Voyage littéraire de la Grèce: ou, Lettres sur les Grecs, anciens et modernes, avec un parallèle de leurs moeurs, Volumen 2Veuve Duchesne, 1783 |
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Términos y frases comunes
affez ainfi ajoûte anciens Andrinople Apollon Argos auffi avoient avoit avons beau befoin belle Bulgares c'eft C'eſt Céfar ceffé chofe confervé Conftantinople Conful connoiffance danfe déja Dieu Dieux difoit enfans enfuite enſemble eſt étoient étoit Ezech facrée faifoit fans favant fe font feconde fecours femme fentiment fervi feul fiècles foin foit fommes fon fils fous fouvent fuis fuivant fuivre fujet Grecque Grecs anciens Grecs modernes Hift Hiftoire Hippocrate Homère hommes Iliad Infcription j'ai j'étois jour jufqu'à l'Adoption l'Ambaffadeur l'Eglife l'Hiftoire laiffé LETTRE lifez Loix lorfque lorſque maiſon maladie malheureux Marſeille Mélos ment Moſquée Mufique n'eft n'eſt obfervations Ovid paffage paffé Patrie pays pefte père adoptif perfonne peſte peuple pilau plaifir préfent Priam puiffe quæ reconnoiffance refte Romains ruiffeau s'eft ſes Simoïs Smyrne ſon Sophie Thrace trifte trouve Troye Turcs Turquie ufage Virg voifins voudrois voyage Voyageur καὶ دو وو
Pasajes populares
Página 44 - N mal qui répand la terreur, Mal que le Ciel en fa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La pefte (puifqu'il faut l'appeler par fon nom) Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faifoit aux Animaux la guerre.
Página 110 - Fontenay, lieu délicieux Où je vis d'abord la lumière, Bientôt au bout de ma carrière, Chez toi je joindrai mes aïeux. Muses, qui dans ce lieu champêtre Avec soin me fîtes nourrir. Beaux arbres, qui m'avez vu naître, Bientôt vous me verrez mourir...
Página 114 - Non , vous n'efpérez plus de nous revoir encor , Sacrés murs , que n'a pu conferver mon Heûor ! A de moindres faveurs des malheureux prétendent ; Seigneur , c'eft un exil que mes pleurs vous demandent.
Página 139 - Xo'you (0, c'est à dire en apparence et non en effet, n'y ayant rien qui approchât de l'adoption des Romains , que les noms de père et de fils qu'ils se donnoient. Ce que Justin .fit assez connoître lorsque les ambassadeurs de Cabades, roy de Perse, lui offrirent la paix de la part de leur maître, au cas qu'il voulust adopter Cosroes, fils de la sœur de ce prince (') : cet empereur leur ayant fait réponse qu'il le vouloit bien, pourveu que ce fust à la mode des barbares et des étrangers,...
Página 25 - n'ai nul regret à la vie pour la vie même , » mais feulement pour l'amour de la mufique, » dont je n'ai pu atteindre encore toutes les pro
Página 331 - Semblables à ces vœux dans l'orage formés, Qu'efface un prompt oubli quand les flots sont calmés. Et vous, qu'avec tant d'art cette feinte...
Página 95 - Enfin Télémaque lui répondit d'une voix troublée et timide: je ne suis point à moi; les destinées me rappellent dans ma patrie. Mentor, qui a la sagesse des dieux, m'ordonne en leur nom de partir. Que voulez-vous que je fasse? Renoncerai-je à mon père, à ma mère, à ma patrie, qui me doit être encore plus chère qu'eux?
Página 110 - O mort ! daigne jeter sur moi des regards favorables : nous habiterons ensemblé chez les dieux infernaux. O lumière du jour! ô Soleil ! je vous vois pour la dernière fois. Salamine, palais de mes pères , Athènes , chers amis , fleuves , fontaines . prairies, qui m'avez vu naître, recevez les adieux d'Ajax : je réserve aux Mâoes le reste....
Página 2 - Le dépériflement de l'Architecture dans la Grece, n'a pas été auffi fenfible que celui des) autres arts. On y rencontre encore d'habiles Architectes. Le Sultan Selim I , qui s'étoit emparé de toutes les Eglifes de Conftantinople , en laifla une aux Grecs, en faveur d'un Architecte de cette Nation , qui avoit bâti , par fes ordres , une grande & magnifique mof.
Página 180 - EL s momens heureux nous avons paffés dans la maifon de Phocion ! Au retour de notre promenade fur les bords du Céphife tant célébré par nos Poètes, BOUS prîmes un repas frugal, pendant lequel nous nous entretînmes avec gayeté.