LÉnéide, Volumen 2Giguet et Michaud, 1804 |
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... sort si rigoureux . Oronte et Leucaspis frappent soudain ses yeux : Tous deux ils avoient fui les murs fumans de Troie , Et des flots mutinés tous deux furent la proie . Palinure comme eux avoit fini ses jours : Des astres LIVRE VI . 23.
... sort si rigoureux . Oronte et Leucaspis frappent soudain ses yeux : Tous deux ils avoient fui les murs fumans de Troie , Et des flots mutinés tous deux furent la proie . Palinure comme eux avoit fini ses jours : Des astres LIVRE VI . 23.
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... avoient fui ; D'autres veulent crier , et leurs voix défaillantes Expirent de frayeur sur leurs lèvres béantes . Déiphobe soudain frappe ses yeux surpris , De la race des rois misérable débris , Sanglant , percé de coups , reste affreux ...
... avoient fui ; D'autres veulent crier , et leurs voix défaillantes Expirent de frayeur sur leurs lèvres béantes . Déiphobe soudain frappe ses yeux surpris , De la race des rois misérable débris , Sanglant , percé de coups , reste affreux ...
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... avoient prononcé leur sentence , ils ordonnoient aux justes de prendre leur route à droite par une des ouver- » tures du ciel , et aux méchans de prendre leur route à gauche par une des ouvertures de la terre . On m'ordonna » de ...
... avoient prononcé leur sentence , ils ordonnoient aux justes de prendre leur route à droite par une des ouver- » tures du ciel , et aux méchans de prendre leur route à gauche par une des ouvertures de la terre . On m'ordonna » de ...
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... avoient conservé quelque sentiment impar- fait de leur première existence , et que les sages étoient ceux dont l'ame avoit le moins bu des eaux de l'Oubli . Cette opinion , si étrange et si frivole en phílosophie , de- vient sublime en ...
... avoient conservé quelque sentiment impar- fait de leur première existence , et que les sages étoient ceux dont l'ame avoit le moins bu des eaux de l'Oubli . Cette opinion , si étrange et si frivole en phílosophie , de- vient sublime en ...
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... avoient révélé les secrets des mystères . Dans ce cas , Virgile , en répétant deux philosophes dont les écrits étoient partout , et qu'on appeloit divins , n'avoit pas besoin de prendre des précautions pour faire pardonner son ...
... avoient révélé les secrets des mystères . Dans ce cas , Virgile , en répétant deux philosophes dont les écrits étoient partout , et qu'on appeloit divins , n'avoit pas besoin de prendre des précautions pour faire pardonner son ...
Términos y frases comunes
æthera affreux Anchise armes armure Ascagne avoient avoit beau bois bouclier bras brave brillant bruit Cacus Camille camp carnage Cérès champs char cher ciel cieux cœur combats coup courage courroux coursiers d'Énée d'Évandre dards déesse destin dieu dieux discours divin douleur Énée enfans enfers ennemis étoient étoit Euryale Évandre fatal feux fier fiers fils flamme flots foible forêt frémit front fureur glaive gloire Grecs guerriers héros heureux Homère jeune jour Junon Jupiter Juturne l'Énéide l'Iliade l'onde lance Latinus Lausus Lavinie lecteur lieux livre loin long-temps main malheureux mère Messape Mézence mort mortel murs Nisus noble nuit Pallas paroît père Pergame peuple pleurs Pluton poëme poëte poëte latin prêtresse Priam rage remparts rivage rival Romains Rome Rutule s'élance sang sanglante seul soldats sort Soudain superbe tableau terre terrible Tibre Toscans traits tremblant trépas triste Troie Troyens Turnus vaillance vainqueur vaisseaux Vénus victoire Virgile voit voix vole Vulcain yeux
Pasajes populares
Página 89 - Nourrissant en secret dans son cœur déchiré Les cuisantes douleurs de l'orgueil ulcéré, Dans ses dépits amers, Amate solitaire Et s'indignoit en reine , et gémissoit en mère. Alecton d'un serpent arme aussitôt sa main, Le lance sur Amate, et le plonge en son sein : Entre elle et ses habits d'une course légère Ce monstre va, revient, la parcourt tout entière; Tantôt de ses...
Página 233 - Sur ses ailes de feu sa fureur se déploie , Et d'étage en étage elle poursuit sa proie. Aux rapides progrès du vaste embrasement Ses défenseurs troublés s'opposent vainement. Tandis que loin des murs que la flamme dévore...
Página 22 - Phlcgélon aux ondes turbulentes Roule d'affreux rochers dans ses vagues brûlantes. La porte inébranlable est digne de ces murs : Vulcain la composa des métaux les plus durs. Le diamant massif en colonnes s'élance ; Une tour jusqu'aux cieux lève son front immense : Les mortels conjurés, les dieux et Jupiter Attaqueraient en vain ses murailles de fer.
Página 359 - Trois fais autour des feux, dans sa morne tristesse, * A tourné des deux camps la brillante jeunesse; Trois fois, poussant des cris funèbres et guerriers, Autour du bois fatal ils guident leurs coursiers : Ces yeux jadis si fiers sont...
Página 8 - Devant le vestibule, aux portes des enfers, Habitent les Soucis et les Regrets amers, Et des Remords rongeurs l'escorte vengeresse; La pâle Maladie, et la triste Vieillesse; L'Indigence en lambeaux, l'inflexible Trépas, Et le Sommeil son frère, et le dieu des Combats; Le Travail qui gémit, la...
Página 346 - ... c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...
Página 109 - S'élancent dans les airs en bruyans tourbillons , Obscurcissent les cieux de leurs noirs bataillons , Et, poussant vers la terre un cri rauque et sauvage, Comme un nuage épais vont s'abattre au rivage. Voyez le noble auteur d'un nom cher aux Romains, Ce Clausus qui, sorti du vieux sang des Sabins, De leur race guerrière , à vaincre accoutumée, Forme une armée immense , et vaut seul une année.
Página 95 - Eh bien , reconnois.tu la prêtresse crédule » Que son âge remplit d'un effroi ridicule ? » Regarde, et vois en moi la terrible Alecton, » La plus horrible sœur des filles de Pluton. » Je porte dans mes mains la mort et l'épouvante. » Elle dit, et lui lance une torche fumante; La torche vole, siffle, et s'attache à son sein. Le prince épouvanté se réveille, et soudain Se roule dans des flots d'une sueur glacée; Il s'agite, il respire une rage insensée : K Mes armes, mes amis!
Página 115 - Elle eût , des jeunes blés rasant les verts tapis , Sans plier leur sommet couru sur les épis ; Ou, d'un pas suspendu sur les vagues profondes, De la mer en glissant eût effleuré les ondes , Et, d'un pied plus léger que l'aile des oiseaux, Sans mouiller sa chaussure eût volé sur les eaux. Son air fier et décent, sa démarche imposante, De son manteau royal la pourpre éblouissante...
Página 229 - Tout-à-coup , ranimant sa force languissante , Se meurtrissant le sein , arrachant ses cheveux , Malheureuse , elle part avec des cris affreux , Fend les rangs des soldats , vole au haut des murailles, La pudeur, le danger, l'appareil des batailles , Sa douleur brave tout ; puis élevant...