Que ce triste appareil à mon esprit jaloux. Ces herbes ne sont pas d'une vertu commune : Moi-même en les cueillant je fis pâlir la lune, Quand, les cheveux flottants, le bras et le pied nu, J'en dépouillai jadis un climat inconnu. Le théâtre des Grecs. [Sophocle] - Página 454de Pierre Brumoy - 1786 - 13 páginasVista completa - Acerca de este libro
| Pierre Brumoy - 1732 - 486 páginas
...peftes. L'amour à tous mes Ipns ne fut jamais-Ji doux , Que ce trifte appareil à mon efprit jaloux. Ces herbes ne font pas d'une vertu commune: Moi-même...cueillant je fis pâlir la lune, Quand les cheveux tiottans , le bras, & le pied nu J'ca • ï. C o R H. Me4;e ACI. IV. Se. 1. J'en dépouillai jadis... | |
| Pierre Corneille - 1759 - 402 páginas
...L'amour à tous mes fens ne fut jamais iï doux , Que ce iri'ic appareil à mon efprit jaloux. Ces herbes ne font pas d'une vertu commune , Moi-même..., Quand , les cheveux flottans , le bras & le pied mid, 3'en dépouillai jadis un climat inconnu. Vois mille autres venins; cette liqueur épaifle Mêle... | |
| Pierre Corneille - 1774 - 600 páginas
...L'amour à tous mes fens ne fut jamais fi doux , Que ce trifte apareil à mon efprit jaloux. Ces heibcs ne font pas d'une vertu commune, Moi-même en les...cueillant je fis pâlir la lune, Quand , les cheveux flotans , le bras & le pied nu , Démons, préparez-vous A fervir mon coureux. Voyez en un autre ciulruit... | |
| Pierre Corneille - 1797 - 484 páginas
...tous mes sens ne fut jamais si doux ," Que ce triste appareil à mon esprit jaloux. Ces herbes ne sont pas d'une vertu commune ; Moi-même en les cueillant...pâlir la lune , Quand , les cheveux flottans, le bras et le pied nu , J'en dépouillai jadis un climat inconnu. Vois mille autres venins : cette liqueur... | |
| Jacques Charles Louis Malfilâtre - 1810 - 552 páginas
...tous mes sens ne fut jamais si doux Que ce triste appareil à mon esprit jaloux. Ces herbes ne sont pas d'une vertu commune , Moi-même, en les cueillant, je fis pâlir la Lune, Quand , les cheveux flot tans , les bras et le pied nu , J'en dépouillai jadis un climat inconnu. Vois mille autres venins... | |
| Pierre Corneille - 1817 - 574 páginas
...tous mes sens ne fut jamais si doux Que ce triste appareil à mon esprit jaloux. Ces herbes ne sont pas d'une vertu commune ; Moi-même en les cueillant je fis pâlir la lune, Quand , les cheveux flottants , le bras et le pied nu , J'en dépouillai jadis un climat inconnu. Vois mille autres venins... | |
| Pierre Brumoy - 1821 - 470 páginas
...mes sens ne fut jamais si doux , Que ce triste appareil à mon esprit jaloux. ' Ces herbes ne sont pas d'une vertu commune ; Moi-même en les cueillant...je fis pâlir la lune , Quand les cheveux flottans , le'bras et le pied nu, J'en dépouillai jadis un climat inconnu. P. CORNEILLE , Médée, acte III,... | |
| Pierre Corneille - 1821 - 576 páginas
...tous mes sens ne fut jamais si douxQue ce triste appareil à mon esprit jaloux. Ces herbes ne sont pas d'une vertu commune; Moi-même en les cueillant je fis pâlir la lune, Quand, les cheveux flottants, le bras et le pied nu, J'en dépouillai jadis un climat inconnu. Vois mille autres venins:... | |
| Pierre Corneille - 1824 - 456 páginas
...tous mes sens ne fut jamais si doux Que ce triste appareil à mon esprit jaloux. Ces herbes ne sont pas d'une vertu commune; Moi-même en les cueillant je fis pâlir la lune, Quand, les cheveux flottants, les hras et le pied nu, J'en dépouillai jadis un climat inconnu. Vois mille autres venins... | |
| Charles Nodier - 1829 - 172 páginas
...genre romantique. Voici des vers où tout Shakspeare semble passer dans Corneille : Ces herbes ne sont pas d'une vertu commune ; Moi-même en les cueillant je fis pâlir la lune , Quand les cheveux flottants , le bras et le pied nu , J'en dépouillai jadis un climat inconnu. Pope y auroit mis des... | |
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