Oeuvres complètes de Jean Racine, Volumen 1Raymond et Ménard, 1811 |
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... soupirs j'espère l'émouvoir . ÉTÉOCLE . Madame , sans sortir vous le pouvez revoir ; Et si cette entrevue a pour vous tant de charmes , Il ne tiendra qu'à lui de suspendre nos armes . Vous pouvez dès cette heure accomplir vos souhaits ...
... soupirs j'espère l'émouvoir . ÉTÉOCLE . Madame , sans sortir vous le pouvez revoir ; Et si cette entrevue a pour vous tant de charmes , Il ne tiendra qu'à lui de suspendre nos armes . Vous pouvez dès cette heure accomplir vos souhaits ...
Página 21
... soupirs , donne force à mes pleurs , Et , comme il faut enfin , fais parler mes douleurs . ANTIGONE seule . Et si tu prends pitié d'une flamme innocente , O ciel , en ramenant Hémon à son amante , Ramène - le fidèle , et permets en ce ...
... soupirs , donne force à mes pleurs , Et , comme il faut enfin , fais parler mes douleurs . ANTIGONE seule . Et si tu prends pitié d'une flamme innocente , O ciel , en ramenant Hémon à son amante , Ramène - le fidèle , et permets en ce ...
Página 27
... soupirs êtes intéressée ; C'est à vous à juger s'ils vous ont offensée : Tels que seront pour eux vos arrêts tout - puissants , Ils seront criminels , ou seront innocents . Que le ciel à son gré de ma perte dispose , J'en chérirai ...
... soupirs êtes intéressée ; C'est à vous à juger s'ils vous ont offensée : Tels que seront pour eux vos arrêts tout - puissants , Ils seront criminels , ou seront innocents . Que le ciel à son gré de ma perte dispose , J'en chérirai ...
Página 31
... soupirs , Et m'exposer encor à tant de déplaisirs ? POLYNICE . Mais vous - même , ma sœur , est - ce aimer votre frère , Que de lui faire ainsi cette injuste prière Et me vouloir ravir le sceptre de la main ? Dieux ! qu'est - ce qu ...
... soupirs , Et m'exposer encor à tant de déplaisirs ? POLYNICE . Mais vous - même , ma sœur , est - ce aimer votre frère , Que de lui faire ainsi cette injuste prière Et me vouloir ravir le sceptre de la main ? Dieux ! qu'est - ce qu ...
Página 32
... soupirs d'une mère ? JOCASTE . Mais quelle crainte encor vous peut inquiéter ? Pourquoi si promptement voulez - vous nous quitter ? Quoi ! ce jour tout entier n'est - il pas de la trève ? Dès qu'elle a commencé , faut - il qu'elle s ...
... soupirs d'une mère ? JOCASTE . Mais quelle crainte encor vous peut inquiéter ? Pourquoi si promptement voulez - vous nous quitter ? Quoi ! ce jour tout entier n'est - il pas de la trève ? Dès qu'elle a commencé , faut - il qu'elle s ...
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Términos y frases comunes
AGRIPPINE ALBINE Alexandre allez amant amitié amour ANDROMAQUE ANTIGONE arrêter ATTALE avoit AXIANE bientôt bras BRITANNICUS BURRHUS CÉPHISE César charmes cher chercher CHICANEAU ciel CLÉOFILE CLÉONE cœur colère combat COMTESSE connois connoître courage courroux cours crainte Créon crime cruel d'Alexandre d'Hector DANDIN desirs dessein diadème dieux dois-je douleur enfin ennemis ÉPHESTION Epire ÉTÉOCLE étoit fils flatte foible frère funeste fureur gloire grace Grecs haine Hélas Hémon HERMIONE héros ISABELLE j'ai JOCASTE jour JUNIE l'amour l'empire L'INTIMÉ laisse larmes LÉANDRE lieux m'en Madame madame de Maintenon main maître malheur moi-même Monsieur mort mourir NARCISSE Néron OLYMPE ORESTE paix père PETIT JEAN peuple peut-être Phoenix pleurs POLYNICE Porus prince princesse PYLADE Pyrrhus qu'un Racine régner rien rival rois s'il sais sang SCÈNE PREMIÈRE Seigneur seroit seul sœur soins sort soupirs TAXILE Thébains Thèbes tragédie trépas trône tyran vainqueur vais venger veut veux victoire vois voulez-vous vous-même yeux
Pasajes populares
Página 204 - S'il me perd, je prétends qu'il me retrouve en toi. Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , Montre au fils à quel point tu chérissois le père".
Página 382 - Seigneur, j'ai tout prévu pour une mort si juste; Le poison est tout prêt. La fameuse Locuste A redoublé pour moi ses soins officieux : Elle a fait expirer un esclave à mes yeux: Et le fer est moins prompt pour trancher une vie, Que le nouveau poison que sa main me confie.
Página 404 - Tais-toi, perfide, Et n'impute qu'à toi ton lâche parricide. Va faire chez tes Grecs admirer ta fureur : Va, je la désavoue, et tu me fais horreur. Barbare, qu'as-tu fait? Avec quelle furie As-tu tranché le cours d'une si belle vie?
Página 230 - Grâce aux dieux, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue, ô ciel, de ta persévérance ! Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir...
Página 385 - Pour toute ambition , pour vertu singulière , II excelle à conduire un char dans la carrière , A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains...
Página 340 - ... approuver, Je m'excite contre elle, et tâche à la braver : Mais, je t'expose ici mon âme toute nue, Sitôt que mon malheur me ramène à sa vue, Soit que je n'ose encor démentir le pouvoir De ces yeux où j'ai lu si longtemps mon devoir, Soit qu'à tant de bienfaits ma mémoire fidèle Lui soumette en secret tout ce que je tiens d'elle ; Mais enfin mes efforts ne me servent de rien : Mon génie étonné tremble devant le sien.
Página 421 - De quel front oserais-je me montrer, pour ainsi dire, aux yeux de ces grands hommes de l'antiquité que j'ai choisis pour modèles? Car, pour me servir de la pensée d'un ancien, voilà les véritables spectateurs que nous devons nous proposer-, et nous devons sans cesse nous demander : « Que diraient Homère et Virgile, s'ils lisaient ces vers? que dirait Sophocle...
Página 196 - Avec lui dans la tombe elle s'est enfermée. Mais il me reste un fils... Vous saurez quelque jour, Madame, pour un fils jusqu'où va notre amour; Mais vous ne saurez pas, du moins je le souhaite, En quel trouble mortel son intérêt nous jette , Lorsque, de tant de biens qui pouvaient nous flatter, C'est le seul qui nous reste, et qu'on veut nous l'ôter.
Página 379 - C'est à vous à choisir, vous êtes encor maître. Vertueux jusqu'ici, vous pouvez toujours l'être: Le chemin est tracé, rien ne vous retient plus ; Vous n'avez qu'à marcher de vertus en vertus. Mais si de vos flatteurs vous suivez la maxime, II vous faudra, Seigneur, courir de crime en crime, Soutenir vos rigueurs par d'autres cruautés, Et laver dans le sang vos bras ensanglantés.
Página 301 - L'INTIMÉ, d'un ton pesant. Puis donc qu'on nous permet de prendre Haleine, et que l'on nous défend de nous étendre, Je vais, sans rien omettre et sans prévariquer, Compendieusement énoncer, expliquer, Exposer à vos yeux l'idée universelle De ma cause, et des faits renfermés en icelle.