Le bouddha et sa religionDidier et Cie, 1860 - 441 pages |
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... s'était produit , et qui finit par l'expulser de l'Inde après de longs siècles de tolérance et de mépris . Mais la doctrine qui n'avait pu triompher que momentanément dans les contrées qui l'avaient vue naitre INTRODUCTION .
... s'était produit , et qui finit par l'expulser de l'Inde après de longs siècles de tolérance et de mépris . Mais la doctrine qui n'avait pu triompher que momentanément dans les contrées qui l'avaient vue naitre INTRODUCTION .
Page xv
... s'était le plus tôt développé . Elles contenaient des édits d'un roi nommé Piyadasi , donnant à ses peuples des conseils de morale , recommandant la tolérance , et favorisant l'introduction des croyances nouvelles . Peu de temps après ...
... s'était le plus tôt développé . Elles contenaient des édits d'un roi nommé Piyadasi , donnant à ses peuples des conseils de morale , recommandant la tolérance , et favorisant l'introduction des croyances nouvelles . Peu de temps après ...
Page xvi
... s'était tenu sous le règne d'Açoka et par sa protection toute - puissante . En 1840 , M. le capitaine Burt a découvert , sur une montagne près de Bhabra , entre Dehli et Djaypour , une inscription de ce même roi Piyadasi , qui lève tous ...
... s'était tenu sous le règne d'Açoka et par sa protection toute - puissante . En 1840 , M. le capitaine Burt a découvert , sur une montagne près de Bhabra , entre Dehli et Djaypour , une inscription de ce même roi Piyadasi , qui lève tous ...
Page xix
... s'était pas encore propagé , tandis qu'il florissait dans la contrée dont la capitale était Patalipoutra , où se tint le troisième concile . Onésicrite , Néarque , Aristobule , ne rencontrèrent pas de Bouddhistes sur les bords de l ...
... s'était pas encore propagé , tandis qu'il florissait dans la contrée dont la capitale était Patalipoutra , où se tint le troisième concile . Onésicrite , Néarque , Aristobule , ne rencontrèrent pas de Bouddhistes sur les bords de l ...
Page xxii
... s'était engagée , il n'y avait pour elle de possible que deux partis , l'un aussi fâcheux que l'autre : ou s'arrêter à jamais dans l'immobilité d'où le Brahmanisme n'est pas sorti ; ou aller avec le Bouddhisme aux conséquences ...
... s'était engagée , il n'y avait pour elle de possible que deux partis , l'un aussi fâcheux que l'autre : ou s'arrêter à jamais dans l'immobilité d'où le Brahmanisme n'est pas sorti ; ou aller avec le Bouddhisme aux conséquences ...
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Expressions et termes fréquents
Abel Rémusat Açoka adore Ananda arhat assez aumônes avaient Bénarès Bhagavat Bhikshous Bimbisâra Birman Bodhi Bodhimanda Bodhisattva bonne Loi Boud Bouddha bouddhique Bouddhisme Brahma Brahmanes Burnouf Çakyamouni Çâkyas cent Ceylan Chine choses cinq Concile couvent Cramana croyances dent du Bouddha devait dévot dhisme Dieu dieux disciples doctrine doit donne douleur doute ère Fa-Hien foule Gange Hiouen Hiouen-Thsang hommes indien jour jusqu'à Kâçyapa Kandy Kapilavastou Koutché l'arhat l'Assemblée l'homme l'île l'Inde Lalitavistâra Langkâ légende livres sacrés Lotus lui-même Magadha Mahânâma Mahavamsa Maître Maitreya Mâyâ ment mille religieux monde monuments morale mort du Bouddha Nâlanda Népal Nirvâna nord novice ouvrages Pâli passer pèlerin chinois Petit Véhicule peuples Piyadasi prêtres bouddhistes prêtres singhalais prince Râdjagriha règne religion reliques reste Révata rois royaume s'était salut sanscrit sanscrits science septième siècle seul Siddhartha singhalais singhalaise Soûtras Spence Hardy statue stoûpa stoupas Tathagata Thsang tibétain tion Toushita tradition transmigration Turnour vénération vertu vihâra Vinaya voyage
Fréquemment cités
Page 179 - Les peuples bouddhiques peuvent être sans aucune injustice regardés comme des peuples athées. Ceci ne veut pas dire qu'ils professent l'athéisme , et qu'ils se font gloire de leur incrédulité , avec cette jactance dont on pourrait citer plus d'un exemple parmi nous; ceci veut dire seulement que ces peuples n'ont pas pu s'élever, dans leurs méditations les plus hautes , jusqu'à la notion de Dieu , et que les sociétés formées par eux s'en sont passées, au grand détriment de leur organisation...
