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de campagne.

415. La fête des Palilies.

Prière d'un berger à Palès. 416. La fête de la Junon de Falé

ries. - 417. Prière d'un marchand à Mercure.

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ment on chassait les revenants. - 419. La fête des Ambarvales. 420. Invocation aux dieux des champs. - 421. Le Dieu du foyer. - 422. Les Parentales. 423. Le dévouement de Décius. 424. La cérémonie du ver sacrum. 425. Le clou planté chaque année par les consuls ou les dictateurs. 426. Expiation d'un prodige. 427. Prières de Scipion au départ de sa flotte. -- 428. Mesures contre l'introduction des cultes étrangers. 429. Les Bacchanales. — 430. Les prières aux dieux. — 431. Les divinités d'Égypte. - 433. La pro

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- 432. Prière d'un dévot à la déesse Isis. cession d'Isis.

434 Une initiation au culte d'Isis.

CHAPITRE XI

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RELIGION.

435. Importance de la religion dans l'État romain. 436. Contre un consul désigné qui va prendre son commandement sans avoir accompli les cérémonies prescrites. 437. Définition du mot Genius. De son origine. - 438. Le Destin. 439. Qui gouverne le monde? - 440. Les dieux s'occupent des choses humaines. 441. Sur la puissance des Dieux et sur la prière. 442. Sur la bonté des dieux. 443. Imitons la bonté des dieux. 444. Dieu éprouve ses élus. 445. De la Providence. – 446. Preuve physique de l'existence de Dieu. 447. Le monde a été fait pour l'homme. 448. Que l'harmonie du monde ne peut être l'œuvre du hasard. 449. Opinion de Varron sur la Divinité. - 450. Sur les dieux du paganisme. 451. Sénèque,

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cité par saint Augustin, se moque des dieux païens. 452. Conduite étrange des Romains envers leurs dieux. - 453. Les démons, intermédiaires entre les dieux et les hommes. 454. Des anges gardiens, selon la philosophie platonicienne. 455. La Métempsychose. 456. L'âme de Pompée quitte la terre. 457. Création de l'homme. 458. Origine divine de l'âme. 459. Dieu anime le monde. 460. La fraternité humaine. - 461. Souvenonsnous de notre origine divine. 462. L'immortalité de

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l'âme, sanction de la vertu. vertus ne sont rien.

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463. Sans la piété les autres 464. Plaintes de Prométhée.

465. Capanée brave les Dieux. 466. La vision de Cassandre. 467. Croire aux dieux et les imiter, c'est les honorer. 468. Cicéron distingue la religion de la superstition. 469. Pratiques barbares de la religion romaine. 470. Superstitions puériles. 471. Contre la superstition. 472. Les spectres. 473. Procès de C. Furius Crésinus. 474. Papirius et le gardien des poulets sacrés. 475. Une sorcière thessalienne. — 476. Pratiques d'une sorcière thessalienne. 477. La forêt enchantée

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de Marseille.

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478. Psyché est transportée dans un palais merveilleux. 479. La curiosité de Psychée est 480. Les superstitions et les dieux des Gaulois. 482. L'autel de la Clémence.

punie.

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481. Les

Druides.

483. Moïse et le Judaïsme.

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Néron. 485. Une enquête sur les chrétiens. — 486. Les réunions des premiers chrétiens.

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487. Le Dieu des chrétiens. 488. De la liberté des cultes. 489. De la vengeance de Dieu sur les bourreaux des chrétiens. 490. Il est beau de mourir pour sa foi. 491. C'est la foi qui fait la force des chrétiens au sein de persécutions. 492. Les chrétiens à leurs persécuteurs. 493. Défense du nom chré

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tien. - 494. Un chrétien des premiers siècles réfute quelques objections des païens. 495. Bienfaits de l'Église.

496. La Providence se révèle dans l'ordre de l'univers. 497. Beautés de la Création. 498. Pourquoi Dieu a créé l'homme. 499. Haut les cœurs! Providence.

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1. PRÉFACE.

L'auteur de ce recueil s'est proposé un double but Double but 1o Mettre entre les mains des élèves de Quatrième, de Troisième et de Seconde (Vie Publique), de Seconde et de Rhétorique (Vie Privée) des textes imprimés qui ne soient pas pour eux des énigmes indéchiffrables, comme le sont la plupart des versions dictées;

2o Mettre entre les mains des professeurs des classes supérieures des textes variés qui forment une sorte de tableau de la vie publique et de la vie privée des Romains.

Les Instructions ministérielles de 1890 constatent, et tout le monde reconnaît que les versions dictées, trop souvent mal entendues, et par suite incorrectes, << sont une des plaies de notre enseignement ». Non seulement elles font perdre à la classe un temps précieux, mais elles imposent aux élèves un labeur irritant et stérile: irritant, parce qu'ils travaillent sur un texte qui est ou qu'ils croient défectueux, et qui les autorise en quelque façon à raisonner de travers; stérile, parce qu'ils s'acharnent en vain. à trouver un sens à des phrases qui n'en ont pas, ou que, s'ils y réussissent parfois, c'est par le hasard heureux de quelque conjecture, ou en substituant leurs idées à celles du texte : ce qui va également contre l'objet même de la version, qui est d'apprendre à bien conduire sa raison, et à retrouver les pensées et les raisonnements des autres.

Objections et réponses.

Méthode du
Recueil.

PREFACE

Mais, dira-t-on, les bons élèves, dont il faut surtout se préoccuper, s'en tirent avec succès; et puis, cela habitue toujours l'oreille, ne fût-ce qu'en vue de la version dictée du baccalauréat. A quoi l'on peut répondre que les bons élèves s'en tirent parce qu'ils écrivent correctement leur texte, et n'ont à faire ni plus ni moins d'efforts que devant un texte imprimé ; que l'on habitue mieux l'oreille aux sonorités de la langue latine et l'esprit au sens de ses mots en faisant lire à haute voix, après les avoir bien expliqués, les plus beaux passages de Tite-Live ou de Cicéron, de Virgile ou Horace; enfin, que dans presque toutes nos Facultés, on donne aujourd hui aux candidats des textes autographiés ou imprimés.

A ces raisons d'ordre pédagogique s'en ajoute une autre, tirée de l'état présent des études et qui semble décisive. Par une conséquence naturelle de l'application des nouveaux programmes, qui ont reculé jusqu'en 6e l'étude du latin, les élèves actuels de nos classes supérieures possèdent bien moins que leurs aînés le vocabulaire et la syntaxe de la langue latine. Cette infériorité les rendra de plus en plus incapables d'écrire correctement et de faire avec un réel profit des versions dictées. Si les anciens programmes pouvaient laisser quelque illusion à cet égard, il faut avoir aujourd'hui le courage de dire ce qui en est, de signaler le mal, et d'y porter remède.

Mais par quoi remplacer les versions dictées ? Par un recueil de versions imprimées. Il en existe tant! Pourquoi en publier un nouveau? — L'auteur estime que les recueils parus jusqu'à ce jour, pour si nombreux qu'ils soient, ne répondent pas aux besoins

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