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Delloye, 1841 - 239 páginas

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Página 61 - Lors vous n'aurez servante oyant telle nouvelle, Desja sous le labeur à demy sommeillant, Qui au bruit de mon nom ne s'aille resveillant, Bénissant vostre nom de louange immortelle.
Página 71 - LUS eStroit que la vigne à l'ormeau se marie De bras souplement forts, Du lien de tes mains, MaiStresse, je te prie, Enlace-moy le corps. Et feignant de dormir, d'une mignarde face Sur mon front...
Página 206 - Pour piller un butin de bien peu de valeur, Combien de feux, de fers, de morts, et de détresses Mérites-tu, meschant, pour tuer nos Déesses?
Página 51 - En sa belle jeunesse, en sa première fleur, Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur, Quand l'Aube de ses pleurs au...
Página 226 - Et, comme fleurs, periront tout soudain. Le temps s'en va, le temps s'en va, ma dame, Las ! le temps, non, mais nous nous en allons, Et tost serons estendus sous la lame.
Página 91 - Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au soleil, A point perdu, ceste vesprée *, Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil.
Página 8 - Or' * sur un mont, or' dans une vallée, Or' près d'une onde à l'écart recelée, Libre, folâtre où son pied le conduit, De rets * ne d'arc sa liberté n'a crainte Sinon alors que sa vie est atteinte D'un trait meurtrier empourpré de son sang.
Página 61 - Je seray sous la terre et fantôme sans os Par les ombres myrteux je prendray mon repos : Vous serez au fouyer une vieille accroupie, Regrettant mon amour et vostre fier desdain. Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain : Cueillez dés aujourd'huy les roses de la vie.
Página 10 - Pourquoy donque, quand je veux Ou mordre tes beaux cheveux, Ou baiser ta bouche aimée, Ou toucher à ton beau sein, Contrefais-tu la nonnain Dedans un cloiStre enfermée ? Pour qui gardes-tu tes yeux Et ton sein délicieux...
Página 207 - D'Apollon, qui me vint tout le cœur estonner: Où premier admirant la belle Calliope, Je devins amoureux de sa neuvaine trope, Quand sa main sur le front cent roses me jetta, Et de son propre laict Euterpe m'allaita.

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