Œuvres de Fénelon, archevêque de Cambrai, Volumen 3Firmin Didot Frères, Libraries, 1845 |
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... Voilà un homme qui n'a cherché qu'à se rendre heu- reux : il a cru y parvenir par les richesses et par une autorité absolue . il possède tout ce qu'il peut dé- sirer ; et cependant il est misérable par ses richesses et par son autorité ...
... Voilà un homme qui n'a cherché qu'à se rendre heu- reux : il a cru y parvenir par les richesses et par une autorité absolue . il possède tout ce qu'il peut dé- sirer ; et cependant il est misérable par ses richesses et par son autorité ...
Página 27
... voilà mon sang , épargne le sien . En parlant ainsi , il tira son épée pour se percer ; mais ceux qui étaient autour de lui arrêtèrent sa main . Le vieillard Sophronyme , interprète des volon- tés des dieux , lui assura qu'il pouvait ...
... voilà mon sang , épargne le sien . En parlant ainsi , il tira son épée pour se percer ; mais ceux qui étaient autour de lui arrêtèrent sa main . Le vieillard Sophronyme , interprète des volon- tés des dieux , lui assura qu'il pouvait ...
Página 30
... Voilà les avantages qu'il a au dehors . Ceux dont il jouit au de- dans sont encore plus solides . Puisqu'il est propre à gouverner en paix , je dois supposer qu'il gouverne par les plus sages lois . Il retranche le faste , la mol- lesse ...
... Voilà les avantages qu'il a au dehors . Ceux dont il jouit au de- dans sont encore plus solides . Puisqu'il est propre à gouverner en paix , je dois supposer qu'il gouverne par les plus sages lois . Il retranche le faste , la mol- lesse ...
Página 33
... Voilà votre roi , s'il est vrai que vous désiriez de faire régner chez vous les lois du sage Minos . Tout le peuple s'écria : Il est vrai , Aristodème est tel que vous le dites ; c'est lui qui est digne de régner . Les vieillards le ...
... Voilà votre roi , s'il est vrai que vous désiriez de faire régner chez vous les lois du sage Minos . Tout le peuple s'écria : Il est vrai , Aristodème est tel que vous le dites ; c'est lui qui est digne de régner . Les vieillards le ...
Página 40
... voilà engagée ; et les ondes du Styx , par lesquelles tu as juré , ne te permettent plus aucune espérance . Per- sonne n'entendait ces paroles : mais on voyait sur son visage les Furies peintes ; et tout le venin em- pesté du noir ...
... voilà engagée ; et les ondes du Styx , par lesquelles tu as juré , ne te permettent plus aucune espérance . Per- sonne n'entendait ces paroles : mais on voyait sur son visage les Furies peintes ; et tout le venin em- pesté du noir ...
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Términos y frases comunes
Adraste aime Aristote assez aurait autorité avaient avez besoin c'était Calypso Cambrai cher choses cœur commença conseil courage croyait cruelle d'Espagne Dauniens déesse demande Dieu dieux Diogène dire disait dit-il divin doit donner douleur Égypte enfants ennemis Épicure état êtes Fénelon fils d'Ulysse gens gloire gouvernement Grecs guerre heureux Hippias hommes Idoménée Ithaque j'ai jamais jeune joie jour juger Jupiter l'autorité l'île Laërte laisser lois madame madame Guyon main malheureux maux Ménélas ment Mentor Minerve monde monsieur mort nation Nestor paix parler paroles passer passions patrie pays peine pendant Pénélope père Périandre personne peuple Phéaciens Philoclès Philoctète philosophie Pisistrate plaisir Platon poëte pouvait prince Protésilas puissance Pylos qu'à qu'un raison rendre répondit rien rois royaume s'il sage sagesse sentiments serait servir seul Socrate Solon sortes souffrir souverain Télémaque terre tion Troie troupes trouver Ulysse vaisseau vérité vertu Voilà voulait Xénocrate yeux
Pasajes populares
Página 429 - Cependant vos peuples, que vous devriez aimer comme vos enfants, et qui ont été jusqu'ici si passionnés pour vous, meurent de faim. La culture des terres est presque abandonnée; les villes et la campagne se dépeuplent; tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers. Tout commerce est anéanti.
Página 83 - Il voulut qu'on punît sévèrement toutes les banqueroutes, parce que celles qui sont exemptes de mauvaise foi ne le sont presque jamais de témérité. En même temps il fit des règles pour faire en sorte qu'il fût aisé de ne faire jamais banqueroute.
Página 49 - Quand on parle à ces peuples des batailles sanglantes , des rapides conquêtes , des renversemens d'état qu'on voit dans les autres nations , ils ne peuvent assez s'étonner. Quoi! disent-ils, les hommes ne sont-ils pas assez mortels , sans se donner encore les uns aux autres une mort précipitée ? la vie est si courte ! et il semble qu'elle leur paraisse trop...
Página 218 - L'homme digne d'être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu...
Página 238 - L'eau frémit sous le Dieu qui lui donne la loi (3), Et semble avec plaisir reconnoltre son roi. Cependant le char vole, etc. Ainsi le législateur des Juifs, qui n'étoit pas un homme ordinaire, ayant fort bien conçu la grandeur et la puissance de Dieu, l'a exprimée dans toute sa dignité au commencement de ses lois, par ces paroles : Dieu dit, Que la lumière se fasse; et la lumière se fit : Que la terre se fasse; et la terre fut faite.
Página 82 - J'avoue, reprit Mentor, qu'il a fait de grandes fautes; mais cherchez dans la Grèce et dans tous les autres pays les mieux policés un roi qui n'en ait point fait d'inexcusables. Les plus grands hommes ont, dans leur tempérament et dans le caractère de leur esprit, des défauts qui les entraînent, et les plus louables sont ceux qui ont le courage de connaître et de réparer leurs égarements.
Página 97 - Il se regardait comme étant d'une autre nature que le reste des hommes ; les autres ne lui semblaient mis sur la terre par les dieux que pour lui plaire, pour le servir, pour prévenir tous ses désirs, et pour rapporter...
Página 93 - D'abord, je l'interrompis , en lui disant : Quoi ! Achille est mort ! Pardonne-moi, mon fils, si je trouble ton récit par les larmes que je dois à ton père.
Página 67 - C'est ainsi que les justes dieux, amateurs des hommes, qu'ils ont formés, veulent être le lien éternel de leur parfaite concorde. Tout le genre humain n'est qu'une famille dispersée sur la face de toute la terre. Tous les peuples sont frères, et doivent s'aimer comme tels.
Página 113 - J'ai cru que le reste des hommes était, à l'égard des rois , ce que les chevaux et les autres tétés de charge sont à l'égard des hommes , c'està-dire des animaux dont on ne fait cas qu'autant qu'ils rendent de services , et qu'ils donnent de commodités. Je l'ai cru ; c'est vous qui me l'avez fait croire; et maintenant je souffre tant de maux pour vous avoir imité.