Lettres en vers et œuvres méléesDe l'Imprimerie de la Société Typographique., 1775 |
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... larmes . Sois donc inftruit de tout . Avant que le printems T'eût loin de ton ami rappellé dans tes champs , Mon cœur te fut ouvert : tu connus ma maîtreffe . O mon ami ! toi - même approuvas ma tendresse . " Cher Barnevelt , je pars ...
... larmes . Sois donc inftruit de tout . Avant que le printems T'eût loin de ton ami rappellé dans tes champs , Mon cœur te fut ouvert : tu connus ma maîtreffe . O mon ami ! toi - même approuvas ma tendresse . " Cher Barnevelt , je pars ...
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... larmes noyé , fur fon lit étendue , La pâleur fur le front , dans ce trouble enchanteur , Avec tous ces appas qu'embellit la douleur . Elle me tend les bras , me remplit de fa flame ; L'ardeur de fes baisers coule au fond de mon ame ...
... larmes noyé , fur fon lit étendue , La pâleur fur le front , dans ce trouble enchanteur , Avec tous ces appas qu'embellit la douleur . Elle me tend les bras , me remplit de fa flame ; L'ardeur de fes baisers coule au fond de mon ame ...
Página 15
... larmes , Échauffé par fa rage , entraîné par fes charmes , Ses menaces , fes cris ... je promis tout ... Ah , dieux ! Fani , dans ces momens , me force d'être heureux ; Avant de l'égorger , enivre la victime ; Et fon DÉ 15 BARNEVELT .
... larmes , Échauffé par fa rage , entraîné par fes charmes , Ses menaces , fes cris ... je promis tout ... Ah , dieux ! Fani , dans ces momens , me force d'être heureux ; Avant de l'égorger , enivre la victime ; Et fon DÉ 15 BARNEVELT .
Página 21
... larmes fe joindroient à mes larmes cruelles ; J'entendrois tes foupirs ; je verrois ta vertu Soutenir un coupable , à tes pieds abattu ; Un criminel ami , frémiffant de lui - même , Qui fut chéri de toi , qui fe repent , qui t'aime ...
... larmes fe joindroient à mes larmes cruelles ; J'entendrois tes foupirs ; je verrois ta vertu Soutenir un coupable , à tes pieds abattu ; Un criminel ami , frémiffant de lui - même , Qui fut chéri de toi , qui fe repent , qui t'aime ...
Página 25
... larmes , Aurois - tu pour le crime affemblé tant de charmes ? Que Barnevelt mourant , que Barnevelt puni Obtienne par fes pleurs les remords de Fani ! Mais quel bruit de ces lieux interrompt le filence ? Mon cachot fe referme , & vers ...
... larmes , Aurois - tu pour le crime affemblé tant de charmes ? Que Barnevelt mourant , que Barnevelt puni Obtienne par fes pleurs les remords de Fani ! Mais quel bruit de ces lieux interrompt le filence ? Mon cachot fe referme , & vers ...
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Términos y frases comunes
affez affreux afyle AGLA aime ainfi amans amant amour attraits auffi Barnevelt bonheur bras brifer c'eft c'eſt careffes charmes cher ciel cieux cœur brûlant comte de Comminges confoler coupable crime cruel déferts defirs deftins Dieu dieux douleur doux efprit ÉGLÉ eſt étoit Euphrafie fage faint fans ceffe fans doute fecrets fein féjour femble fenfible fens fentiment feul feux filence fleurs foible foibleffe foins foit folitaire fombre font foudain foupirs fous fouvent frémis fuis fujet funefte fur-tout graces hélas Héloïfe heureux infortuné inftant ivreffe j'ai j'étois j'ofe jamais jour jufqu'à l'ame l'amour l'univers laiffe larmes lettre loix Lorfque main maîtreffe malheureux maux Melcour mortels n'eft n'eſt Nitor Ovide paffé paffions penfe plaifir plaifirs pleurs poéfie poëme préfent raifon refpire refte rien tems tendre tendreffe tourmens tranfports tranſports tremble trifte Trumant Valcour veux vœux vois voix Zéila Zelmis כל دو دو رو وو
Pasajes populares
Página 186 - Je ne t'ai point aimé, cruel! Qu'ai-je donc fait? J'ai dédaigné pour toi les vœux de tous nos princes ; Je t'ai cherché moi-même au fond de tes provinces; J'y suis encor, malgré tes infidélités, Et malgré tous mes Grecs, honteux de mes bontés...
Página 186 - Et même en ce moment où ta bouche cruelle Vient si tranquillement m'annoncer le trépas, Ingrat, je doute encor si je ne t'aime pas.
Página 165 - Dont j'offrois le modéle à ton efprit charmé. Des pleurs , en le lifant •> inondent mon vifage, Ne pouvant rien de plus, j'embrafle ton Ouvrage ; Cet Ouvrage immortel , où , guidant tes pinceaux , Vénus fe reconnoît au feu de tes tableaux. O vous , qui le lirez, ô vous > races futures ! De ce Livre enchanteur dévorez les peintures ; Non , d'un génie oifif ce ne font point les jeux ; C'eft le fruit de l'amour, & de l'amour heureux. Amans , c'eft un Amant qui cherche à vous inftruire...
Página 185 - Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce...
Página 374 - Plus d'une femme a su régner; Bien peu de reines ont su plaire. Jouis de ces faveurs des cieux. Pour moi , caché sous un nuage . Permets que j'échappe à tes yeux. Content , à l'abri de l'orage , Je ne demande rien aux dieux. Si j'avais été malheureux , Tu n'aurais pas eu mon hommage.
Página 150 - Non.... tu ne le.dois pas... ta foi me fut promife. Je réclame ton cœur, il eft encore à moi.. : Beaucoup plus qu'à ce Dieu... que je trahis pour toi, Mes douloureux affronts, tes maux que je partage , Jufqu'aux emportemens de ma jaloufe rage, Tout m'aflure à jamais une ame où j'ai régné, Je fuis trop malheureux pour être dédaigné.
Página 168 - Que j'aime à cn'abufer ! foibles raifons ! hélas ! Tu peux en lieux charmans transformer ces climats. A ces triftes beautés, qui te plairont peut-être, Tu peux , fi tu le veux , donner un nouvel être. Chaque jour tu verras , fans t'occuper de moi , Leurs appas fe former , & s'embellir pour toi ; Et, fier de leurs progrès, jaloux de leur hommage, Tu finiras , cruel , par chérir ton Ouvrage. Ah ! fi je le croyois , je franchirois les mers , J'irois, n'en doute pas , au fond de tes déferts...
Página 164 - Va , la trifte JULIE eft loin d'y confentir : Je t'aime trop , hélas ! pour ne les point haïr . . . < Je cours , je vais , je viens, incertaine , égarée ; Rien ne peut confoler ton Amante éplorée. Le jour à peine luit , j'en fouhaite la fin ; Sans ordre mes cheveux font épars fur mon fein. Tout ornement me péfe, & dans mon infortune, Je détefte l'éclat d'une pompe importune.
Página 379 - Du foleil le dernier rayon , Jouant fur la voûte azurée , Ne peut quitter cette Contrée , Malgré l'ordre de la faifon. Son or & fa pourpre mobiles , ., Au fond des flots font réfléchis: La préfence de deux Amis L'a fufpendu fur ces alîles.
Página 167 - Un fonge en ce lieu même , un fonge plein d'horreur , Dans mes fens éperdus a jetté la terreur. Je crus qu'on me portoit dans une ifle écartée...