Histoire des ducs de Bourgogne de la Maison de Valois, 1364-1477, Volúmenes 3-4N.-J.Gregoir, V. Wouters et Cie, éditeurs, 1839 |
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... s'il y en a , qui voudraient soutenir le con- traire , vous puissiez , par l'avis , conseil et délibération de ceux de votre sang , des prud'hommes de votre conseil , et d'autres qu'il vous plaira appeler en si grand nombre que vous ...
... s'il y en a , qui voudraient soutenir le con- traire , vous puissiez , par l'avis , conseil et délibération de ceux de votre sang , des prud'hommes de votre conseil , et d'autres qu'il vous plaira appeler en si grand nombre que vous ...
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... s'il veut être bien reçu de nous 1 . » Le duc de Bourgogne et le roi de Navarre , ravis de voir au roi une telle fermeté , lui proposèrent sur - le - champ de défendre , sous peine de crime de lèse - majesté , à tous les maires et ...
... s'il veut être bien reçu de nous 1 . » Le duc de Bourgogne et le roi de Navarre , ravis de voir au roi une telle fermeté , lui proposèrent sur - le - champ de défendre , sous peine de crime de lèse - majesté , à tous les maires et ...
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... s'il y était en personne . Pierre Désessarts , prévôt de votre bonne ville de Paris , devait être déposé de tous offices royaux et de tous les états qu'il tenait de vous ; néanmoins il lui fit avoir secrètement lettres de vous ...
... s'il y était en personne . Pierre Désessarts , prévôt de votre bonne ville de Paris , devait être déposé de tous offices royaux et de tous les états qu'il tenait de vous ; néanmoins il lui fit avoir secrètement lettres de vous ...
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... S'il eût voulu modérer son emportement , temporiser , se plaindre doucement , laisser voir tous les torts de ses ennemis , il aurait eu toute la force de la France , et aurait con- servé la faveur du roi et l'affection des peuples . Il ...
... S'il eût voulu modérer son emportement , temporiser , se plaindre doucement , laisser voir tous les torts de ses ennemis , il aurait eu toute la force de la France , et aurait con- servé la faveur du roi et l'affection des peuples . Il ...
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... s'il eût été un comte ou un grand seigneur . Le duc de Bourgogne lui - même suivit son convoi : les uns disaient que c'était fort bien fait à lui d'honorer ainsi ceux qui le servaient , et que cela encouragerait à se mettre de son parti ...
... s'il eût été un comte ou un grand seigneur . Le duc de Bourgogne lui - même suivit son convoi : les uns disaient que c'était fort bien fait à lui d'honorer ainsi ceux qui le servaient , et que cela encouragerait à se mettre de son parti ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 179 - ... averti qu'au dernier moment. Il venait en toute hâte , ayant laissé son monde loin derrière , et accompagné seulement de douze de ses serviteurs. Il n'avait même pas son armure ; il arracha la bannière d'un de ses trompettes, perça un trou dans le milieu , passa la tête au travers , et se fit ainsi une cotte d'armes. Il s'élança au plus fort du combat, et tarda peu à être frappé à mort. Bientôt ce ne fut plus une bataille ; les Français étaient dispersés par petites troupes...
Página 63 - Dieu veuille avoir pitié de l'âme de très-haut et très-excellent prince Charles , roi de France , sixième du nom, notre naturel et souverain seigneur. » Ensuite il reprit : « Dieu accorde bonne vie à Henri par la grâce de Dieu , roi de France et d'Angleterre , notre souverain seigneur*.
Página 191 - Roy du ciel, mon droicturier et souverain seigneur, que le roy de France et vous, faciez bonne paix ferme, qui dure longuement. Pardonnez l'un à l'autre de bon cuer, entièrement, ainsi que doivent faire loyaulx chrestians; et s'il vous plaist à guerroier, si alez sur les Sarrazins.
Página 177 - On ne pouvait s'accorder; chacun retourna à son armée pour y combattre de son mieux. Bientôt les Anglais s'avancèrent en bel ordre, jetant d'horribles clameurs, et faisant sonner leurs clairons et leurs trompettes; quand leurs archers furent arrivés à la portée du trait, ils commencèrent à tirer une grêle de leurs fortes flèches, qui avaient trois pieds de long. Les plus hardis d'entre les Français étaient contraints à baisser la tête pour présenter le sommet du casque et non pas...
Página 175 - ... aucune retraite n'était ouverte derrière eux, et la victoire semblait impossible. Mais leur roi , que rien ne pouvait abattre , soutenait leur courage. Il leur disait que sa cause était juste ; qu'il était venu reprendre l'héritage conquis par la valeur de leurs ancêtres : il leur rappelait les victoires de. Crécy et de Poitiers. « Jamais, ajoutait-il, l'Angleterre » n'aura à payer de rançon pour moi. Aucun » Français ne triomphera en me voyant captif, » Il y va pour moi ou d'une...
Página 170 - J'aime» rais mieux mourir, dit-elle, que de pécher » ainsi contre la volonté de Dieu. Je sais bien , » ajouta-t-elle , que je dois mourir un jour ; » mais je ne sais ni où, ni quand, ni com
Página 127 - ... pour les mauvaises manières qu'a toujours tenues envers nous ledit de Bourgogne , qui , depuis la mort déplorable de notre frère, jusqu'à présent, n'a cessé de procéder, par voie de fait, par puissance et force d'armes , il doit être tenu pour ingrat et indigne , et , comme tel , déchu de tous les biens et de toutes les grâces qu'il a reçues de nous. » Sur quoi , après avoir mûrement délibéré, avec plusieurs de notre sang, et autres prud'hommes de nos sujets , tant de notre grand...
Página 158 - Le peuple , les gens de guerre, les femmes , les enfans, se pressaient autour d'elle, tous se tenaient pour délivrés et arrivés à la fin de leurs maux et de leurs périls ; ils se sentaient tout réconfortés et comme désassiégés par la vertu divine qu'on leur avait dit être en cette simple pucelle. Il semblait qu'ils vissent un ange de Dieu, ou Dieu lui-même descendu...
Página 145 - Car personne au monde, ni roi, ni ducs, ni fille du roi d'Ecosse, ne peuvent reprendre le royaume de France, et il n'ya pour lui de secours que moi-même, quoique j'aimasse mieux rester à filer près de ma pauvre mère; car ce n'est pas là mon ouvrage; mais il faut que j'aille et que je le fasse, parce que mon Seigneur le veut.
Página 176 - ... tinrent prêts. Chez les Français, tout ne pouvait pas être si bien réglé; le connétable était bien chef de l'armée, selon sa charge; mais il avait avec lui tant de princes qui avaient aussi leur volonté, que l'obéissance n'était pas chose facile à obtenir. Dès la veille, le comte de Nevers, le duc d'Orléans et plus de cinq cents jeunes seigneurs et gentilshommes s'étaient fait armer chevaliers par le maréchal Boucicault , dont on honorait la renommée sans écouter ses sages conseils....