Histoire de la littérature française: Histoire de la littérature française depuis les origines jusqu'à la fin du XVIe sièclePlon-Nourrit et cie, 1900 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 37
Página 101
... Une passion qu'il eut pour Héloïse , nièce d'un chanoine de Paris , dont il fut violemment sé- paré , passion qui nous a valu les admirables lettres d'Hé- loïse à Abélard , le fit entrer au monastère de MOYEN AGE ΙΟΙ.
... Une passion qu'il eut pour Héloïse , nièce d'un chanoine de Paris , dont il fut violemment sé- paré , passion qui nous a valu les admirables lettres d'Hé- loïse à Abélard , le fit entrer au monastère de MOYEN AGE ΙΟΙ.
Página 105
... Lettres ) sont d'un homme très sensé qui donnait peu dans la dialectique dif- ficultueuse du temps , non sans profondeur du reste , et qui avait cette solidité que donne l'érudition forte dans un esprit sain . Vincent de Beauvais ...
... Lettres ) sont d'un homme très sensé qui donnait peu dans la dialectique dif- ficultueuse du temps , non sans profondeur du reste , et qui avait cette solidité que donne l'érudition forte dans un esprit sain . Vincent de Beauvais ...
Página 112
... lettres proprement dits , si l'on réduit le nom d'hommes de lettres à désigner seulement les poètes , les romanciers et dramatistes , en quoi du reste on aurait tort . Faut - il s'étonner maintenant que Pétrarque , venu à Paris en 1333 ...
... lettres proprement dits , si l'on réduit le nom d'hommes de lettres à désigner seulement les poètes , les romanciers et dramatistes , en quoi du reste on aurait tort . Faut - il s'étonner maintenant que Pétrarque , venu à Paris en 1333 ...
Página 114
... lettres , et , pour parler plus généralement , la vie intellectuelle du moyen âge , avait été intense , incroyable- ment avide , passionnée et tenace , amoureuse du grand non moins que du joli et du gracieux , bien plus originale , elet ...
... lettres , et , pour parler plus généralement , la vie intellectuelle du moyen âge , avait été intense , incroyable- ment avide , passionnée et tenace , amoureuse du grand non moins que du joli et du gracieux , bien plus originale , elet ...
Página 130
... lettres , éveillèrent et récompensèrent les talents naissants , créèrent entre villes et province une émulation artistique qui est très salutaire , furent des « écoles » en un mot avec toute la force d'impulsion que l'école littéraire ...
... lettres , éveillèrent et récompensèrent les talents naissants , créèrent entre villes et province une émulation artistique qui est très salutaire , furent des « écoles » en un mot avec toute la force d'impulsion que l'école littéraire ...
Otras ediciones - Ver todo
Términos y frases comunes
Alain Chartier alphabétique de portraits amour assez ballades beau beauté belle Bernard de Ventadour c'est-à-dire c'était Calvin chansons de geste chants Charles d'Orléans chose Christine de Pisan chroniques cœur Collection alphabétique comédie d'amour d'après la gravure D'après une gravure D'après une peinture dame Desportes Dieu dire dramatique drame écrit écrivit épique époque Estampes Estienne fableaux farce fonds François Ier Guillaume Henri histoire homme imité Jean Jean de Meung Joachim du Bellay l'esprit l'histoire langue latin littéraire livre Louis Louis XI Marguerite Marot Maurice Sève ment mistères Montaigne morale mort moyen âge œuvres parler passion peinture du XIIIe pensée Pétrarque Philippe philosophie Pléiade poème poète premier prose quelquefois Rabelais Régnier Renart reste rime Robert Robert Garnier Ronsard Rose saint satire Scène du roman seigneur sent seulement sorte Sotie souvent strophe style surtout syllabes théâtre tion tragédie versification Villon vrai XIVe siècle XVIe siècle XVIIe
Pasajes populares
Página 408 - Qui premiers aux humains donnastes à repaistre, Peuples vrayment ingrats, qui n'ont sceu recognoistre Les biens receus de vous, peuples vraiment grossiers, De massacrer ainsi nos pères nourriciers. Que l'homme est malheureux qui au monde se fie! O Dieux, que véritable est la Philosophie, Qui dit que toute chose à la fin périra, Et qu'en changeant de forme une autre vestira: De Tempe la vallée un jour sera montagne, Et la cyme d'Athos une large campagne, Neptune quelquefois de blé sera couvert....
Página 411 - Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle, Assise auprès du feu, dévidant et filant, Direz chantant mes vers, en vous émerveillant : Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle.
Página 333 - ... su trier et choisir un livre si digne et si à propos, pour en faire présent à son pays. Nous autres ignorants, étions perdus, si ce livre ne nous eût relevés du bourbier; sa merci, nous osons à cette heure et parler et écrire; les dames en régentent les maîtres d'école; c'est notre bréviaire.
Página 418 - Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage...
Página 387 - Tant que mes yeus pourront larmes espandre, A l'heur passé avec toy regretter : Et qu'aus sanglots et soupirs résister Pourra ma voix, et un peu faire entendre : Tant que ma main pourra les cordes tendre Du mignart Lut, pour tes grâces chanter : Tant que l'esprit se voudra contenter De ne vouloir rien fors que toy comprendre Je ne souhaitte encore point mourir.
Página 410 - Parque t'a tuée, et cendre tu reposes. Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs, Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs, Afin que vif et mort ton corps ne soit que roses.
Página 408 - Son mastin à ses pieds, à son flanc la houlette, Ne dira plus l'ardeur de sa belle Janette: Tout deviendra muet, Echo sera sans voix: Tu deviendras campagne, et en lieu de tes bois, Dont l'ombrage incertain lentement se remue, Tu sentiras le soc, le coutre et la charrue: Tu perdras ton silence, et haletans d'effroy Ny Satyres ny Pans ne viendront plus chez toy.
Página 351 - Si ne sçaurois bien dire ne penser Qui m'enseigna si tost d'y commencer, Ou la nature aux Muses inclinée, Ou ma fortune, en cela destinée A te servir: si ce ne fust l'un d'eux, Je suis certain que ce furent tous deux. Ce que voyant le bon Janot, mon père, Voulut gaiger à Jaquet, son compère...
Página 422 - Des doux rets, Pour ravir Flore la belle. Avril, c'est ta douce main Qui du sein De la nature desserre Une moisson de senteurs, Et de fleurs, Embasmant l'Air et la Terre.