| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 712 páginas
...gil«"t. Le tour de son billet étoit charmant , plein de caresse et de naïveté. Ce soin plus qu'amical me parut si tendre, comme si elle se fût dépouillée...baisai vingt fois en pleurant le billet et le jupon : Thérèse me croyoit devenu fou. Il est singulier que, de toutes les marques d'amitié que madame... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 710 páginas
...gilet. Le tour de son billet étoit'charmant, plein de caresse et de naïveté. Ce soin plus qu'amical me parut si tendre , comme si elle se fût dépouillée...baisai vingt fois en pleurant le billet et le jupon : Thérèse me croyoit devenu fou. Il est singulier que , de toutes les marques d'amitié que madame... | |
| Thomas Moore - 1818 - 184 páginas
...set, * " Mon ours, voilà votre asy le et vous, mon ours, né viendrez-vous pas aussi?" &c. &c. t " Un jour, qu'il geloit très fort, en ouvrant un paquet...me vêtir, que, dans mon émotion, je baisai vingt foin en pleurant le billet et le jupon." And full on the Colonel's dark whiskers shone down, When he... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 562 páginas
...Le tour de son billet étoit charmant , plein de caresse et de naïveté. Ce soin , plus qu'amical, me parut si tendre, comme si elle se fût dépouillée...baisai vingt fois, en pleurant, le billet et le jupon. Thérèse me croyoit devenu fou. Il est singulier que , de toutes les marques d'amitié que madame... | |
| Louis Victor Flamand-Grétry - 1820 - 322 páginas
...paquet qu'elle m'envoyait , j'y trouvai un petit » resses et de naïveté. Ce soin , plus qu'amical , me parut » si tendre , comme si elle se fût dépouillée...vêtir, » que , dans mon émotion, je baisai vingt fois le billet et » le jupon. Thérèse me crut devenu fou. » Voici le billet s de madame d'Epinai: «... | |
| Louis Victor Flamand-Grétry - 1820 - 326 páginas
...tour de son billet était charmant, plein de ça» resses et de naïveté. Ce soin , plus qu'amical, me parut » si tendre, comme si elle se fût dépouillée pour me vôtir, » que , dans mon émotion, je baisai vingt fois le billet et » le jupon. Thérèse me crut... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 498 páginas
...Le tour de son billet étoit charmant, plein de caresse- et de naïveté. Ce soin, plus qu'amical, me parut si tendre, comme si elle se fût dépouillée...baisai vingt fois , en pleurant, le billet et le jupon. Thérèse me croyoit devenu fou. Il est singulier que, de toutes les marques d'amitié que madame d'Ëpinay... | |
| L. Meynier - 1830 - 176 páginas
...qu'elle me marquait avoir porté, et dont elle voulait que je fisse un gilet. Ce soin plus qu'amical me parut si tendre, comme si elle se fût dépouillée...baisai vingt fois en pleurant le billet et le jupon. Ceux qui me voyaient me croyaient devenu* fou. Il est singulier que de toutes les marques d'amitié... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 470 páginas
...gilet. Le tour de son billet étoit charmant, plein de caresse et de naïveté. Ce soin, plus qu'amical, me parut si tendre, comme si elle se fût dépouillée...baisai vingt fois en pleurant le billet et le jupon. Thérèse me croyoit devenu fou. Il est singulier que, de toutes les marques d'amitié que madame d'Épinay... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 páginas
...plein de caresse et de naïveté. Ce soin plus qu'amical me parut si tendre , comme si elle se fut dépouillée pour me vêtir, que, dans mon émotion,...baisai vingt fois en pleurant le billet et le jupon .Thérèse me croyait devenu fou. Il est singulier que de toutes les marques d'amitié que madame d'Epinay... | |
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