La satire en France au moyen âgeHachette, 1883 - 437 páginas |
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... représente une des faces les plus curieuses et les moins connues de no- tre histoire nationale . Le procès du moyen âge n'est point encore vidé aujourd'hui : instruit au début de ce siècle par un grave et puissant historien , M. Guizot ...
... représente une des faces les plus curieuses et les moins connues de no- tre histoire nationale . Le procès du moyen âge n'est point encore vidé aujourd'hui : instruit au début de ce siècle par un grave et puissant historien , M. Guizot ...
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... représente , ni même pour les fonctions qu'il accepte , parce que l'autorité de ce ministère ne lui cst que prêtée et réside réellement plus haut que lui . » cependant . La libre pensée comprimée dans l'enceinte des écoles VIII PRÉFACE.
... représente , ni même pour les fonctions qu'il accepte , parce que l'autorité de ce ministère ne lui cst que prêtée et réside réellement plus haut que lui . » cependant . La libre pensée comprimée dans l'enceinte des écoles VIII PRÉFACE.
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... représente à la fois le monde ancien et le monde nouveau . Par le cœur , c'est encore un chrétien de la première croisade , dévot et soumis comme Godefroy de Bouillon ; par l'esprit de son gou- vernement , il appartient déjà aux temps ...
... représente à la fois le monde ancien et le monde nouveau . Par le cœur , c'est encore un chrétien de la première croisade , dévot et soumis comme Godefroy de Bouillon ; par l'esprit de son gou- vernement , il appartient déjà aux temps ...
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... représente la pensée libre et vagabonde ; elle joue auprès de la foule le même rôle que la presse de notre temps . Ces hommes de rien que leur esprit 4. Si ce n'est par défaut rend chers et parfois redoutables aux grands , à travers 28 ...
... représente la pensée libre et vagabonde ; elle joue auprès de la foule le même rôle que la presse de notre temps . Ces hommes de rien que leur esprit 4. Si ce n'est par défaut rend chers et parfois redoutables aux grands , à travers 28 ...
Página 29
... représente toujours comme écrasé sous le joug de l'auto- rité , tant de hardiesses incroyables sur la papauté , l'épisco- pat , la chevalerie , sur les dogmes les plus révérés de la religion , tels que le paradis , l'enfer , etc. Cette ...
... représente toujours comme écrasé sous le joug de l'auto- rité , tant de hardiesses incroyables sur la papauté , l'épisco- pat , la chevalerie , sur les dogmes les plus révérés de la religion , tels que le paradis , l'enfer , etc. Cette ...
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 285 - II n'est cité que je préfère à Reims : C'est l'ornement et l'honneur de la France : Car, sans compter l'ampoule 2 et les bons vins, Charmants objets y sont en abondance.
Página 290 - Qui est plaisant et advenant ; Que faire n'ay du remenant, Mais du petit maistre Robert? Je les ayme, tout d'ung tenant, Ainsi...
Página 264 - Les Engloys ont faict desraison Aux compaignons du Vau de Vire Vous n'orrez plus dire chanson A ceulx qui les soulloient bien dire. Nous priron Dieu de bon cueur fin Et la doulce Vierge Marie Qu'il doint aux Engloys mâle fin.
Página 293 - La mort le faia frémir, pallir, Le nez courber, les veines tendre, Le col enfler, la chair mollir, Jointes et nerfs croistre et estendre.
Página 313 - Loire , transportaient la justice du roi , et le peuple effrayé la laissait passer. Maillard répondit : « Le roi est maître de faire de moi comme de tant d'autres; mais j'irai plus rapidement en paradis par eau , qu'il n'y arrivera avec ses chevaux de poste. » C'était une allusion à l'établissement récent des postes. La réponse est vive ; elle est ingénieuse ; c'est un acte de courage à l'appui d'un acte d'indépendance.
Página 276 - Véritablement hommes, Et meurent comme nous. Ont-ils rendu l'esprit, ce n'est plus que poussière Que cette majesté si pompeuse et si fière, Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'univers; Et, dans ces grands tombeaux où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers.
Página 104 - L'amour tient aussi une grande place dans ce long chapitre de morale 'féminine : il y est l'objet d'une interminable litanie, qui pouvait être gracieuse, mais qui n'a guère d'autre mérite que de nous rappeler le chœur délicieux d'Antigone dans Sophocle et celui d'Hippolyte dans Euripide : « Amour ! invincible amour ! tu reposes sur les joues de la jeune fille, tu règnes sur les mers et dans la cabane du berger1. »
Página 65 - J'ai toujours abusé du plus cher de nos biens; Les pensers amusants, les vagues entretiens, Vains enfants du loisir, délices chimériques, Les romans, et le jeu, peste des républiques, Par qui sont dévoyés les esprits les plus droits, Ridicule fureur qui se moque des lois, Cent autres passions, des sages condamnées, Ont pris comme à l'envi la fleur de mes années.
Página 289 - Si ne suis, bien le considère, filz d'ange, portant dyademe d'estoylle ne d'autre sydere. mon père est mort, dieu en ayt l'âme! quant est du corps, il gyst soubz lame, j'entends que ma mère mourra, et le sçait bien la povre femme, et le filz pas ne demourra.
Página 263 - Ces godons, panches l à poys, Car ung de nous en vault quatre, Au moins en vault-il bien troys '. Ces joyeuses bravades eurent une fin tragique.