Recherches philosophiques sur les principes de la science du beauA. Lacroix, 1861 |
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Recherches philosophiques sur les principes de la science du beau Paul Voituron Affichage du livre entier - 1861 |
Recherches philosophiques sur les principes de la science du beau, Volume 1 Paul Voituron Affichage du livre entier - 1861 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 139 - Ces longues chaînes de raisons, toutes simples et faciles, dont les géomètres ont coutume de se servir pour parvenir à leurs plus difficiles démonstrations, m'avaient donné occasion de m'imaginer que toutes les choses qui peuvent tomber sous la connaissance des hommes s'entre-suivent en même façon, et que, pourvu seulement qu'on s'abstienne d'en recevoir aucune pour vraie qui ne le soit, et qu'on garde toujours l'ordre qu'il faut pour les déduire les unes des autres, il n'y en peut avoir...
Page 171 - L'incendie augmente, l'orient paraît tout en flammes; à leur éclat on attend l'astre longtemps avant qu'il se montre; à chaque instant on croit le voir paraître; on le voit enfin. Un point brillant part comme un éclair et remplit aussitôt tout l'espace; le voile des ténèbres s'efface et tombe.
Page 474 - ... mauvaise foi, vous avez entendu naguère ces mots forcenés : Catilina est aux portes de Rome et l'on délibère...
Page 262 - ... celle, ô Socrate, qui est la fin de tous ses travaux précédents : beauté éternelle, non engendrée et non périssable, exempte de décadence comme d'accroissement, qui n'est point belle dans telle partie et laide dans telle autre, belle seulement en tel temps...
Page 246 - Tous les corps ensemble, et tous les esprits ensemble, et toutes leurs productions, ne valent pas le moindre mouvement de charité; cela est d'un ordre infiniment plus élevé.
Page 117 - Tout être organisé forme un ensemble, un système unique et clos , dont les parties se correspondent mutuellement, et concourent à la même action définitive par une réaction réciproque. Aucune de ces parties ne peut changer sans que les autres changent aussi ; et par conséquent chacune d'elles, prise séparément, indique et donne toutes les autres.
Page 246 - La distance infinie des corps aux esprits figure la distance infiniment plus infinie des esprits à la charité *, car elle est surnaturelle.
Page 64 - La fraction - qui se trouve dans l'équation (3) est un symbole qui a remplacé le rapport de l'accroissement de la fonction à celui de la variable...
Page 465 - ... détermine à préférer les unes aux autres ; il demeure donc dans la perplexité : mais lorsqu'il se sera fait un plan, lorsqu'une fois il aura rassemblé et mis en ordre toutes les pensées essentielles à son sujet, il s'apercevra aisément de l'instant auquel il doit prendre la plume ; il sentira le point de maturité de la production de l'esprit, il sera...
Page 262 - ... un visage, des mains, rien de corporel, qui n'est pas non plus telle pensée ou telle science particulière, qui ne réside dans aucun être différent d'avec lui-même , comme un animal, ou la terre, ou le ciel, ou toute autre chose, qui est absolument identique et invariable par elle-même , de laquelle toutes les autres beautés participent, de manière cependant que leur naissance ou leur destruction ne lui apporte ni diminution, ni accroissement, ni le moindre changement!