Moyen âge. RenaissanceDidier et Cie., 1861 |
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Page 53
... passions . L'ardeur juvénile du courage poussé jusqu'à la témérité s'y montre avec grâce dans le jeune Guy , récemment adoubé , et que ses parrains de chevalerie sont obligés de poursuivre à travers les rangs ennemis et de ramener en ...
... passions . L'ardeur juvénile du courage poussé jusqu'à la témérité s'y montre avec grâce dans le jeune Guy , récemment adoubé , et que ses parrains de chevalerie sont obligés de poursuivre à travers les rangs ennemis et de ramener en ...
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... passions hu- maines , que rien ne peut réduire , et avec lesquelles il faut bien compter , portèrent l'indiscipline où la sou- mission était nécessaire , elles portèrent aussi la cor- ruption où la sainteté était obligatoire . La ...
... passions hu- maines , que rien ne peut réduire , et avec lesquelles il faut bien compter , portèrent l'indiscipline où la sou- mission était nécessaire , elles portèrent aussi la cor- ruption où la sainteté était obligatoire . La ...
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... passions populaires qu'elle avait soulevées . Elle eut ses orateurs dans Étienne Marcel , prévôt des marchands , et dans l'évêque de Laon , Robert Lecocq , dont le malheur des temps a fait des factieux devant le tribunal de l'histoire ...
... passions populaires qu'elle avait soulevées . Elle eut ses orateurs dans Étienne Marcel , prévôt des marchands , et dans l'évêque de Laon , Robert Lecocq , dont le malheur des temps a fait des factieux devant le tribunal de l'histoire ...
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... passions sont déchaînées , Cum fas atque nefas exiguo fine cupidinum Discernunt avidi 2 , attira sur lui les traits lancés de camps opposés . Tel est , à ces époques sinistres , le poste périlleux des 1 Ms. 70872 de la Bibliothèque ...
... passions sont déchaînées , Cum fas atque nefas exiguo fine cupidinum Discernunt avidi 2 , attira sur lui les traits lancés de camps opposés . Tel est , à ces époques sinistres , le poste périlleux des 1 Ms. 70872 de la Bibliothèque ...
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... passions de la plèbe , il donnait en spectacle à ses courtisans et à ses maî- tresses les flammes d'un bûcher consumant des héré- tiques ; au dehors , sa politique favorisait les pro- testants d'Allemagne et scandalisait la chrétienté ...
... passions de la plèbe , il donnait en spectacle à ses courtisans et à ses maî- tresses les flammes d'un bûcher consumant des héré- tiques ; au dehors , sa politique favorisait les pro- testants d'Allemagne et scandalisait la chrétienté ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 366 - Sacrilège meurdrier si on pend un voleur Pour piller un butin de bien peu de valeur, Combien de feux, de fers, de morts et de détresses Mérites-tu, méchant, pour tuer nos déesses?
Page 367 - Son mastin à ses pieds, à son flanc la houlette, Ne dira plus l'ardeur de sa belle Janette: Tout deviendra muet, Echo sera sans voix: Tu deviendras campagne, et en lieu de tes bois, Dont l'ombrage incertain lentement se remue, Tu sentiras le soc, le coutre et la charrue: Tu perdras ton silence, et haletans d'effroy Ny Satyres ny Pans ne viendront plus chez toy.
Page 474 - C'est lui qui donne ainsi le signalement physique du poète : Aussi lorsque l'on voit un homme par la rue Dont le rabat est sale et la chausse rompue, Ses gregues aux genoux, au coude son pourpoint, Qui soit de pauvre mine et qui soit mal en point; Sans demander son nom, on le peut reconnoistre, Car si ce n'est un poete, au moins il le veut estre1.
Page 420 - Celui qui vous maîtrise tant n'a que deux yeux, n'a que deux mains, n'a qu'un corps et n'a autre chose que ce qu'a le moindre homme du grand nombre infini de vos villes ; sinon qu'il a plus que vous tous : c'est l'avantage que vous lui faites pour vous détruire.
Page 433 - ... feindre cette sotte image, triste, querelleuse, despite , menaceuse , mineuse , et la placer sur un rochier à l'escart, emmy des ronces; fantosme à estonner les gents.
Page 473 - Cognoissez les humeurs qu'il verse dessus nous, Ce qui se fait dessus, ce qui se fait dessous ; Portez une lanterne aux cachots de nature...
Page 474 - L'œil farouche et troublé, l'esprit à l'abandon, Vous viennent accoster comme personnes yvres, Et disent pour bon-jour, « Monsieur, je fais des livres, On les vend au Palais, et les doctes du temps A les lire amusez, n'ont autre passe-temps.
Page 354 - Reverrai-je le clos de ma pauvre maison , Qui m'est une province et beaucoup davantage ! Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux Que des palais romains le front audacieux ; Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine , Plus mon Loire gaulois que le Tibre latin . Plus mon petit Lire que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine.
Page 363 - Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au soleil A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil. Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place Las ! las ! ses...
Page 353 - Que ne me respons-tu maintenant, ô cruelle ? France, France, respons à ma triste querelle : Mais nul, sinon Echo, ne respond à ma voix. Entre les loups cruels j'erre parmy la plaine, Je sens venir l'hyver, de qui la froide haleine D'une tremblante horreur fait hérisser ma peau.