Le Bouddha et sa religionDidier et Cie, 1862 - 441 pages |
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... Mâyà Dévî , était fille du roi Soupraboud- dha , et sa beauté était tellement extraordinaire , qu'on lui avait donné ce ... Mâyâ Dévi surpassaient encore sa beauté , et elle réunissait les qualités les plus rares et les plus hautes de l ...
... Mâyà Dévî , était fille du roi Soupraboud- dha , et sa beauté était tellement extraordinaire , qu'on lui avait donné ce ... Mâyâ Dévi surpassaient encore sa beauté , et elle réunissait les qualités les plus rares et les plus hautes de l ...
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... Mâyâ Dévî mourut sept jours après , « afin qu'elle « n'eût pas ensuite , dit la légende , le cœur brisé de voir << son fils la quitter pour aller errer en religieux et en « mendiant . » L'orphelin fut confié aux soins de sa tante ...
... Mâyâ Dévî mourut sept jours après , « afin qu'elle « n'eût pas ensuite , dit la légende , le cœur brisé de voir << son fils la quitter pour aller errer en religieux et en « mendiant . » L'orphelin fut confié aux soins de sa tante ...
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... Mâyâ - Dévî qui réu- nissent tant de vertus et de perfections . C'est à Kapilavas- tou et de ces deux êtres accomplis que naîtra le Bodhi- saltva ; « < car aucune autre femme n'est capable de porter « < ce premier des hommes . >> Sur le ...
... Mâyâ - Dévî qui réu- nissent tant de vertus et de perfections . C'est à Kapilavas- tou et de ces deux êtres accomplis que naîtra le Bodhi- saltva ; « < car aucune autre femme n'est capable de porter « < ce premier des hommes . >> Sur le ...
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... Mâyâ Dévî , il y resta toujours du côté droit , et assis les jambes croisées . Voilà les singuliers renseignements où la légende sacrée croit devoir entrer ; mais cela n'est encore rien , et ce qui suit est bien plus extraordinaire et ...
... Mâyâ Dévî , il y resta toujours du côté droit , et assis les jambes croisées . Voilà les singuliers renseignements où la légende sacrée croit devoir entrer ; mais cela n'est encore rien , et ce qui suit est bien plus extraordinaire et ...
Page 57
... Mâyâ Dévi est entourée par les dieux dans le jardin de Loumbi- ni , où elle accouche sous l'ombrage d'un plaksha , debout et appuyée , pour se soutenir , sur une des branches de l'arbre . Indra , le roi des dieux , et Brahma , le maître ...
... Mâyâ Dévi est entourée par les dieux dans le jardin de Loumbi- ni , où elle accouche sous l'ombrage d'un plaksha , debout et appuyée , pour se soutenir , sur une des branches de l'arbre . Indra , le roi des dieux , et Brahma , le maître ...
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Expressions et termes fréquents
accompli Açoka adore Ananda arhat assez aumônes avaient Bénarès Bhagavat Bhikshous Bimbisâra Birman Bodhi Bodhimanda Bodhisattva bonne Loi Boud Bouddha bouddhique Bouddhisme Brahma Brahmanes Burnouf Çâkya Çâkyamouni caste cent Ceylan Chine choses Çîlâditya cinq Concile couvent Cramana croyances devait dévot dhisme Dieu dieux disciples doctrine doit donne douleur doute édit ère Fa-Hien foule Gange Hiouen Hiouen-Thsang hommes indien jour jusqu'à Kâçyapa Kandy Kapilavastou Koutché l'arhat l'Assemblée l'histoire l'homme l'île l'Inde Langkâ légende livres sacrés Magadha Mahânâma Mahavamça maître Maitreya Mâyâ ment mille religieux monde monuments morale mort du Bouddha Nâgas Nâlanda Népal Nirvâna nord novice ouvrages Pâli passer pays pèlerin chinois pensée Petit Véhicule peuples Piyadasi prêtres bouddhistes prince Râdjagriha règne religion reliques reste Révata rien rois royaume s'était sainte salut sanscrit science seul Siddhartha singhalais singhalaise Soûtras Spence Hardy statue Sthaviras stoûpa stoupas Tathagata Thsang tion Toushita tradition transmigration Turnour Vaiçâlî vénération vertu vihâra Vinaya voyage Yakshas
Fréquemment cités
Page 97 - Mais s'ils te frappent de la main ou à coups de pierres, que penseras-tu ?» — « Je penserai qu'ils sont bons et doux, puisqu'ils ne me frappent ni du bâton, ni de l'épée. » « Mais s'ils te frappent du bâton et de l'épée...
Page 32 - ... tion avec tous les mondes. Ayant abandonné toute idée « d'individualité, éteint toute notion, interrompu toute « existence par la voie du calme, elle est invisible en son « essence de vide; ayant épuisé le désir, exempte de pas« sion, empêchant toute production de l'être, elle conduit
Page 97 - Je penserai qu'ils sont hons et doux, puisqu'ils ne me frappent ni du bâton, ni de l'épée. » — Mais s'ils te frappent du bâton et de l'épée, qu'en penseras-tu ? » — Je penserai qu'ils sont bons et doux, puisqu'ils ne me privent pas complètement de la vie.
Page 84 - Bouddha; renversez l'ar« mée de la mort, comme un éléphant renverse une hutle de préceptes moraux qui sont fort simples sans doute , mais que le Bouddha ne devait point négliger, non plus que ne l'a fait aucun réformateur. Les cinq premiers de ces préceptes sont : ne point tuer, ne point voler, ne point commettre d'adultère , ne point mentir, et ne point s'énivrer.
Page 117 - j'ai éprouvé, mon cœur s'émeut involontairement. Les sueurs qui ont « coulé dans mes périls ne sont pas le sujet de cette émotion. Ce corps « a été conservé par les sentiments qui m'animaient. C'est mon but qui « m'a fait risquer ma vie dans des pays où l'on n'est pas sûr de sa con« servation, pour obtenir à tout risque ce qui faisait l'objet de mon es
Page 209 - ... dignement au but de votre sacrifice, en vérité je « n'en serais pas avare. Mais comme je viens des pays
Page 81 - Ces quatre vérités , les voici : D'abord , c'est l'existence de la douleur , dont l'homme est atteint sous une forme ou sous une autre, quelle que soit la condition éclatante ou obscure dans laquelle il naît ici-bas. C'est là un fait malheureusement incontestable , bien qu'il ne porte pas toutes les conséquences qu'ya vues le Bouddhisme; et c'est comme une base inébranlable donnée à tout l'édifice du système.
Page xxxiii - Je n'hesite pas & ajouter que, sauf le Christ tout seul, il n'est point, parmi les fondateurs de religion, de figure plus pure ni plus touchante que celle du Bouddha.
Page 182 - ... une charité sans amour , un monde sans nature et sans Dieu. Que pourrions-nous tirer de pareils enseignements? Et que de choses il nous faudrait oublier pour en devenir les aveugles disciples ! Que de degrés il nous faudrait descendre dans l'échelle des peuples et de la civilisation ! Le seul, mais immense service que le Bouddhisme puisse nous rendre, c'est, par son triste contraste, de nous faire apprécier mieux encore la valeur inestimable de nos croyances , en nous montrant tout ce qu'il...
Page 14 - Ah ! malheur à la jeunesse que la vieillesse doit « détruire ; ah ! malheur à la santé que détruisent « tant de maladies ; ah ! malheur à la vie où l'homme « reste si peu de jours! S'il n'y avait ni vieillesse, « ni maladie, ni mort ! Si la vieillesse, la maladie, la « mort étaient pour toujours enchaînées !