissance qu'un question Raleigh Rebbia reine reste révolution Revue d'Édimbourg rien Russie s'est s'était saint sait sentimens serait seul siècle sir Robert Peel sorte succès surtout Syracuse Syrie Taglioni Taïti terre tête tion tories trouve Walter Raleigh whigs
Pasajes populares
Página 159 - S'enfuit au fond du cœur. — La nuit, la nuit profonde Vient seule relever, à l'heure du sommeil, Les fronts qui s'inclinaient aux rayons du soleil. [Pâle étoile du soir, messagère lointaine, Dont le front sort brillant des voiles du couchant, De ton palais d'azur, au sein du firmament, Que regardes-tu dans la plaine? La tempête s'éloigne, et les vents sont calmés. La forêt, qui frémit, pleure sur la bruyère.
Página 759 - Loin de nous les héros sans humanité! Ils pourront bien forcer les respects et ravir l'admiration, comme font tous les objets extraordinaires; mais ils n'auront pas les cœurs. Lorsque Dieu forma le cœur et les entrailles de l'homme, il y mit premièrement la bonté comme le propre caractère ' de la nature divine et pour être comme la marque de cette main bienfaisante dont nous sortons.
Página 164 - Etoile qui descends sur la verte colline, Triste larme d'argent du manteau de la Nuit, Toi que regarde au loin le pâtre qui chemine, Tandis que pas à pas son long troupeau le suit, — Etoile, où t'en vas-tu dans cette nuit immense?
Página 413 - ... (ainsi va la pensée) Que l'antique franchise, à ce point délaissée, Avec notre finesse et notre esprit moqueur, Ferait croire, après tout, que nous manquons de cœur; Que c'était une triste et honteuse misère Que cette solitude à l'entour de Molière, Et qu'il est pourtant temps, comme dit la chanson, De sortir de ce siècle ou d'en avoir raison; Car à quoi comparer cette scène embourbée, Et l'effroyable honte où la muse est tombée?
Página 164 - J'ai dit à mon cœur, à mon faible cœur : N'est-ce point assez d'aimer sa maîtresse? Et ne vois-tu pas que changer sans cesse, C'est perdre en désirs le temps du bonheur?
Página 413 - Sous une tresse noire un cou svelte et charmant ; Et, voyant cet ébène enchâssé dans l'ivoire, Un vers d'André Chénier chanta dans ma mémoire, Un vers presque inconnu, refrain inachevé, Frais comme le hasard, moins écrit que rêvé. J'osai m'en souvenir, même devant Molière ; Sa grande ombre, à coup sûr, ne s'en offensa pas ; Et, tout en écoutant, je murmurais tout bas, Regardant cette enfant, qui ne s'en doutait guère : " Sous votre aimable tête, un cou blanc, délicat, Se plie,...
Página 412 - J'écoutais cependant cette simple harmonie, Et comme le bon sens fait parler le génie. J'admirais quel amour pour l'âpre vérité Eut cet homme si fier en sa naïveté, Quel grand et vrai savoir des choses de ce monde, Quelle mâle gaieté si triste et si profonde Que, lorsqu'on vient d'en rire, on devrait en pleurer...
Página 412 - J'étais seul, l'autre soir, au Théâtre-Français, Ou presque seul ; l'auteur n'avait pas grand succès. Ce n'était que Molière, et nous savons de reste Que ce grand maladroit, qui fit un jour Alceste, Ignora le bel art de chatouiller l'esprit Et de servir à point un dénoûment bien cuit. Grâce à Dieu, nos auteurs ont changé de méthode, Et nous aimons bien mieux quelque drame à la mode, Où l'intrigue, enlacée et roulée en feston, Tourne comme un rébus autour d'un mirliton.
Página 387 - Sa capacité, qui n'a pas été aidée par sa paresse, n'est pas allée jusques aux affaires, dans lesquelles la haine contre M. le Prince l'a portée, et dans lesquelles la galanterie l'a maintenue. Elle avait une langueur dans les manières, qui touchait plus que le brillant de celles mêmes qui étaient plus belles. Elle en avait une, même dans l'esprit, qui avait ses charmes, parce qu'elle avait des réveils lumineux et surprenants.
Página 413 - Et l'effroyable honte où la muse est tombée ? La lâcheté nous bride, et les sots vont disant Que, sous ce vieux soleil, tout est fait à présent ; Comme si les travers de la famille humaine Ne rajeunissaient pas chaque an, chaque semaine. Notre siècle a ses mœurs, partant, sa vérité ; Celui qui l'ose dire est toujours écouté. Ah ! j'oserais parler, si je croyais bien dire. J'oserais ramasser le fouet de la satire, Et l'habiller de noir, cet homme aux rubans verts Qui se fâchait jadis...