Revue des deux mondes, Volumen 86Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1870 |
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... père se tourmentait de ma solitude , ma Sarah me demandait tous les jours et m'appelait tous les soirs en s'endormant . Adda vou- lait passer dans le midi deux mois encore ; nous étions en mars . Je me mis en tête de les surprendre ...
... père se tourmentait de ma solitude , ma Sarah me demandait tous les jours et m'appelait tous les soirs en s'endormant . Adda vou- lait passer dans le midi deux mois encore ; nous étions en mars . Je me mis en tête de les surprendre ...
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... père et à ta bien - aimée petite Sarah . Tu vas les revoir , tu retrouveras la force de vivre ! Mes yeux interrogeaient avec impatience le ciel gris , qui blanchis- sait lentement ; en me retournant vers la cheminée , je vis sur le mur ...
... père et à ta bien - aimée petite Sarah . Tu vas les revoir , tu retrouveras la force de vivre ! Mes yeux interrogeaient avec impatience le ciel gris , qui blanchis- sait lentement ; en me retournant vers la cheminée , je vis sur le mur ...
Página 11
... père , mais je me décidai à ne pas le faire . Comment lui aurais - je expliqué l'apparent caprice de revenir sur mes pas à moitié route ? Il pouvait très bien ignorer ma désastreuse tentative , puisque j'étais partie sans l'avertir ; il ...
... père , mais je me décidai à ne pas le faire . Comment lui aurais - je expliqué l'apparent caprice de revenir sur mes pas à moitié route ? Il pouvait très bien ignorer ma désastreuse tentative , puisque j'étais partie sans l'avertir ; il ...
Página 14
... père eût consenti avec joie ; mais vous n'aimiez pas assez , je l'ai bien vu , et vous n'aviez pas assez d'expérience pour distinguer la vérité mâle de la flatterie banale . Pourtant vous m'aviez dit : - Je sens que je l'aime , et il ...
... père eût consenti avec joie ; mais vous n'aimiez pas assez , je l'ai bien vu , et vous n'aviez pas assez d'expérience pour distinguer la vérité mâle de la flatterie banale . Pourtant vous m'aviez dit : - Je sens que je l'aime , et il ...
Página 17
... père les plus suaves figures et les formes les plus élégantes de la statuaire grecque et de la peinture renaissance . J'avais ouï dire à ma mère , quand j'étais enfant , que je ressemblais à certaines de ces figures ; maintenant je les ...
... père les plus suaves figures et les formes les plus élégantes de la statuaire grecque et de la peinture renaissance . J'avais ouï dire à ma mère , quand j'étais enfant , que je ressemblais à certaines de ces figures ; maintenant je les ...
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Términos y frases comunes
Abel Adda allemande âme assez avaient Bavière Berlin c'était Caravage catholique cause chambre charme chose chrétien christianisme cœur concile corps législatif Coudiat-Aty coup curie romaine d'Ortosa Daniel Defoe Defoe devant dire doctrine dogme donner Duchâtel Dulac Émile Ollivier enfans esprit eût femme force fût général Valée génie Goethe gouvernement hommes HOULDA idées j'ai j'avais j'étais jamais jeune jour Jules Favre jury l'Allemagne l'église l'esprit l'état laisser libéral liberté Lorédan LXXXVI main ment millions ministre Mme Margerie monde morale mouvemens n'avait n'en n'était nourrice Nouville Omaha ouvriers paix de Prague parler passé passion pays pensée père personne peuple peut-être philosophie politique population pouvait premier presque Prusse prussienne qu'à qu'un question raison réforme reste rien Rome s'était sais Sarah Schleiermacher Schopenhauer science semble sentimens sentiment serait sérieux seul siècle situation société sœur sorte système tion traité traité de Prague trouve universités vérité voilà voix voulait vrai yeux