Histoire de la Révolution de France, pendant les dernières années du règne de Louis XVI, Volumen 14Chez Giguet, an 9-11, 1803 - 14 páginas |
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18 fructidor agens armée Augereau auroit Autrichiens avoient avoit Baboeuf bataille batave blique Bonaparte Bourbons campagne capitulation Carnot cinq cents citoyens composant coalition colonies comité de salut commandant conquête conseil des anciens conseil des cinq-cents conspirateurs constitution de l'an constitutionnel Convention corps législatif courage crimes déclara décret démagogues départemens déportation devoient devoit directoire directoire exécutif élémens émigrés ennemis étoient étoit faisoit falloit foiblesse force fran général en chef gloire gouvernement guerre Hollande jour Jourdan journée Kelh l'Europe l'Italie laisser Léoben liberté lois long-temps Louis XVI mée membres militaire mille hommes millions ministre mort n'avoit n'étoit nation nationale paix patrie patriotes peuple Pichegru politique premier prince puissances représentans répu républicains république cisalpine république française révolution révolutionnaire Rhin royalistes s'étoient Saint-Domingue Sambre et Meuse sang Santhonax sections seroit seul soldats succès tidor tion toire traité de Campo-Formio tribunal triomphe triumvirs Tronçon-Ducoudray trône troupes vendémiaire victoire vouloit Wurmser
Pasajes populares
Página 310 - République française n'a point de difficulté à restituer au roi de Prusse ses possessions sur la rive gauche du Rhin ; en conséquence, il ne sera question d'aucune acquisition nouvelle pour le roi de Prusse, ce que les deux puissances contractantes se garantissent mutuellement.
Página 216 - ... supposition que les chances de la guerre vous deviennent favorables, l'Allemagne n'en sera pas moins ravagée. Quant à moi, monsieur le général en chef, si l'ouverture que j'ai l'honneur de vous faire peut sauver la vie à un seul homme, je m'estimerai plus fier de la couronne civique que je me trouverais avoir méritée, que de la triste gloire qui peut revenir des succès militaires.
Página 299 - ... n'apprécie les généraux que par leurs succès , sans se donner la peine d'entrer dans aucun examen. La levée du siège de Landau fera époque dans l'histoire de cette malheureuse guerre, et j'ai le malheur d'y être impliqué. Les reproches tomberont sur moi , et l'innocent sera confondu avec le coupable.
Página 215 - L'Europe, qui avait pris les armes contre la République française, les a posées; votre nation reste seule, et cependant le sang va couler encore plus que jamais.
Página 204 - Peuples de l'Italie, l'armée française vient pour rompre vos chaînes ; le peuple français est l'ami de tous les peuples ; venez avec confiance audevant d'elle ; vos propriétés , votre religion et vos usages seront respectés. Nous ferons la guerre en ennemis généreux ; et nous n'en voulons qu'aux tyrans qui vous asservissent.
Página 309 - Bohême, renonce, pour elle et ses successeurs, en faveur de la République française, à tous ses droits et titres sur les ci-devant provinces Belgiques, connues sous le nom de Pays-Bas autrichiens.
Página 311 - Il ne sera distrait aucune partie de l'artillerie qui se trouvoit dans Mayence et dans les forteresses vénitiennes ci-dessus désignées, au moment de leur occupation par les troupes autrichiennes et françaises , ni rien changé à l'état actuel de leurs fortifications.
Página 36 - Tout individu qui a été porté sur une liste d'émigrés et n'a pas obtenu sa radiation définitive ; les pères, fils et petits-fils, frères et beaux-frères, les alliés au même degré, ainsi que les oncles et neveux des individus compris dans la liste d'émigrés et non définitivement rayés, sont exclus, jusqu'à la paix générale...
Página 303 - ... de ne donner aucune direction au commandement ni aux détails du corps, et de me borner à l'honneur de me rallier au drapeau blanc, avec le désir et la ferme intention d'accélérer par ma présence la fin des troubles qui agitent la France et l'Europe, et de déterminer la pacification générale par les seuls moyens qui puissent la rendre durable. « Je me dois à moi-même, je dois à l'empereur, de lui représenter tous les avantages qui résultent aussi évidemment de ma présence à l'armée,...
Página 309 - Frickthal et tout ce qui appartient à la maison d'Autriche sur la rive gauche du Rhin, entre Zurzach et Baie ; la République française se réservant de céder ce dernier pays à la république helvétique.