Œuvres de RobespierreF. Cournol, 1866 - 346 pages |
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... la liberté . Telles étaient ses opinions sur cette matière , et il ajoutait : « Elles peuvent n'être que des er- reurs , mais à coup sûr ce ne sont point celles des esclaves ni des tyrans . D Séance du 22 août . presse . Séance du 24 - 57.
... la liberté . Telles étaient ses opinions sur cette matière , et il ajoutait : « Elles peuvent n'être que des er- reurs , mais à coup sûr ce ne sont point celles des esclaves ni des tyrans . D Séance du 22 août . presse . Séance du 24 - 57.
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... tyrans ! ... Si je ne suis pas convaincu que ceux qui pensent ainsi sont des insensés , des imbéciles , ma raison me force à les regarder comme des perfides ! S'il faut que je tienne un autre lan- gage , s'il faut que je cesse de ...
... tyrans ! ... Si je ne suis pas convaincu que ceux qui pensent ainsi sont des insensés , des imbéciles , ma raison me force à les regarder comme des perfides ! S'il faut que je tienne un autre lan- gage , s'il faut que je cesse de ...
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... tyrans : « Il faut dire à Léopold : Vous 1. On jouait à cette époque ( septembre 1791 ) au théâtre Molière , une pièce où Rohan et Condé se trouvaient aux prises avec Robes- pierre , qui les foudroyait , dit un critique du temps , par ...
... tyrans : « Il faut dire à Léopold : Vous 1. On jouait à cette époque ( septembre 1791 ) au théâtre Molière , une pièce où Rohan et Condé se trouvaient aux prises avec Robes- pierre , qui les foudroyait , dit un critique du temps , par ...
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... tyrans qu'il faudrait bannir ! répond Robespierre . Pour moi , où voulez - vous que je me retire ? Quel est le peuple où je trouverai la liberté établie ? et quel despote voudra me donner asile ! Ah ! on peut abandonner sa patrie ...
... tyrans qu'il faudrait bannir ! répond Robespierre . Pour moi , où voulez - vous que je me retire ? Quel est le peuple où je trouverai la liberté établie ? et quel despote voudra me donner asile ! Ah ! on peut abandonner sa patrie ...
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... tyrans et leurs complices . Pleurez donc , pleurez l'humanité abattue sous leur joug odieux . Mais consolez - vous , si , imposant silence à toutes les viles passions , vous voulez assurer le bonheur de votre pays et préparer celui du ...
... tyrans et leurs complices . Pleurez donc , pleurez l'humanité abattue sous leur joug odieux . Mais consolez - vous , si , imposant silence à toutes les viles passions , vous voulez assurer le bonheur de votre pays et préparer celui du ...
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Expressions et termes fréquents
accusation amis applaudissements armée assemblées avez bonheur Brissot calomnie Camille Desmoulins cause chose citoyens club des Jacobins cœur Comité de salut complices concitoyens conspirateurs constitution Convention nationale coupables COURNOL crime crimes de lèse-nation culte dangereux Danton déclaration décret défendre défenseurs demande dénonce despotisme discours doit Dumouriez ennemis éternelle Étienne Dumont factions Fayette force funeste générale gouvernement guerre hommes humain idées impunément institutions intrigants j'ai Jacobins juger justice l'aristocratie l'Assemblée l'égalité l'homme l'humanité l'intrigue l'univers législateur liberté lois Louis XVI magistrats mandataires membres ment ministres morale moyens nation nature objet opprimé passions patrie patriotes peine de mort perfidie politique pouvoir exécutif préjugés prêtres principes propose puissance puisse punir qu'un raison réclame représentants du peuple républicains république révolution révolutionnaire Robespierre rois s'il sacré sacrés de l'homme salut public Séance sentiment sera seul social société soient souveraineté système tion tisme toyens tribunal tribune triomphe tyrans vérité vertu vices voilà
Fréquemment cités
Page 247 - DROITS DE L'HOMME ET DU CITOYEN Le peuple Français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but...
Page 276 - Si le ressort du gouvernement populaire dans la paix est la vertu, le ressort du gouvernement populaire en révolution est à la fois la vertu et la terreur : la vertu, sans laquelle la terreur est funeste ; la terreur, sans laquelle la vertu est impuissante.
Page 313 - Divinité : l'une ne peut séjourner sans l'autre parmi les hommes. Peuple généreux , veux-tu triompher de tous tes ennemis ? Pratique la justice , et rends à la Divinité le seul culte digne d'elle. Peuple , livrons-nous aujourd'hui sous ses auspices aux transports d'une pure allégresse ! Demain nous combattrons encore les vices et les tyrans...
Page 311 - En cas de troubles dont un culte quelconque serait l'occasion ou le motif, ceux qui les exciteraient par des prédications fanatiques ou par des insinuations contre-révolutionnaires, ceux qui les provoqueraient par des violences injustes et gratuites, seront également punis selon la rigueur des lois.
Page 229 - ... représentants de la nation. Vous n'avez point une sentence à rendre pour ou contre un homme : mais une mesure de salut public à prendre, un acte de providence nationale à exercer.
Page 138 - Oh ! je la leur abandonnerai sans regret: j'ai l'expérience du passé, et je vois l'avenir. Quel ami de la patrie peut vouloir survivre au moment où il n'est plus permis de la servir et de défendre l'innocence opprimée? Pourquoi demeurer dans un ordre de choses où l'intrigue triomphe éternellement de la vérité, où la justice est un mensonge, où les plus viles passions, où les craintes les plus ridicules occupent dans les cœurs la place des intérêts sacrés de l'humanité?
Page 246 - Les citoyens, dont les revenus n'excèdent point ce qui est nécessaire à leur subsistance , sont dispensés de contribuer aux dépenses publiques ; les autres doivent les supporter progressivement selon l'étendue de leur fortune.
Page 130 - Est-ce nous qui, oubliant les crimes de l'aristocratie, et protégeant les traîtres, avons déclaré la guerre aux citoyens paisibles, érigé en crimes ou des préjugés incurables ou des choses indifférentes, pour trouver partout des coupables et rendre la révolution redoutable au peuple même? Ce sont les monstres, que nous avons accusés. Est-ce nous qui...
Page 302 - Et d'ailleurs qu'y at-il entre les prêtres et Dieu ? Les prêtres sont à la morale ce que les charlatans sont à la médecine.
Page 144 - Je suis fait pour combattre le crime, non pour le gouverner. Le temps n'est point arrivé où les hommes de bien peuvent servir impunément la patrie ; les défenseurs de la liberté ne seront que des proscrits tant que la horde des fripons dominera.