La satire en France au moyen âgeHachette, 1883 - 437 páginas |
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... , elle devient la mère patrie de la civilisation et de la littérature en Europe . » ( Cité par Dietz , Essai sur les cours d'amour . ) laient maintenir entre les érudits et les lettres . Les XIV PRÉFACE DE LA DEUXIÈME ÉDITION .
... , elle devient la mère patrie de la civilisation et de la littérature en Europe . » ( Cité par Dietz , Essai sur les cours d'amour . ) laient maintenir entre les érudits et les lettres . Les XIV PRÉFACE DE LA DEUXIÈME ÉDITION .
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... cour- toises et aussi des critiques qu'on a pu nous faire dans un tout autre esprit . Les censures même injustes et malveillantes ont leur utilité : elles forcent l'auteur à revoir son œuvre , à contrôler ses propres jugements et à ...
... cour- toises et aussi des critiques qu'on a pu nous faire dans un tout autre esprit . Les censures même injustes et malveillantes ont leur utilité : elles forcent l'auteur à revoir son œuvre , à contrôler ses propres jugements et à ...
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... cour un bouffon ou un jongleur français . Boccace empruntait à nos trouvères la plupart de nos vieux fabliaux , que La Fon- taine devait lui reprendre un jour comme un bien de fa- mille . Nul doute qu'il n'y ait au milieu de ce ...
... cour un bouffon ou un jongleur français . Boccace empruntait à nos trouvères la plupart de nos vieux fabliaux , que La Fon- taine devait lui reprendre un jour comme un bien de fa- mille . Nul doute qu'il n'y ait au milieu de ce ...
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... cour , comme celle de Marguerite de Navarre au xvio siècle , était le rendez - vous des libres viveurs et des libres penseurs d'alors : hérétiques , chanteurs , bateleurs , jongleurs et folles dames s'y pressaient en foule . Là s'était ...
... cour , comme celle de Marguerite de Navarre au xvio siècle , était le rendez - vous des libres viveurs et des libres penseurs d'alors : hérétiques , chanteurs , bateleurs , jongleurs et folles dames s'y pressaient en foule . Là s'était ...
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... Ces malédictions contre Rome furent le chant de mort de la poésie provençale . Les cours d'amour se fermèrent ; les 1. Raynouard , t . II , iv . troubadours exilés , traqués par l'Inquisition , se répandirent en LA CHANSON . 41.
... Ces malédictions contre Rome furent le chant de mort de la poésie provençale . Les cours d'amour se fermèrent ; les 1. Raynouard , t . II , iv . troubadours exilés , traqués par l'Inquisition , se répandirent en LA CHANSON . 41.
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 285 - II n'est cité que je préfère à Reims : C'est l'ornement et l'honneur de la France : Car, sans compter l'ampoule 2 et les bons vins, Charmants objets y sont en abondance.
Página 290 - Qui est plaisant et advenant ; Que faire n'ay du remenant, Mais du petit maistre Robert? Je les ayme, tout d'ung tenant, Ainsi...
Página 264 - Les Engloys ont faict desraison Aux compaignons du Vau de Vire Vous n'orrez plus dire chanson A ceulx qui les soulloient bien dire. Nous priron Dieu de bon cueur fin Et la doulce Vierge Marie Qu'il doint aux Engloys mâle fin.
Página 293 - La mort le faia frémir, pallir, Le nez courber, les veines tendre, Le col enfler, la chair mollir, Jointes et nerfs croistre et estendre.
Página 313 - Loire , transportaient la justice du roi , et le peuple effrayé la laissait passer. Maillard répondit : « Le roi est maître de faire de moi comme de tant d'autres; mais j'irai plus rapidement en paradis par eau , qu'il n'y arrivera avec ses chevaux de poste. » C'était une allusion à l'établissement récent des postes. La réponse est vive ; elle est ingénieuse ; c'est un acte de courage à l'appui d'un acte d'indépendance.
Página 276 - Véritablement hommes, Et meurent comme nous. Ont-ils rendu l'esprit, ce n'est plus que poussière Que cette majesté si pompeuse et si fière, Dont l'éclat orgueilleux étonnait l'univers; Et, dans ces grands tombeaux où leurs âmes hautaines Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers.
Página 104 - L'amour tient aussi une grande place dans ce long chapitre de morale 'féminine : il y est l'objet d'une interminable litanie, qui pouvait être gracieuse, mais qui n'a guère d'autre mérite que de nous rappeler le chœur délicieux d'Antigone dans Sophocle et celui d'Hippolyte dans Euripide : « Amour ! invincible amour ! tu reposes sur les joues de la jeune fille, tu règnes sur les mers et dans la cabane du berger1. »
Página 65 - J'ai toujours abusé du plus cher de nos biens; Les pensers amusants, les vagues entretiens, Vains enfants du loisir, délices chimériques, Les romans, et le jeu, peste des républiques, Par qui sont dévoyés les esprits les plus droits, Ridicule fureur qui se moque des lois, Cent autres passions, des sages condamnées, Ont pris comme à l'envi la fleur de mes années.
Página 289 - Si ne suis, bien le considère, filz d'ange, portant dyademe d'estoylle ne d'autre sydere. mon père est mort, dieu en ayt l'âme! quant est du corps, il gyst soubz lame, j'entends que ma mère mourra, et le sçait bien la povre femme, et le filz pas ne demourra.
Página 263 - Ces godons, panches l à poys, Car ung de nous en vault quatre, Au moins en vault-il bien troys '. Ces joyeuses bravades eurent une fin tragique.