Œuvres de Fénelon, archevêque de Cambrai, Volumen 3Firmin Didot Frères, Libraries, 1845 |
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... lieu le plus secret et le plus reculé d'une grotte voi- sine de celle où la déesse demeurait . Les nymphes avaient eu soin d'allumer en ce lieu un grand feu de bois de cèdre dont la bonne odeur se répandait de tous côtés , et elles y ...
... lieu le plus secret et le plus reculé d'une grotte voi- sine de celle où la déesse demeurait . Les nymphes avaient eu soin d'allumer en ce lieu un grand feu de bois de cèdre dont la bonne odeur se répandait de tous côtés , et elles y ...
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... lieu où il se renferme : on ne sait jamais dans laquelle de ces chambres il cou- che ; et on assure qu'il ne couche jamais deux nuits de suite dans la même , de peur d'y être égorgé . Il ne connaît ni les doux plaisirs , ni l'amitié ...
... lieu où il se renferme : on ne sait jamais dans laquelle de ces chambres il cou- che ; et on assure qu'il ne couche jamais deux nuits de suite dans la même , de peur d'y être égorgé . Il ne connaît ni les doux plaisirs , ni l'amitié ...
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... lieu , je reconnus Mentor , qui me dit : Fuyez cette cruelle terre , cette île empestée , où l'on ne respire que la volupté . La vertu la plus courageuse y doit trembler , et ne peut se sauver qu'en fuyant . Dès que je le vis , je ...
... lieu , je reconnus Mentor , qui me dit : Fuyez cette cruelle terre , cette île empestée , où l'on ne respire que la volupté . La vertu la plus courageuse y doit trembler , et ne peut se sauver qu'en fuyant . Dès que je le vis , je ...
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... lieu sacré aucune victime ; on n'y brûle | douce langueur s'emparait de moi ; j'aimais déjà le point , comme ailleurs , la graisse des génisses et poison flatteur qui se glissait de veine en veine , et des taureaux ; on ne répand jamais ...
... lieu sacré aucune victime ; on n'y brûle | douce langueur s'emparait de moi ; j'aimais déjà le point , comme ailleurs , la graisse des génisses et poison flatteur qui se glissait de veine en veine , et des taureaux ; on ne répand jamais ...
Página 31
... lieu de ma naissance . J'aime mieux obéir à mon père Ulysse , et consoler ma mère Pénélope , que régner sur tous les peuples de l'univers . O Crétois , vous voyez le fond de mon cœur : il faut que je vous quitte ; mais la mort seule ...
... lieu de ma naissance . J'aime mieux obéir à mon père Ulysse , et consoler ma mère Pénélope , que régner sur tous les peuples de l'univers . O Crétois , vous voyez le fond de mon cœur : il faut que je vous quitte ; mais la mort seule ...
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Términos y frases comunes
Adraste aime Aristote assez aurait autorité avaient avez besoin c'était Calypso Cambrai cher choses cœur commença conseil courage croyait cruelle d'Espagne Dauniens déesse demande Dieu dieux Diogène dire disait dit-il divin doit donner douleur Égypte enfants ennemis Épicure état êtes Fénelon fils d'Ulysse gens gloire gouvernement Grecs guerre heureux Hippias hommes Idoménée Ithaque j'ai jamais jeune joie jour juger Jupiter l'autorité l'île Laërte laisser lois madame madame Guyon main malheureux maux Ménélas ment Mentor Minerve monde monsieur mort nation Nestor paix parler paroles passer passions patrie pays peine pendant Pénélope père Périandre personne peuple Phéaciens Philoclès Philoctète philosophie Pisistrate plaisir Platon poëte pouvait prince Protésilas puissance Pylos qu'à qu'un raison rendre répondit rien rois royaume s'il sage sagesse sentiments serait servir seul Socrate Solon sortes souffrir souverain Télémaque terre tion Troie troupes trouver Ulysse vaisseau vérité vertu Voilà voulait Xénocrate yeux
Pasajes populares
Página 429 - Cependant vos peuples, que vous devriez aimer comme vos enfants, et qui ont été jusqu'ici si passionnés pour vous, meurent de faim. La culture des terres est presque abandonnée; les villes et la campagne se dépeuplent; tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers. Tout commerce est anéanti.
Página 83 - Il voulut qu'on punît sévèrement toutes les banqueroutes, parce que celles qui sont exemptes de mauvaise foi ne le sont presque jamais de témérité. En même temps il fit des règles pour faire en sorte qu'il fût aisé de ne faire jamais banqueroute.
Página 49 - Quand on parle à ces peuples des batailles sanglantes , des rapides conquêtes , des renversemens d'état qu'on voit dans les autres nations , ils ne peuvent assez s'étonner. Quoi! disent-ils, les hommes ne sont-ils pas assez mortels , sans se donner encore les uns aux autres une mort précipitée ? la vie est si courte ! et il semble qu'elle leur paraisse trop...
Página 218 - L'homme digne d'être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu...
Página 238 - L'eau frémit sous le Dieu qui lui donne la loi (3), Et semble avec plaisir reconnoltre son roi. Cependant le char vole, etc. Ainsi le législateur des Juifs, qui n'étoit pas un homme ordinaire, ayant fort bien conçu la grandeur et la puissance de Dieu, l'a exprimée dans toute sa dignité au commencement de ses lois, par ces paroles : Dieu dit, Que la lumière se fasse; et la lumière se fit : Que la terre se fasse; et la terre fut faite.
Página 82 - J'avoue, reprit Mentor, qu'il a fait de grandes fautes; mais cherchez dans la Grèce et dans tous les autres pays les mieux policés un roi qui n'en ait point fait d'inexcusables. Les plus grands hommes ont, dans leur tempérament et dans le caractère de leur esprit, des défauts qui les entraînent, et les plus louables sont ceux qui ont le courage de connaître et de réparer leurs égarements.
Página 97 - Il se regardait comme étant d'une autre nature que le reste des hommes ; les autres ne lui semblaient mis sur la terre par les dieux que pour lui plaire, pour le servir, pour prévenir tous ses désirs, et pour rapporter...
Página 93 - D'abord, je l'interrompis , en lui disant : Quoi ! Achille est mort ! Pardonne-moi, mon fils, si je trouble ton récit par les larmes que je dois à ton père.
Página 67 - C'est ainsi que les justes dieux, amateurs des hommes, qu'ils ont formés, veulent être le lien éternel de leur parfaite concorde. Tout le genre humain n'est qu'une famille dispersée sur la face de toute la terre. Tous les peuples sont frères, et doivent s'aimer comme tels.
Página 113 - J'ai cru que le reste des hommes était, à l'égard des rois , ce que les chevaux et les autres tétés de charge sont à l'égard des hommes , c'està-dire des animaux dont on ne fait cas qu'autant qu'ils rendent de services , et qu'ils donnent de commodités. Je l'ai cru ; c'est vous qui me l'avez fait croire; et maintenant je souffre tant de maux pour vous avoir imité.