Les aventures de Télemaque, fils d'UlysseJ.E. Dufour & P. Roux, 1782 - 484 páginas |
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Página xxi
... C'étoit la force & l'effor de fon grand génie , qui l'entraînoit malgré lui . La pompeufe magnificence , le jugement & la conduite de Virgile , dégénerent quelquefois en une régularité trop compaffée , où il femble plutôt Histo- b ...
... C'étoit la force & l'effor de fon grand génie , qui l'entraînoit malgré lui . La pompeufe magnificence , le jugement & la conduite de Virgile , dégénerent quelquefois en une régularité trop compaffée , où il femble plutôt Histo- b ...
Página xxv
... C'étoit donc une fageffe digne de notre Auteur , de précautionner fon éleve contre fes folles paffions de la jeuneffe , par la Fable de Calypfo , & de lui donner , dans l'hiftoire d'Antiope , l'exemple d'un amour chafte & légitime . En ...
... C'étoit donc une fageffe digne de notre Auteur , de précautionner fon éleve contre fes folles paffions de la jeuneffe , par la Fable de Calypfo , & de lui donner , dans l'hiftoire d'Antiope , l'exemple d'un amour chafte & légitime . En ...
Página 3
... c'étoit Té- lemaque , fils de ce Héros ; mais quoique les Dieux furpaffent de loin en connoiffance tous les hommes , elle ne put découvrir qui étoit cet homme vénéra- ble dont Télemaque étoit accompagné . C'est que les Dieux fupérieurs ...
... c'étoit Té- lemaque , fils de ce Héros ; mais quoique les Dieux furpaffent de loin en connoiffance tous les hommes , elle ne put découvrir qui étoit cet homme vénéra- ble dont Télemaque étoit accompagné . C'est que les Dieux fupérieurs ...
Página 12
... c'étoit lui qui m'encourageoit ; je fentois qu'il m'inspiroit une force invincible : il donnoit tranquillement tous les ordres , pendant que le Pilote étoit troublé . Je lui difois : Mon cher Mentor , pourquoi ai - je refufé de fuivre ...
... c'étoit lui qui m'encourageoit ; je fentois qu'il m'inspiroit une force invincible : il donnoit tranquillement tous les ordres , pendant que le Pilote étoit troublé . Je lui difois : Mon cher Mentor , pourquoi ai - je refufé de fuivre ...
Página 15
... c'étoit fait de nous , quand Mentor demanda tranquillement à par- ler au Roi ; il lui dit : O Acefte ! fi le malheur du jeune Télemaque qui n'a jamais porté les armes contre les Troyens , ne peut vous toucher , du moins que votre propre ...
... c'étoit fait de nous , quand Mentor demanda tranquillement à par- ler au Roi ; il lui dit : O Acefte ! fi le malheur du jeune Télemaque qui n'a jamais porté les armes contre les Troyens , ne peut vous toucher , du moins que votre propre ...
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Les Aventures de Télémaque, fils d'Ulysse François de Salignac de La Mothe- Fénelon Vista completa - 1838 |
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Términos y frases comunes
Adrafte affez ainfi Antiope au-deffus auffi Auffi-tôt avoient avoit befoin c'eft C'eſt c'étoit Calypfo caufe cher chofes confeils conferver Crete Crétois cruelle Dauniens Déeffe deffein déja Dieux difant difcours difoit difoit-il efpérance efprit Enfuite ennemis eſt étoient étoit fage fageffe faifoit fang fans ceffe favoir fecours fecret femblable femble fentir fervir fes yeux feul fiege de Troye fils d'Ulyffe fimple foin foit fon cœur fon pere fonge font fouffrir fous fouvent fuis fuivant fujets fur la terre gloire Grecs guerre Hazaël Héros Hippias hommes Idoménée ifle Ithaque jamais jeuneffe jufte Jupiter l'ifle laiffe lemaque loix lumiere malheureux Mentor Minerve Minos n'avoit n'eft Narbal néceffaire Neftor Neptune Nymphes paffer paffions paix paroles peine penfer perfonne peuples Phéaciens Phéniciens Philoclès Philoctete plaifir plaifirs plufieurs Poëme Poëte Polydamas pouvoit prefque Prince Protéfilas puiffance puiffe raifon refte richeffes rien Rois Salente Télemaque Timocrate Troye Ulyffe vaiffeau vertu vifage voifins voyoit
Pasajes populares
Página 265 - A tout cela je répondais que je saurais bien tenir les peuples dans leur devoir en me faisant aimer d'eux ; en ne relâchant rien de mon autorité, quoique je les soulageasse ; en punissant avec fermeté tous les coupables; enfin, en donnant aux enfants une bonne éducation, et à tout le peuple une exacte discipline pour le tenir dans une vie simple, sobre et laborieuse.
Página 51 - D'où vient, disais-je à Narbal, que les Phéniciens se sont rendus les maîtres du commerce de toute la terre, et qu'ils s'enrichissent ainsi aux dépens de tous les autres peuples? Vous le voyez, me répondit-il; la situation de Tyr est heureuse pour le commerce. C'est notre patrie qui a la gloire d'avoir inventé la navigation: les Tyriens furent les premiers , s'il en faut croire...
Página 103 - ... en obéissant pour commander un jour, que de commander maintenant. Ne cherchez donc pas un homme qui ait vaincu les autres dans les jeux d'esprit et de corps, mais qui se soit vaincu lui-même; cherchez un homme qui ait vos lois écrites dans le fond de son cœur, et dont toute la vie soit la pratique de ces lois ; que ses actions, plutôt que ses paroles, vous le fassent choisir.
Página 369 - ... arrive : ce qui vient avec tant de rapidité n'est pas loin de toi; et le présent qui s'enfuit est déjà bien loin, puisqu'il s'anéantit dans le moment que nous parlons , et ne peut plus se rapprocher. Ne compte donc jamais , mon fils, sur le présent; mais soutiens-toi dans le sentier rude et âpre de la vertu par la vue de l'avenir.
Página 36 - Bocchoris n'avoit ni humanité pour les étrangers, ni curiosité pour les sciences, ni estime pour les hommes vertueux, ni amour de la gloire. La grandeur de son père avoit contribué à le rendre si indigne de régner.
Página 411 - Toute l'armée fut plus touchée de ces marques de la bonté de son cœUr , que de tous les prodiges de sagesse et de valeur qui venaient d'éclater en lui.
Página 378 - ... tous les biens réels avec des mœurs pures dans une pleine liberté. On comprit donc qu'un champ fertile et bien cultivé est le vrai trésor d'une famille assez sage pour vouloir vivre frugalement comme ses pères ont vécu.
Página 89 - On a préparé des jeux publics, où tous les prétendants combattent; car on veut donner pour prix la royauté à celui qu'on jugera vainqueur de tous les autres, et pour l'esprit et pour le corps. On veut un roi dont le corps soit fort et adroit, et dont l'âme soit ornée de la sagesse et de la vertu. On appelle ici tous les étrangers.
Página 220 - Quand vous avez trouvé des flatteurs, les avez-vous écartés ? vous en êtes-vous défié ! Non, non ; vous n'avez point fait ce que font ceux qui aiment la vérité, et qui méritent de la connaître.
Página 346 - Ulysse lui apparoissoit tout-à-coup dans des festins où la joie éclatoit parmi les délices , et où l'on entendoit les tendres accords d'une voix avec une lyre plus douce que la lyre d'Apollon et que les voix de toutes les Muses. Télémaque, en s'éveillant, s'attristoit de ces songes si agréables.