Mémoires de M. le comte de VaublancFirmin Didot et cie., 1857 - 491 páginas |
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... garde nationale de Paris . Il était à pied , en habit de soie , avec la bourse noire et les bas de soie blancs . Après la revue , un notaire , qui , je crois , se nommait Chaudron , sortit des rangs et dit au roi : « Sire , la garde ...
... garde nationale de Paris . Il était à pied , en habit de soie , avec la bourse noire et les bas de soie blancs . Après la revue , un notaire , qui , je crois , se nommait Chaudron , sortit des rangs et dit au roi : « Sire , la garde ...
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... garde national . » Cette réponse me rappelle celle que me fit le comte d'Artois lorsque je lui dis combien il serait ... nationale de Paris . Tandis qu'il était membre de l'Assemblée constituante , il avait une très - grande popularité ...
... garde national . » Cette réponse me rappelle celle que me fit le comte d'Artois lorsque je lui dis combien il serait ... nationale de Paris . Tandis qu'il était membre de l'Assemblée constituante , il avait une très - grande popularité ...
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... garde nationale , plusieurs régiments suisses et un grand nombre de bons citoyens prêts à braver tous les périls pour le soutien du trône , et bien plus encore pour écraser une faction qui me- naçait à la fois la vie et les propriétés ...
... garde nationale , plusieurs régiments suisses et un grand nombre de bons citoyens prêts à braver tous les périls pour le soutien du trône , et bien plus encore pour écraser une faction qui me- naçait à la fois la vie et les propriétés ...
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... garde nationale parut animée des meilleurs sentiments , et je puis assurer que la grande masse du peuple se montra franchement royaliste . On le vit surtout quand le roi , qui était à l'École militaire avec sa famille , en partit pour ...
... garde nationale parut animée des meilleurs sentiments , et je puis assurer que la grande masse du peuple se montra franchement royaliste . On le vit surtout quand le roi , qui était à l'École militaire avec sa famille , en partit pour ...
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... garde nationale annonçait énergiquement qu'elle était encore animée de l'indignation inspirée par l'attentat du 20 juin . Après le serment prêté par le roi , et lorsqu'il descendit de l'autel , les applaudissements furent presque ...
... garde nationale annonçait énergiquement qu'elle était encore animée de l'indignation inspirée par l'attentat du 20 juin . Après le serment prêté par le roi , et lorsqu'il descendit de l'autel , les applaudissements furent presque ...
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Términos y frases comunes
administrateur agent Anglais armée arriver assemblées aurait avaient belle bientôt Bonaparte c'était capitaine Carnot chambre Charles X cheval chevalier de Saint-Louis choses colonel colonie comité commandant comte COMTE DE VAUBLANC conduite conseil Conseil des Cinq-Cents conspirateurs Convention courage cultivateur déclara demanda députés désignation devait Directoire disait discours domestique donner élèves espèce esprit étions factieux faisait femme floréal force garde nationale général général de brigade général Pichegru gouvernement guerre habitants homme de loi j'ai j'avais j'en j'étais J'eus jeune jour juge de paix l'armée l'Assemblée constituante Louis XVI maison malheureux marchand marche maréchal membres ment messidor Metz militaire ministre n'avait n'était négociant nègres noble officier municipal parler passe-port passer Pastoret pendant penser perruquier personnes peuple poudre pouvait prairial présentait prêtre prince remarquable reste Révolution révolutionnaire royale s'était Saint-Domingue sentiments serait seul siècle des lumières soldat sortir Souvarow souvent succès tête tion Total troupes trouvai vaisseau VAUBLANC vîmes
Pasajes populares
Página 24 - On les voit à peine, on les sent plutôt qu'on ne les voit; on a des peines infinies à les faire sentir à ceux qui ne les sentent pas d'eux-mêmes...
Página 115 - Sur tous mes frères morts se faisant un passage; Et de sang tout couvert échauffant le carnage Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés sous le fer expirants.
Página 115 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche et ne me trouve plus. Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune; Je ne me souviens plus des leçons de Neptune; Mes seuls gémissements font retentir les bois, Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix.
Página 115 - Des héros de la Grèce assembla-t-il l'élite? Pourquoi, trop jeune encor, ne pûtes-vous alors Entrer dans le vaisseau qui le mit sur nos bords?
Página 359 - Ce prince, dans sa réponse, parla de consulter l'opinion publique, et dit ces paroles : « Nous ne venons pas pour donner nous-mêmes un roi à la « France. Nous voulons connaître ses intentions; c'est à elle à « se prononcer, mais hors de notre ligne militaire ; car il inv « porte qu'on ne croie pas que l'opinion a pu être influencée
Página 398 - ... fortune : l'autre, et par l'avantage d'une si haute naissance, et par ces grandes pensées que le ciel envoie, et par une espèce d'instinct admirable dont les hommes ne connaissent pas le secret, semble né pour entraîner la fortune dans ses desseins, et forcer les destinées.
Página 238 - Après douze ou quinze exécutions, une partie de l'horrible instrument se brisa ; on fit venir un ouvrier pour le réparer. Le condamné était avec les autres victimes, auprès de l'échafaud, les mains liées derrière le dos. La réparation fut longue. Le jour commençait à baisser; la foule très-nombreuse des spectateurs était occupée du travail qu'on faisait à la guillotine bien plus que des victimes qui attendaient la mort; tous, et les gendarmes eux-mêmes, avaient les yeux attachés...
Página 239 - Champs-Elysées. Pendant ce petit repas, il paraissait attendre que ses camarades vinssent lui rendre son chapeau; ne les voyant pas arriver, il pria son convive de porter un billet à un de ses amis qu'il voulait prier de lui apporter un chapeau, parce qu'il ne voulait pas traverser les rues tête nue.
Página 23 - ... ce qui fait que des géomètres ne sont pas fins, c'est qu'ils ne voient pas ce qui est devant eux, et qu'étant accoutumés aux principes nets et grossiers de géométrie, et à ne raisonner qu'après avoir bien vu et manié leurs principes, ils se perdent dans les choses de finesse, où les principes ne se laissent pas ainsi manier.
Página v - Le bon ton voulait que le rouge fût très épais, qu'il touchât les paupières inférieures des yeux. Cela, disaiton, donnait du feu aux yeux. On tenait tant à ce rouge, que toutes les femmes avaient dans leur poche une boîte plus ou moins riche, dans laquelle étaient les mouches , le rouge , le pinceau, et surtout le miroir. Plusieurs dames renouvelaient, sans façon à leur aise, leurs belles joues rouges partout où elles se trouvaient.