Page 32 - ... tion avec tous les mondes. Ayant abandonné toute idée « d'individualité, éteint toute notion, interrompu toute « existence par la voie du calme, elle est invisible en son « essence de vide; ayant épuisé le désir, exempte de pas« sion, empêchant toute production de l'être, elle conduit
Page 117 - j'ai éprouvé, mon cœur s'émeut involontairement. Les sueurs qui ont « coulé dans mes périls ne sont pas le sujet de cette émotion. Ce corps « a été conservé par les sentiments qui m'animaient. C'est mon but qui « m'a fait risquer ma vie dans des pays où l'on n'est pas sûr de sa con« servation, pour obtenir à tout risque ce qui faisait l'objet de mon es
Page 209 - ... dignement au but de votre sacrifice, en vérité je « n'en serais pas avare. Mais comme je viens des pays
Page 50 - C'est que les Bodhisattvas , au premier développement du monde , lors du rassemblement des êtres , n'entrent pas dans le sein d'une mère. Mais quand le monde s'est manifesté tout entier , et que sont apparues la vieillesse , la maladie et la mort , c'est alors que les Bodhisattvas entrent dans le sein d'une mère. Voilà pourquoi Bhagavat fait l'examen du temps. S'il examine les continents , c'est qu'un Bodhisattva ne peut naître dans un continent de la frontière ; il ne peut naître davantage...
Page v - Je n'hesite pas & ajouter que, sauf le Christ tout seul, il n'est point, parmi les fondateurs de religion, de figure plus pure ni plus touchante que celle du Bouddha.
Page 182 - ... une charité sans amour , un monde sans nature et sans Dieu. Que pourrions-nous tirer de pareils enseignements? Et que de choses il nous faudrait oublier pour en devenir les aveugles disciples ! Que de degrés il nous faudrait descendre dans l'échelle des peuples et de la civilisation ! Le seul, mais immense service que le Bouddhisme puisse nous rendre, c'est, par son triste contraste, de nous faire apprécier mieux encore la valeur inestimable de nos croyances , en nous montrant tout ce qu'il...
Page 115 - Bien plus, que tous les hommes s'écoutent avec déférence « et suivent la loi des uns et des autres; car tel est le désir « du roi chéri des Dévas. Puissent les hommes de toutes « les croyances abonder en savoir et prospérer en vertu ! « Et ceux qui ont foi à une religion particulière doivent « se répéter ceci : «Le roi chéri des Dévas n'estime pas « autant les aumônes et les marques de respect que ce « qui peut augmenter essentiellement la bonne renommée « et le développement...
Page 72 - Tathâgatas innombrables dont les deux personnages sont entourés les imitent ; ils tirent leur langue comme eux , et ils opèrent « cet effet de leur puissance surnaturelle » pendant cent mille années complètes. A la fin de ces cent mille années , ils ramènent à eux leur langue et font entendre en même temps le bruit qu'on produit en chassant avec force la voix de la gorge , et celui qui s'entend quand on fait craquer ses doigts.
Page 101 - ... et qu'on l'abandonnât ainsi mutilée dans le cimetière. » Au récit de ce supplice, Oupagoupta se dit : « Quand son corps était couvert de belles parures et de riches ornements, le mieux était de ne pas la voir pour ceux qui aspirent à l'affranchissement, et qui veulent échapper à la loi de la renaissance. Mais aujourd'hui que, mutilée par le glaive, elle a perdu son orgueil, son amour et sa joie, il est temps de la voir.