Lamé Fleury's Histoire de France racontée à la jeunesse, ed. by A. Beljame

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Página 262 - J'ai communiqué, dit-il au roi, le commandement de Votre Majesté à ses fidèles habitants et gens de guerre de la garnison, je n'y ai trouvé que bons citoyens et braves soldats, mais pas un bourreau...
Página 120 - LANGUE D'OÏL et située sur la rive droite de la Loire ; l'autre, nommée la LANGUE D'Oc, située de l'autre côté de cette rivière. On les nommait ainsi à cause du différent langage de leurs habitants, qui au nord disaient OÏL, pour affirmer, tandis que ceux du midi disaient oc. Cependant la domination de Louis VII en...
Página 126 - Arthur, pour que je vous raconte son histoire. Mais il faut que vous sachiez que sous la féodalité, lorsqu'un vassal commettait quelque mauvaise action , ou manquait à l'obéissance qu'il devait à son seigneur, celui-ci avait le droit de faire comparaître le coupable...
Página 277 - S'il est avantageux à mon peuple que je possède la « couronne, favorisez ma cause et protégez mes armes. Si votre sainte vo...
Página 277 - Roi ! qui est le cri ordinaire de notre nation dans les grands périls et dans les grandes joies. A ces acclamations, Henri, reprenant un air gai et serein, dit en regardant ses troupes et leur montrant de la main celles de Mayenne : " Mes amis, vous êtes Français, je suis votre roi, voilà l'ennemi ; si l'étendard vous manque, suivez mon panache blanc, vous le verrez toujours au chemin de l'honneur et du devoir.
Página 74 - Bernard lui témoignait de la faute qu'il avait commise, en prenant les armes contre son oncle, l'impitoyable 818. empereur n'hésita point à faire paraître son neveu devant une assemblée de seigneurs francs, qui le condamnèrent à avoir les yeux crevés. En apprenant le sort affreux qui lui était réservé, Bernard s'écria qu'il préférait une prompte mort à l'horreur d'une pareille torture, et arrachant aussitôt une épée des mains d'un soldat, il...
Página 93 - ROLLOIT, duc 91). des Normands, après s'être fait baptiser, reconnut même le roi des Français pour son suzerain. Or, il était d'usage, en pareil cas, d'observer certaines cérémonies auxquelles le chef barbare eut bien de la peine à se soumettre : il fallait d'abord que le vassal mît ses deux mains dans celles de son seigneur, pour lui témoigner qu'il renonçait à user de sa force sans sa permission.
Página 195 - ... quelque lieu que vous fassiez la guerre, que les gens d'église, les femmes, les enfants et le pauvre peuple ne sont point vos ennemis.
Página 10 - Clovis donc était le chef , ou , si vous lainiez mieux, le roi des Saliens stationnés à Tournai; et c'était de là qu'il se mettait en marche avec son armée , qui ne comptait guère plus de cinq à six mille combattants, pour aller enlever, soit aux Gaulois qui habitaient entre la Meuse et la Loire , soit aux autres Barbares eux-mêmes , leurs esclaves et leur butin. Mais comme il n'était pas moins rusé qu'entreprenant , et que d'ailleurs il trouvait bons tous les moyens qui lui étaient utiles,...
Página 175 - Le Dauphin , fils de Jean II , se nommait aussi Charles. A peine âgé de dixhuit ans , il se montrait déjà sage et réfléchi...

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