Oeuvres complétes de Condillac: Art de penser et art d'écrireLecointe et Durey, 1821 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 82
Página 4
... nombre de nos besoins . Les plus favorables sont celles qui nous offrent des objets plus propres à exercer notre réflexion . Les grandes circons- tances où se trouvent ceux qui gouvernent les hommes sont par exemple une occasion de se ...
... nombre de nos besoins . Les plus favorables sont celles qui nous offrent des objets plus propres à exercer notre réflexion . Les grandes circons- tances où se trouvent ceux qui gouvernent les hommes sont par exemple une occasion de se ...
Página 20
... nombre , la variété , et la magnificence des objets remuent les sens , échauf- fent , élèvent l'imagination , et par là nous rendent plus propres aux impressions que le poëte veut faire naître . Peut - être encore que les spectateurs se ...
... nombre , la variété , et la magnificence des objets remuent les sens , échauf- fent , élèvent l'imagination , et par là nous rendent plus propres aux impressions que le poëte veut faire naître . Peut - être encore que les spectateurs se ...
Página 22
... nombre ; mais certainement cela ne l'est pas de celles qui ont influé sur notre conduite . Comment aurais - je pu lire , si lorsque je lisais , la perception des lettres , parce que je ne la remarquais pas , avait été pour moi comme si ...
... nombre ; mais certainement cela ne l'est pas de celles qui ont influé sur notre conduite . Comment aurais - je pu lire , si lorsque je lisais , la perception des lettres , parce que je ne la remarquais pas , avait été pour moi comme si ...
Página 26
... nombre des côtés augmente considérablement , nos efforts deviennent superflus . Si je pense à une figure de mille côtés , et à une de neuf cent quatre - vingt- dix - neuf , ce n'est pas par des perceptions que je les distingue , ce n ...
... nombre des côtés augmente considérablement , nos efforts deviennent superflus . Si je pense à une figure de mille côtés , et à une de neuf cent quatre - vingt- dix - neuf , ce n'est pas par des perceptions que je les distingue , ce n ...
Página 30
... nombre ou même à un plus grand , et ainsi de suite . Les différentes chaînes ou chaînons que je sup- pose au - dessus de chaque idée fondamentale , se- raient liés par la suite des idées fondamentales , et par quelques anneaux qui ...
... nombre ou même à un plus grand , et ainsi de suite . Les différentes chaînes ou chaînons que je sup- pose au - dessus de chaque idée fondamentale , se- raient liés par la suite des idées fondamentales , et par quelques anneaux qui ...
Índice
1 | |
10 | |
17 | |
24 | |
44 | |
59 | |
87 | |
97 | |
104 | |
113 | |
117 | |
125 | |
136 | |
152 | |
162 | |
177 | |
180 | |
189 | |
199 | |
212 | |
217 | |
223 | |
237 | |
356 | |
364 | |
377 | |
390 | |
397 | |
422 | |
431 | |
442 | |
450 | |
460 | |
496 | |
528 | |
532 | |
534 | |
Otras ediciones - Ver todo
Términos y frases comunes
accessoires amphibologies analises assez avons Bossuet Bruyère Calypso carac CHAPITRE choses circonstances connaissances connaître conséquent considérer construction corps d'autres d'idées défaut Despréaux déterminer Dieu différentes dire discours doit donner écrivains espèce esprit exemple expressions figure font Fontenelle genre hommes idées abstraites idées complexes idées simples images imagination j'ai jugemens juger l'âme l'analise l'art l'esprit l'idée l'imagination l'usage langage langue liaison des idées lier lorsqu'il Louis XIV Madame de Maintenon madame de Sévigné manière ment méthode modifications Monseigneur mots n'en naturel nécessaire nombre notions objets observer pable paraît peindre pensée perceptions père Bouhours périphrases peuple philosophes phrase poëme poésie poëte premier prince principe pronom propositions incidentes propre qu'autant qu'une quelquefois raison rapport réfléchir réflexion règles remarquer renferme rien s'il saisir Saül sens sensations sensible sentimens sentiment serait seul signes sortes souvent style subordonnée substances substantif suffit sujet Télémaque tion tour tout-à-fait trouve verbe vérité veut Voilà
Pasajes populares
Página 372 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Página 377 - O nuit désastreuse ! ô nuit effroyable où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle : MADAME se meurt ! MADAME est morte ! Qui de nous ne se sentit frappé à ce coup, comme si quelque tragique accident avait désolé sa famille?
Página 366 - Et vous ne me cherchez que pour vous en vanter. Quoi ! sans que ni serment ni devoir vous retienne , Rechercher une Grecque, amant d'une Troyenne...
Página 407 - Et comme, dans toutes les affaires , il ya ce qui les prépare , ce qui détermine à les entreprendre, et ce qui les fait réussir ; la vraie science de l'histoire est de remarquer dans chaque temps ces secrètes dispositions qui ont préparé les grands changements , et les conjonctures importantes qui les ont fait arriver.
Página 249 - Au reste, comme le Roi se conduit bien moins par des maximes suivies, que par l'impression des gens qui l'environnent, et auxquels il confie son autorité, le capital est de ne perdre aucune occasion pour l'obséder par des gens sûrs, qui agissent de concert avec vous pour lui faire accomplir, dans leur vraie étendue, ses devoirs dont il n'a aucune idée.
Página 249 - Qu'est-ce donc que nous crie cette avidité et cette impuissance, sinon qu'il ya eu autrefois dans l'homme un véritable bonheur, dont il ne lui reste maintenant que la marque et la trace toute vide...
Página 399 - Il regrette tout ce qu'il donne; il craint toujours de perdre, il se tourmente pour gagner. On ne le voit presque jamais : il est seul , triste, abattu, au fond de son palais : ses amis mêmes n'osent l'aborder, de peur de lui devenir suspects.
Página 501 - La Mollesse oppressée Dans sa bouche à ce mot sent sa langue glacée, Et, lasse de parler, succombant sous l'effort, Soupire, étend les bras, ferme l'œil, et s'endort.
Página 247 - Celui qui met un frein à la fureur des flots Sait aussi des méchants arrêter les complots. Soumis avec respect à sa volonté sainte, Je crains Dieu, cher Abner, et n'ai point d'autre crainte Cependant je rends grâce au zèle officieux Qui sur tous mes périls vous fait ouvrir les yeux.
Página 285 - Telle qu'une bergère, au plus beau jour de fête, De superbes rubis ne charge point sa tête, Et, sans mêler à l'or l'éclat des diamants, Cueille en un champ voisin ses plus beaux ornements; Telle, aimable en son air, mais humble dans son style, Doit éclater sans pompe une élégante Idylle.