Histoire de France: pendant le dix-huitième siècle, Volumen 3Delaunay, 1819 |
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... long - temps . Louis XIV savait reconnaître la supériorité de Racine et de Boileau en matières de goût ; Racine et Boileau , sur les matières de foi , n'osaient penser que d'après leurs savans amis de Port- Royal . Il y avait plutôt des ...
... long - temps . Louis XIV savait reconnaître la supériorité de Racine et de Boileau en matières de goût ; Racine et Boileau , sur les matières de foi , n'osaient penser que d'après leurs savans amis de Port- Royal . Il y avait plutôt des ...
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... son esprit avait séduit la célèbre Ninon de l'Enclos , qui lui légua une bibliotheque , et lui transmit ses principes d'indépendance 1 religieuse . On répétait ses bons mots long- temps 24 LIVRE IX , RÈGNE DE LOUIS XV :
... son esprit avait séduit la célèbre Ninon de l'Enclos , qui lui légua une bibliotheque , et lui transmit ses principes d'indépendance 1 religieuse . On répétait ses bons mots long- temps 24 LIVRE IX , RÈGNE DE LOUIS XV :
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... long- temps avant d'avoir à répéter ses beaux vers . On le croyait voué particulièrement à la sa- tire . Cette réputation lui fut fatale . Peu de temps après la mort de Louis XIV , entre plusieurs pièces de vers où l'on osait souiller ...
... long- temps avant d'avoir à répéter ses beaux vers . On le croyait voué particulièrement à la sa- tire . Cette réputation lui fut fatale . Peu de temps après la mort de Louis XIV , entre plusieurs pièces de vers où l'on osait souiller ...
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... long - temps à un enchan- tement qui avait paru irrésistible . Plusieurs personnes craignirent pour le Théâtre Fran- çais la dangereuse facilité de substituer l'art des effets inattendus et des situations entraî- nantes , à cette ...
... long - temps à un enchan- tement qui avait paru irrésistible . Plusieurs personnes craignirent pour le Théâtre Fran- çais la dangereuse facilité de substituer l'art des effets inattendus et des situations entraî- nantes , à cette ...
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... long - temps avant de l'avoir compris tout entier . Il avait parlé aux hommes d'État ; ils étaient rares en France dans un temps où la politique extérieure n'était pas entreprenante , et où de frivoles disputes absorbaient l'attention ...
... long - temps avant de l'avoir compris tout entier . Il avait parlé aux hommes d'État ; ils étaient rares en France dans un temps où la politique extérieure n'était pas entreprenante , et où de frivoles disputes absorbaient l'attention ...
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Histoire de France: pendant le dix-huitième siècle, Volumen 3 Charles Lacretelle Vista completa - 1809 |
Histoire de France: pendant le dix-huitième siècle, Volumen 3 Charles Lacretelle Vista completa - 1819 |
Histoire de France: pendant le dix-huitième siècle, Volumen 3 Charles Lacretelle Vista completa - 1809 |
Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 350 - France promet de fournir à l'impératricereine , pendant toute la présente guerre , un secours de dix-huit mille hommes d'infanterie et de six mille hommes de cavalerie, soit en troupes, soit en argent, au choix de l'impératrice-reine.
Página 272 - Il serait fâcheux qu'un aussi bon prince, par la trop grande bonté qu'il a pour les ecclésiastiques; dont il accorde toute sa confiance, ne soit pas sûr de sa vie ; et si vous n'avez pas la bonté d'y remédier sous peu de temps, il arrivera de trèsgrands malheurs, votre royaume n'étant pas II 20 en sûreté.
Página 272 - ... par malheur pour vous que vos sujets vous ont donné leur démission, l'affaire ne provenant que de leur part. Et si vous n'avez pas la bonté, pour votre peuple, d'ordonner qu'on leur donne les sacrements à l'article de la mort, les ayant refusés depuis votre lit de justice, dont le...
Página 202 - Je ne sais quel fripon, nommé Sandrin, ayant été condamné à être pendu par le Châtelet, en appela à la chambre royale qui confirma la sentence. Le Châtelet prétendit qu'on ne devait en appeler qu'au parlement, et refusa de pendre le coupable.
Página 171 - Il en paraissait touché pendant quelques momens; mais bientôt il n'y voyait que des artifices pour le dominer , et il s'en rendait le délateur auprès de la marquise qui faisait rentrer ces rivales dans leur obscurité. L'insensibilité morale s'accroissait chez le monarque lascif, à mesure qu'il assouvissait et réveillait encore la fougue de ses sens. Il n'entendait point les cris des familles qu'il livrait aux discordes et au déshonneur. Roi chrétien, il ne rougissait pas d'un harem d'où...
Página 170 - On prétend que le roi y faisait élever des jeunes filles de neuf ou dix ans. Le nombre de celles qui y furent conduites fut immense. Elles étaient dotées, mariées à des hommes vils ou crédules. « Les dépenses du Parc-aux-Cerfs se payaient avec des acquits au comptant.
Página 176 - On prétendit que des médecins avaient conseillé à un grand personnage de prendre des bains de sang humain pour réparer son sang altéré par des dé,bauches.
Página 343 - Soubise dit , la lanterne à la main : J'ai beau chercher , où diable est mon armée ? Elle était là pourtant hier matin. Me l'at-on prise , ou l'aurais-je égarée ? Ah ; je perds tout , je suis un étourdi ; Mais attendons au grand jour , à midi.
Página 210 - Aux mânes de Louis XV et des grands hommes qui ont vécu sous son règne, ou Essai sur les progrès des arts et de l'esprit humain sous le règne de Louis XV.
Página 310 - Ami, le sort en est jeté, Las de plier dans l'infortune, Sous le joug de l'adversité, J'accourcis le temps arrêté Que la nature notre mère A mes jours remplis de misère A daigné prodiguer par libéralité. D'un cœur assuré, d'un œil ferme, , Je m'approche de l'heureux terme Qui va me garantir contre les coups du sort, Sans timidité, sans effort.