Port-Royal: par C.-A. Sainte-Beuvelibrairie de L. Hachette et Cie, 1867 |
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Page 25
... parler ; on le réprimait , nous le verrons , dans Santeul , dans Racine lui - même 2 ; il fallait qu'il servît tout à la religion . Mademoiselle Boullongne , fille et sœur 1. S'il avait d'abord traduit ces Hymnes du Bréviaire dans sa ...
... parler ; on le réprimait , nous le verrons , dans Santeul , dans Racine lui - même 2 ; il fallait qu'il servît tout à la religion . Mademoiselle Boullongne , fille et sœur 1. S'il avait d'abord traduit ces Hymnes du Bréviaire dans sa ...
Page 54
... parler comme vous faites . » Sur cela , un gentil- homme de la suite du seigneur reconnut M. de La Mo- the , et fit souvenir son maître que c'était le même qu'il avait dû voir durant les guerres civiles en telles ou telles rencontres ...
... parler comme vous faites . » Sur cela , un gentil- homme de la suite du seigneur reconnut M. de La Mo- the , et fit souvenir son maître que c'était le même qu'il avait dû voir durant les guerres civiles en telles ou telles rencontres ...
Page 58
... parler . Il eut très - jeune la charge de mestre - de camp des carabins après son oncle ; mais , commandant à Philisbourg , une nuit il se laissa surprendre1 . D'Andilly remarque que je ne sais quoi de fatal sembla s'opposer toujours à ...
... parler . Il eut très - jeune la charge de mestre - de camp des carabins après son oncle ; mais , commandant à Philisbourg , une nuit il se laissa surprendre1 . D'Andilly remarque que je ne sais quoi de fatal sembla s'opposer toujours à ...
Page 60
... parler à fond de M. Arnauld l'avocat , le second fils de M. de La Mothe , le cadet de M. de La Mothe du siége d'Issoire , l'un des ainés de M. Arnauld du Fort et le père de tous les nôtres . Il avait succédé à son père dans la charge de ...
... parler à fond de M. Arnauld l'avocat , le second fils de M. de La Mothe , le cadet de M. de La Mothe du siége d'Issoire , l'un des ainés de M. Arnauld du Fort et le père de tous les nôtres . Il avait succédé à son père dans la charge de ...
Page 61
... parler de ce dernier , dont on a quelques oraisons funèbres imprimées , et même de l'avant - dernier , dont les sermons , bien que publiés d'abord en . d'Ablancourt ; on l'a redit de Patru au barreau LIVRE PREMIER . 61.
... parler de ce dernier , dont on a quelques oraisons funèbres imprimées , et même de l'avant - dernier , dont les sermons , bien que publiés d'abord en . d'Ablancourt ; on l'a redit de Patru au barreau LIVRE PREMIER . 61.
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Port-Royal, Volume 1 Charles Augustin Sainte-Beuve,Anatole de Montaiglon Affichage du livre entier - 1867 |
Expressions et termes fréquents
âmes Antoine Arnauld assez avoit Bossuet c'était Camus cardinal catholique charité chose chrétienne Citeaux cloître cœur confesseur Corneille Cyran d'Andilly dévotion Dieu Dioclétien dire disait dix-septième siècle doctrine écrit esprit étoit évêque Fénelon fille François de Sales Henri IV homme j'ai Jansénisme Jansénius Jésuites Jésus-Christ jeune Angélique jour Journée du Guichet juge l'abbaye l'abbé l'abbesse l'âme l'Église l'esprit l'évêque laisser Lancelot lettre livre lui-même madame Arnauld madame Le Maître maison Marion Maubuisson ment mère Agnès mère Angélique monastère monde mort n'avait Néarque parler paroles Pascal passer Pauline pénitence pensée Père poëte Polyeucte Port-Royal pourtant premier presque prêtre Racine réforme religieuses religion reste Richelieu rien Rome Rotrou s'en sacrement saint Augustin saint François Saint Genest Saint-Cyran seizième siècle semble sens sentiment serait Séricourt seul Sévère Singlin sœur Marie-Claire solitaires sorte spirituel sujet surtout théologie tion trouve Utrecht vérité Vincent Vincent de Paul voilà vrai Zamet
Fréquemment cités
Page 132 - Oui, si la vie et la mort de Socrate sont d'un sage, la vie et la mort de Jésus sont d'un Dieu.
Page 407 - L'intrépidité d'un homme incrédule, mais mourant, ne peut le garantir de quelque trouble, s'il raisonne ainsi : Je me suis trompé mille fois sur mes plus palpables intérêts, et j'ai pu me tromper encore sur la religion. Or, je n'ai plus le temps ni la force de l'approfondir, et je meurs...
Page 129 - Chez nos dévots aïeux le théâtre abhorré Fut longtemps dans la France un plaisir ignoré. De pèlerins , dit-on , une troupe grossière : En public à Paris y monta la première : Et , sottement zélée en sa simplicité , Joua les saints , la Vierge , et Dieu , par piété.
Page 122 - Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir : De vos sacrés attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus rien qui les puisse émouvoir.
Page 246 - On ne montre pas sa grandeur pour être à une extrémité, mais bien en touchant les deux à la fois, et remplissant tout l'entre-deux.
Page 551 - Sa phrase molle et lâche, impuissante et couarde, côtoie les sujets, se glisse le long des idées, elle en a peur; elle tourne dans l'ombre comme un chacal; elle entre dans les cimetières historiques, philosophiques et particuliers; elle en rapporte d'estimables cadavres qui n'ont rien fait à l'auteur pour être ainsi remués : des Loyson, des Vinet, des Saint-Victor, Desjardins, Kœrner, des Singlin, etc.
Page 235 - Vertu suprême, belle, triomphante, amoureuse, délicieuse pareillement et courageuse, ennemie professe et irréconciliable d'aigreur, de desplaisir, de crainte, et de contrainte...
Page 150 - Ont acquis dans la scène un légitime bruit, Et de qui certes l'art comme l'estime est juste , Portent les noms fameux de Pompée et d'Auguste; Ces poèmes sans prix , où son illustre main D'un pinceau sans pareil a peint l'esprit romain, Rendront de leurs beautés votre oreille idolâtre, Et sont aujourd'hui l'âme et l'amour du théâtre.
Page 156 - Et qui régla des deux les divers mouvements ; La terre à son pouvoir rend un muet hommage , Les rois sont ses sujets, le monde est son partage; Si l'onde est agitée, il la peut affermir; S'il querelle les vents, ils n'osent plus frémir; S'il commande au soleil, il arrête. sa course...
Page 106 - De son teint tout à coup efface la couleur? Esther, que craignez-vous? Suis-je pas votre frère? Est-ce pour vous qu'est fait un ordre si sévère? Vivez, le sceptre d'or, que vous tend cette main, Pour vous de ma clémence est un gage certain.