Pléiade françoise: ou, L'esprit des sept plus grands poètesPierre-Louis d' Aquin de Château-Lyon Chez Duchesne, libraire, rue Saint Jacques, au dessous de la fontaine S. Benoît, au Temple du Goût, 1754 - 396 páginas |
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... avoit encor cet éclat emprunté , Dont elle eut foin de peindre & d'orner fon visage , Pour réparer des ans l'irréparable outrage . Racine , Athal . act . II . MITHRIDATE à MONIME . ... Il n'eft point de Rois , s'ils font dignes de l ...
... avoit encor cet éclat emprunté , Dont elle eut foin de peindre & d'orner fon visage , Pour réparer des ans l'irréparable outrage . Racine , Athal . act . II . MITHRIDATE à MONIME . ... Il n'eft point de Rois , s'ils font dignes de l ...
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... avoit Fenêtre au corps ; de forte qu'on pouvoit Dans le dedans tout à fon aise lire ; Chofe commode aux Médecins d'alors . Mais fi d'avoir une fenêtre au corps Etoit utile , une au cœur au contraire Ne l'étoit pas , dans les femmes ...
... avoit Fenêtre au corps ; de forte qu'on pouvoit Dans le dedans tout à fon aise lire ; Chofe commode aux Médecins d'alors . Mais fi d'avoir une fenêtre au corps Etoit utile , une au cœur au contraire Ne l'étoit pas , dans les femmes ...
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... avoit introduit , Par les mains d'Athalie un temple fut conftruit . Jerufalem pleura de fe voir profanée . Des enfans de Levi la troupe confternée , En pouffa vers le ciel des hurlemens affreux . Moi feul donnant l'exemple aux timides ...
... avoit introduit , Par les mains d'Athalie un temple fut conftruit . Jerufalem pleura de fe voir profanée . Des enfans de Levi la troupe confternée , En pouffa vers le ciel des hurlemens affreux . Moi feul donnant l'exemple aux timides ...
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... avoit touché le feuil de ce palais ; L'ami couché s'étonne , il prend fa bourse , il s'arme ; Vient trouver l'autre , & dit ; il vous arrive peu De courir quand on dort ; vous me paroiffiez homme A mieux ufer du tems deftiné pour le ...
... avoit touché le feuil de ce palais ; L'ami couché s'étonne , il prend fa bourse , il s'arme ; Vient trouver l'autre , & dit ; il vous arrive peu De courir quand on dort ; vous me paroiffiez homme A mieux ufer du tems deftiné pour le ...
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... avoit aimée il ne feroit pas mort . 2 > Corneille , Cid , act . v . fc . derniére . J AMOUR TIMIDE . CARLOS à D. ISABELLE > E puis contre le ciel en fecret murmurer De n'être pas né Roi pour pouvoir espérer Et les yeux éblouis de cet ...
... avoit aimée il ne feroit pas mort . 2 > Corneille , Cid , act . v . fc . derniére . J AMOUR TIMIDE . CARLOS à D. ISABELLE > E puis contre le ciel en fecret murmurer De n'être pas né Roi pour pouvoir espérer Et les yeux éblouis de cet ...
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Términos y frases comunes
A&te affez affreux aime ainfi allarmes amant amour Andromaq Athal Atrée auffi autels Bajazet bien-tôt Burrhus C'eft c'eſt CATILINA Céfar ceffe cher chofe ciel cieux CINNA Corneille courage courroux Crébillon crime cruel défirs Defpréaux deftin déja Dieu Dieux difcours efclave efprit enfans ennemis Epitr eſt Fable facrés fage fainte fang fans fecours fecret fein fens fervir feul foible foin foit foldats fombres fommes font Fontaine fouffrir fous fouvent fuis fuit fujets funefte fuperbe fuprême fureur gloire grace Henri HERMIONE Héros hymen j'ai jour jufte juftice l'amour l'efprit l'univers laiffe loix long-tems main maître malheureux MITHRIDATE monftre mort mortels n'eft paffer penfe pere peuple Phedre plaifir plaifirs pleurs puiffe punir Pyrrhus qu'un Racine raifon refpe&t refte rien Rois Rome Rouffeau s'eft Sunnon tems trembler trépas trifte trône tyrans vengeance venger vertu veux vois voix Voltaire yeux Zair
Pasajes populares
Página 116 - Présente, je vous fuis : -absente, je vous trouve; Dans le fond des forêts votre image me suit; La lumière du jour, les ombres de la nuit, Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite ; Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Página 3 - Amants, heureux amants, voulez-vous voyager ? Que ce soit aux rives prochaines, Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau, Toujours divers, toujours nouveau ; Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste.
Página 43 - Seigneur, de vos bontés il faut que je l'obtienne ; Elle a trop de vertus pour n'être pas chrétienne : Avec trop de mérite il vous plut la former, Pour ne vous pas connaître et ne vous pas aimer, Pour vivre des enfers esclave infortunée, Et sous leur triste joug mourir comme elle est née.
Página 306 - O le plaisant détour ! Ils ont bien ennuyé le roi, toute la cour Sans que le moindre édit ait, pour punir leur crime, Retranché les auteurs ou supprimé la rime.
Página 66 - Sur tous mes frères morts se faisant un passage; Et de sang tout couvert échauffant le carnage Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés sous le fer expirants.
Página 93 - Et son salut dépend de la perte d'un homme, Si l'on doit le nom d'homme à qui n'a rien d'humain, A ce tigre altéré de tout le sang romain. Combien pour le répandre at-il formé de brigues, Combien de fois changé de partis et de ligues ! Tantôt ami d'Antoine et tantôt ennemi, Et jamais insolent ni cruel à demi.
Página 116 - Moi-même, pour tout fruit de mes soins superflus, Maintenant je me cherche, et ne me trouve plus': Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune...
Página 167 - Sa voix redoutable Trouble les enfers ; Un bruit formidable Gronde dans les airs; Un voile effroyable Couvre l'univers ; La terre tremblante Frémit de terreur ; L'onde turbulente Mugit de fureur ; La lune sanglante Recule d'horreur.
Página 208 - T'ouvrent leurs bras sanglants tendus du haut des cieux. Ton Dieu que tu trahis, ton Dieu que tu blasphèmes, Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes, En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres; Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres.
Página 274 - Ma cruauté se lasse, et ne peut s'arrêter; Je veux me faire craindre, et ne fais qu'irriter. Rome a pour ma ruine une hydre trop fertile : Une tête coupée en fait renaître mille; Et le sang répandu de mille conjurés Rend mes jours plus maudits, et non plus assurés.