Histoire de la littérature française ... jusqu'à la Révolution, Volume 1Didier et cie, 1861 |
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... François de Rues , autre auxiliaire de Philippe le Bel , a fait de Fauvel ' ou le Cheval Fauve un type des vanités du monde et une idole que servent à ge- noux les esclaves de la fausse gloire . Du manége de ces courtisans est venu le ...
... François de Rues , autre auxiliaire de Philippe le Bel , a fait de Fauvel ' ou le Cheval Fauve un type des vanités du monde et une idole que servent à ge- noux les esclaves de la fausse gloire . Du manége de ces courtisans est venu le ...
Page 178
... François de Rues représente les progrès de l'ambition pontificale : autrefois , dit - il , le successeur de saint Pierre Une petite roie ( filet ) avoit Et une petite nacele , Si ne prenoit qu'un peu d'avele Ou d'autres poissonnés menus ...
... François de Rues représente les progrès de l'ambition pontificale : autrefois , dit - il , le successeur de saint Pierre Une petite roie ( filet ) avoit Et une petite nacele , Si ne prenoit qu'un peu d'avele Ou d'autres poissonnés menus ...
Page 197
... François Ier avait eu son Frois- sart , nous comprendrions mieux le désastre de Pavie . Les chroniqueurs qui savent peindre sont les éclai- reurs des historiens . Au reste , il faut laisser au roi Jean , comme à François Ier , le ...
... François Ier avait eu son Frois- sart , nous comprendrions mieux le désastre de Pavie . Les chroniqueurs qui savent peindre sont les éclai- reurs des historiens . Au reste , il faut laisser au roi Jean , comme à François Ier , le ...
Page 237
... françois , qui si long- temps a eu le renom de persévérer loyal , ferme et entier vers son seigneur naturel sans requérir nou- velles mutations ? Je me doubte que tous trois soient rabaissez et avilez de la dignité et devoir de leurs ...
... françois , qui si long- temps a eu le renom de persévérer loyal , ferme et entier vers son seigneur naturel sans requérir nou- velles mutations ? Je me doubte que tous trois soient rabaissez et avilez de la dignité et devoir de leurs ...
Page 254
... François Ollivier Maillard , presché à Bruges , en 1500 , publié par l'abbé Labouderie , 1 vol . in - 8o , 1826 . conclusion dans laquelle il leur laisse espérer qu'elles peuvent revenir 254 HISTOIRE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE .
... François Ollivier Maillard , presché à Bruges , en 1500 , publié par l'abbé Labouderie , 1 vol . in - 8o , 1826 . conclusion dans laquelle il leur laisse espérer qu'elles peuvent revenir 254 HISTOIRE DE LA LITTÉRATURE FRANÇAISE .
Expressions et termes fréquents
Alain Chartier ballade Bartas beau Bellay belle Boëtie Calvin ceste chansons de gestes chants Charlemagne Charles d'Orléans charme chevalier chose Christine Christine de Pisan Clément Marot cœur Comines courage d'Ogier devant Dieu Diex dire donne écrivain esprits Essais estre Euvres faict Faux-Semblant force François Ier Froissart Garin Garnier Génius gens Gerson grant guerre Guillaume de Lorris Henri héroïque héros homme ibid Jean de Meung Joinville jongleur justice l'Église l'esprit l'histoire laisse langage langue latin légende littéraire Louis main Marot Ménippée ment Méon mesme Michel de L'Hospital mœurs Montaigne morale mort moyen âge mystères noble œuvres Ogier paroles passage passé passions pensée peuple Philippe poëme poésie poëte poétique politique povre premier prince Rabelais Regnier Renart reste rien Roland Roman Ronsard Rose royauté Rutebeuf saint satire Satyre scène seigneur sentiments sera seul siècle terre tion trouvères vices vilain Villon
Fréquemment cités
Page 420 - Le moyen que je prens pour rabatre cette frenaisie et qui me semble le plus propre, c'est de froisser et fouler aux pieds l'orgueil et...
Page 358 - Sacrilège meurdrier si on pend un voleur Pour piller un butin de bien peu de valeur, Combien de feux, de fers, de morts et de détresses Mérites-tu, méchant, pour tuer nos déesses?
Page 153 - Tout est dit : et l'on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu'il ya des hommes, et qui pensent.
Page 274 - Pipeur, larron, jureur, blasphémateur, Sentant la hart de cent pas à la ronde. Au demeurant, le meilleur fils du monde...
Page 464 - Cognoissez les humeurs qu'il verse dessus nous, Ce qui se fait dessus, ce qui se fait dessous ; Portez une lanterne aux cachots de nature...
Page 466 - Aussi lorsque l'on voit un homme par la rue Dont le rabat est sale et la chausse rompue, Ses gregues aux genoux, au coude son pourpoint, Qui soit de pauvre mine et qui soit mal en point; Sans demander son nom, on le peut reconnoistre, Car si ce n'est un poete, au moins il le veut estre1.
Page 412 - Celui qui vous maîtrise tant n'a que deux yeux, n'a que deux mains, n'a qu'un corps et n'a autre chose que ce qu'a le moindre homme du grand nombre infini de vos villes ; sinon qu'il a plus que vous tous : c'est l'avantage que vous lui faites pour vous détruire.
Page 236 - C'est une privée roberie , ung larrecin habandonné, force publicque soubz umbre d'armes , et violente rapine , que faulte de justice et de bonne ordonnance ont fait estre loisibles. Les armes sont criées et les estendars levez contre les ennemis : mais les exploitz sont contre moy, à la destruction de ma povre substance et de ma misérable vie. Les ennemis sont combatus de parolles, et je le suis de faict.
Page 19 - Karlo, et in adjudha et in cadhuna cosa, si cum om per dreit son fradra salvar dist, in o quid il mi altresi fazet ; et ab Ludher nul plaid nunquam prindrai , qui, meon vol, cist meon fradre Karle in damno sit.
Page 340 - Lis donc, et relis premièrement (ô poète futur), feuillette de main nocturne et journelle, les exemplaires grecs et latins; puis me laisse toutes ces vieilles poésies françaises aux Jeux floraux de Toulouse et au Puy de Rouen; comme rondeaux, ballades, virelais, chants royaux, chansons et autres telles épiceries qui corrompent le goût de notre langue, et ne servent sinon à porter témoignage de notre ignorance.