Moyen âge. RenaissanceDidier et Cie., 1861 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 20
Page 7
... citer que quelques exemples , de latus , large , se forme lé ; de lætus , joyeux , lie ; ad satietatem , qui le croirait , devient assez , et sollicitare se résout en soucier , par une réduction notable de syllabes et de vibrations . Le ...
... citer que quelques exemples , de latus , large , se forme lé ; de lætus , joyeux , lie ; ad satietatem , qui le croirait , devient assez , et sollicitare se résout en soucier , par une réduction notable de syllabes et de vibrations . Le ...
Page 32
... citer qu'un exemple , que , dans Raoul de Cambrai , Géri - le - Roux , qui s'est réconcilié depuis longtemps avec Bernier , et qui lui a donné sa fille en mariage , pris tout à coup de fureur à la vue des lieux qui lui rappellent la ...
... citer qu'un exemple , que , dans Raoul de Cambrai , Géri - le - Roux , qui s'est réconcilié depuis longtemps avec Bernier , et qui lui a donné sa fille en mariage , pris tout à coup de fureur à la vue des lieux qui lui rappellent la ...
Page 81
... M. Paulin Paris a donné de ce poëme une analyse détaillée et fort intéressante ( Manuscrits français de la bibliothèque , t . III , p . 9 à 53 ) . Godefroi et Baudouin . Nous pouvons citer de ce poëme 1 . 6 MOYEN AGE.` 81.
... M. Paulin Paris a donné de ce poëme une analyse détaillée et fort intéressante ( Manuscrits français de la bibliothèque , t . III , p . 9 à 53 ) . Godefroi et Baudouin . Nous pouvons citer de ce poëme 1 . 6 MOYEN AGE.` 81.
Page 82
Eugène Geruzez. Godefroi et Baudouin . Nous pouvons citer de ce poëme quelques vers sur l'éducation de la jeune prin- cesse qui sera plus tard la femme de Florimont : sa maîtresse lui donnait d'excellentes leçons : La pucelle bien ...
Eugène Geruzez. Godefroi et Baudouin . Nous pouvons citer de ce poëme quelques vers sur l'éducation de la jeune prin- cesse qui sera plus tard la femme de Florimont : sa maîtresse lui donnait d'excellentes leçons : La pucelle bien ...
Page 123
... mérite de nos chansonniers , il convient de consulter , au tome XXIII de l'His- toire littéraire ( p . 512 à 831 ) , le beau travail de M. Paulin d'ajouter à ceux que nous venons de citer Pierre , Paris , MOYEN AGE . 123.
... mérite de nos chansonniers , il convient de consulter , au tome XXIII de l'His- toire littéraire ( p . 512 à 831 ) , le beau travail de M. Paulin d'ajouter à ceux que nous venons de citer Pierre , Paris , MOYEN AGE . 123.
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
Alain Chartier ballade Bartas beau Bellay belle Boëtie Calvin ceste chansons de gestes chants Charlemagne Charles d'Orléans charme chevalier chose Christine Christine de Pisan cœur Comines courage dame devant Dieu Diex dire donne esprits estoit estre Euvres faict Faux-Semblant femme force François Ier Froissart Garin Génius gens Gerson grant guerre Guillaume de Lorris Henri héroïque héros homme ibid Jean de Meung jongleur justice l'Église l'esprit laisse langage langue latin littéraire Louis main Marot Ménippée ment Méon mesme Michel de L'Hospital Michel de Montaigne mœurs Montaigne morale mort moyen âge mystères noble œuvre Ogier paroles passage passé passions pensée peuple Philippe poëme poésie poëte poétique politique povre prince Rabelais Regnier religion Renart reste rien rois Roland Roman Ronsard Rose royauté Rutebeuf saint satire Satyre scène seigneur sentiments sera seul suiv terre tion trouvères vices vilain Villon XIIe siècle
Fréquemment cités
Page 366 - Sacrilège meurdrier si on pend un voleur Pour piller un butin de bien peu de valeur, Combien de feux, de fers, de morts et de détresses Mérites-tu, méchant, pour tuer nos déesses?
Page 367 - Son mastin à ses pieds, à son flanc la houlette, Ne dira plus l'ardeur de sa belle Janette: Tout deviendra muet, Echo sera sans voix: Tu deviendras campagne, et en lieu de tes bois, Dont l'ombrage incertain lentement se remue, Tu sentiras le soc, le coutre et la charrue: Tu perdras ton silence, et haletans d'effroy Ny Satyres ny Pans ne viendront plus chez toy.
Page 474 - C'est lui qui donne ainsi le signalement physique du poète : Aussi lorsque l'on voit un homme par la rue Dont le rabat est sale et la chausse rompue, Ses gregues aux genoux, au coude son pourpoint, Qui soit de pauvre mine et qui soit mal en point; Sans demander son nom, on le peut reconnoistre, Car si ce n'est un poete, au moins il le veut estre1.
Page 420 - Celui qui vous maîtrise tant n'a que deux yeux, n'a que deux mains, n'a qu'un corps et n'a autre chose que ce qu'a le moindre homme du grand nombre infini de vos villes ; sinon qu'il a plus que vous tous : c'est l'avantage que vous lui faites pour vous détruire.
Page 433 - ... feindre cette sotte image, triste, querelleuse, despite , menaceuse , mineuse , et la placer sur un rochier à l'escart, emmy des ronces; fantosme à estonner les gents.
Page 473 - Cognoissez les humeurs qu'il verse dessus nous, Ce qui se fait dessus, ce qui se fait dessous ; Portez une lanterne aux cachots de nature...
Page 474 - L'œil farouche et troublé, l'esprit à l'abandon, Vous viennent accoster comme personnes yvres, Et disent pour bon-jour, « Monsieur, je fais des livres, On les vend au Palais, et les doctes du temps A les lire amusez, n'ont autre passe-temps.
Page 354 - Reverrai-je le clos de ma pauvre maison , Qui m'est une province et beaucoup davantage ! Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux Que des palais romains le front audacieux ; Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine , Plus mon Loire gaulois que le Tibre latin . Plus mon petit Lire que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine.
Page 363 - Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au soleil A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil. Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place Las ! las ! ses...
Page 353 - Que ne me respons-tu maintenant, ô cruelle ? France, France, respons à ma triste querelle : Mais nul, sinon Echo, ne respond à ma voix. Entre les loups cruels j'erre parmy la plaine, Je sens venir l'hyver, de qui la froide haleine D'une tremblante horreur fait hérisser ma peau.