Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait... Bulletin de l'Institut national genevois - Page 5021853Affichage du livre entier - À propos de ce livre
| Antoine Louis Claude Destutt de Tracy - 1805 - 684 pages
...que ce qui se » présenterait si clairement et si distinctement à » mon esprit , que je n'eusse aucune occasion de » le mettre en doute. » 2°. De diviser chacune des difficultés que j'exa» minerais en autant de parcelles qu'il se pour» rait , et qu'il serait requis pour le mieux... | |
| Auguste Charles Jean Michelot - 1822 - 20 pages
...soigneusement la précipitation « et la prévention , et de ne comprendre rien de plus en ses jugece ments que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement...occasion de le mettre en doute; « 2° de diviser chacune desMifficultés qu'il examinerait , en autant ce de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis... | |
| comte Antoine Louis Claude Destutt de Tracy - 1825 - 484 pages
...que ce qui « se présenterait si clairement et si distinctement « à mon esprit , que je n'eusse aucune occasion « de le mettre en doute. « 2°. De diviser chacune des difficultés que « j'examinerais en autant de parcelles qu'il se « pourrait , et qu'il serait requis pour la mieux... | |
| Charles Auguste Mallet - 1838 - 294 pages
...d'éviter soigneusement la precipitation et la prcvention , et » de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se » présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit , que je ,• n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. » ( Disc, de la méthode ,... | |
| Charles de Rémusat - 1842 - 560 pages
...d'éviter soigneusement la précipitation et la pi*éu vention , et de ne comprendre rien de plus en ses «jugements que ce qui se présenterait si clairement « et si distinctement h son esprit, qu'il n'eût aucune « occasion de le mettre en doute. » Une conception ou perception... | |
| René Descartes - 1842 - 626 pages
...d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention , et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second, de diviser chacune des... | |
| René Descartes - 1844 - 618 pages
...d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention , et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit , que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute. Le second , de diviser chacune des... | |
| Joseph Duval-Jouve - 1844 - 428 pages
...d'éviter soigneusement la précipitation et la prcvcn» tion, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements » que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à » mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en » doute. » Le second, de diviser chacune... | |
| H. de Blainville - 1845 - 646 pages
...d'éviter soigneusement la précipi« talion et la prévention, et de ne comprendre rien de « plus en ses jugements que ce qui se présenterait si « clairement...qu'il n'eût « aucune occasion de le mettre en doute. » Telle est l'évidence de Descartes, qui n'est au fond que le principe de la dissection des faits... | |
| Joseph Marie baron de Gérando - 1847 - 924 pages
...immédiate, ou par une déduction légitime (a) ; soit qu'il se prescrive de ne rien admettre dans ses jugements que ce qui se présenterait si clairement...son esprit qu'il n'eût aucune occasion de le mettre (1) Mtfditationt, préface. — Discours sur la méthode, pari. 2. — Règles pour la direction de... | |
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