Œuvres de Fénelon, archevêque de Cambrai, Volumen 3Firmin Didot Frères, Libraries, 1845 |
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... regardait Mentor . Elle était étonnée ; elle croyait sentir en lui quelque chose de divin ; mais elle ne pouvait démêler ses pen- sées confuses : ainsi elle demeurait pleine de crainte et de défiance à la vue de cet inconnu . Alors elle ...
... regardait Mentor . Elle était étonnée ; elle croyait sentir en lui quelque chose de divin ; mais elle ne pouvait démêler ses pen- sées confuses : ainsi elle demeurait pleine de crainte et de défiance à la vue de cet inconnu . Alors elle ...
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... regardait avec étonnement , et il crut apercevoir en moi je ne sais quoi d'heureux qui vient des dons du ciel , et qui n'est point dans le commun des hommes . Il était naturellement sincère et géné- reux ; il fut touché de mon malheur ...
... regardait avec étonnement , et il crut apercevoir en moi je ne sais quoi d'heureux qui vient des dons du ciel , et qui n'est point dans le commun des hommes . Il était naturellement sincère et géné- reux ; il fut touché de mon malheur ...
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... regardait seulement avec crainte ces hautes tours , qui étaient nuit et jour entourées de gardes , où il s'était mis lui - même comme en prison , se renfermant avec ses trésors . Je comparais ce roi invisible avec Sésostris si doux , si ...
... regardait seulement avec crainte ces hautes tours , qui étaient nuit et jour entourées de gardes , où il s'était mis lui - même comme en prison , se renfermant avec ses trésors . Je comparais ce roi invisible avec Sésostris si doux , si ...
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... regardait tristement avec des yeux pleins d'une tendre com- passion . Enfin je lui dis : Hélas ! d'où venez - vous ? en quels dangers ne m'avez - vous pas laissé pendant votre absence ! et que ferais - je maintenant sans vous ? Mais ...
... regardait tristement avec des yeux pleins d'une tendre com- passion . Enfin je lui dis : Hélas ! d'où venez - vous ? en quels dangers ne m'avez - vous pas laissé pendant votre absence ! et que ferais - je maintenant sans vous ? Mais ...
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... regardait ses beaux cheveux noués , ses habits flottants , et sa noble démarche . Il aurait voulu pouvoir baiser les traces de ses pas . Lors même qu'il la perdit de vue , il prêtait encore l'oreille , s'i- maginant entendre sa voix ...
... regardait ses beaux cheveux noués , ses habits flottants , et sa noble démarche . Il aurait voulu pouvoir baiser les traces de ses pas . Lors même qu'il la perdit de vue , il prêtait encore l'oreille , s'i- maginant entendre sa voix ...
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Términos y frases comunes
Adraste aime Aristote assez aurait autorité avaient avez besoin c'était Calypso Cambrai cher choses cœur commença conseil courage croyait cruelle d'Espagne Dauniens déesse demande Dieu dieux Diogène dire disait dit-il divin doit donner douleur Égypte enfants ennemis Épicure état êtes Fénelon fils d'Ulysse gens gloire gouvernement Grecs guerre heureux Hippias hommes Idoménée Ithaque j'ai jamais jeune joie jour juger Jupiter l'autorité l'île Laërte laisser lois madame madame Guyon main malheureux maux Ménélas ment Mentor Minerve monde monsieur mort nation Nestor paix parler paroles passer passions patrie pays peine pendant Pénélope père Périandre personne peuple Phéaciens Philoclès Philoctète philosophie Pisistrate plaisir Platon poëte pouvait prince Protésilas puissance Pylos qu'à qu'un raison rendre répondit rien rois royaume s'il sage sagesse sentiments serait servir seul Socrate Solon sortes souffrir souverain Télémaque terre tion Troie troupes trouver Ulysse vaisseau vérité vertu Voilà voulait Xénocrate yeux
Pasajes populares
Página 429 - Cependant vos peuples, que vous devriez aimer comme vos enfants, et qui ont été jusqu'ici si passionnés pour vous, meurent de faim. La culture des terres est presque abandonnée; les villes et la campagne se dépeuplent; tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers. Tout commerce est anéanti.
Página 83 - Il voulut qu'on punît sévèrement toutes les banqueroutes, parce que celles qui sont exemptes de mauvaise foi ne le sont presque jamais de témérité. En même temps il fit des règles pour faire en sorte qu'il fût aisé de ne faire jamais banqueroute.
Página 49 - Quand on parle à ces peuples des batailles sanglantes , des rapides conquêtes , des renversemens d'état qu'on voit dans les autres nations , ils ne peuvent assez s'étonner. Quoi! disent-ils, les hommes ne sont-ils pas assez mortels , sans se donner encore les uns aux autres une mort précipitée ? la vie est si courte ! et il semble qu'elle leur paraisse trop...
Página 218 - L'homme digne d'être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu...
Página 238 - L'eau frémit sous le Dieu qui lui donne la loi (3), Et semble avec plaisir reconnoltre son roi. Cependant le char vole, etc. Ainsi le législateur des Juifs, qui n'étoit pas un homme ordinaire, ayant fort bien conçu la grandeur et la puissance de Dieu, l'a exprimée dans toute sa dignité au commencement de ses lois, par ces paroles : Dieu dit, Que la lumière se fasse; et la lumière se fit : Que la terre se fasse; et la terre fut faite.
Página 82 - J'avoue, reprit Mentor, qu'il a fait de grandes fautes; mais cherchez dans la Grèce et dans tous les autres pays les mieux policés un roi qui n'en ait point fait d'inexcusables. Les plus grands hommes ont, dans leur tempérament et dans le caractère de leur esprit, des défauts qui les entraînent, et les plus louables sont ceux qui ont le courage de connaître et de réparer leurs égarements.
Página 97 - Il se regardait comme étant d'une autre nature que le reste des hommes ; les autres ne lui semblaient mis sur la terre par les dieux que pour lui plaire, pour le servir, pour prévenir tous ses désirs, et pour rapporter...
Página 93 - D'abord, je l'interrompis , en lui disant : Quoi ! Achille est mort ! Pardonne-moi, mon fils, si je trouble ton récit par les larmes que je dois à ton père.
Página 67 - C'est ainsi que les justes dieux, amateurs des hommes, qu'ils ont formés, veulent être le lien éternel de leur parfaite concorde. Tout le genre humain n'est qu'une famille dispersée sur la face de toute la terre. Tous les peuples sont frères, et doivent s'aimer comme tels.
Página 113 - J'ai cru que le reste des hommes était, à l'égard des rois , ce que les chevaux et les autres tétés de charge sont à l'égard des hommes , c'està-dire des animaux dont on ne fait cas qu'autant qu'ils rendent de services , et qu'ils donnent de commodités. Je l'ai cru ; c'est vous qui me l'avez fait croire; et maintenant je souffre tant de maux pour vous avoir imité.