Histoire de France: pendant le dix-huitième siècle, Volumen 3Delaunay, 1819 |
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... courtisans , et souvent ils tracèrent , au lieu de scènes de Le luxe s'ac- volupté , des scènes de libertinage . L'esprit devient moins d'invention se dirigea , soit vers ce qui éblouit croît , mais il imposant . un moment , soit vers ...
... courtisans , et souvent ils tracèrent , au lieu de scènes de Le luxe s'ac- volupté , des scènes de libertinage . L'esprit devient moins d'invention se dirigea , soit vers ce qui éblouit croît , mais il imposant . un moment , soit vers ...
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... 'émulation entre les gens de lettres : ils étu- diaient , auprès des courtisans eux - mêmes , les finesses de l'art des cours , et cherchaient à les faire sentir dans toutes leurs produc- tions . 22 LIVRE IX , RÈGNE DE LOUIS XV :
... 'émulation entre les gens de lettres : ils étu- diaient , auprès des courtisans eux - mêmes , les finesses de l'art des cours , et cherchaient à les faire sentir dans toutes leurs produc- tions . 22 LIVRE IX , RÈGNE DE LOUIS XV :
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... courtisans sė disputaient le vaste héritage de son autorité , Voltaire se présenta pour remplir la place l'Académie le qu'il laissait vacante à l'Académie Française . Il ne peut remplacer à cardinal de Fleury . Les deux d'Argenson le ...
... courtisans sė disputaient le vaste héritage de son autorité , Voltaire se présenta pour remplir la place l'Académie le qu'il laissait vacante à l'Académie Française . Il ne peut remplacer à cardinal de Fleury . Les deux d'Argenson le ...
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... courtisans ce qu'ils pensaient de cet ouvrage , mais ne savaient point le ju- ger par eux - mêmes . On écrivait des réfuta- tions de l'Esprit des Lois en moins de temps qu'il n'en faut pour le méditer dans toutes ses parties . Il ...
... courtisans ce qu'ils pensaient de cet ouvrage , mais ne savaient point le ju- ger par eux - mêmes . On écrivait des réfuta- tions de l'Esprit des Lois en moins de temps qu'il n'en faut pour le méditer dans toutes ses parties . Il ...
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... les désordres de la cour , le choc des partis , ont agi sur les philosophes . Ceux - ci réagiront à leur tour sur les mœurs , sur la marche des dif- 1 férens corps de l'État , sur les courtisans , 150 LIVRE IX , REGNE DE LOUIS XV :
... les désordres de la cour , le choc des partis , ont agi sur les philosophes . Ceux - ci réagiront à leur tour sur les mœurs , sur la marche des dif- 1 férens corps de l'État , sur les courtisans , 150 LIVRE IX , REGNE DE LOUIS XV :
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Histoire de France: pendant le dix-huitième siècle, Volumen 3 Charles Lacretelle Vista completa - 1809 |
Histoire de France: pendant le dix-huitième siècle, Volumen 3 Charles Lacretelle Vista completa - 1819 |
Histoire de France: pendant le dix-huitième siècle, Volumen 3 Charles Lacretelle Vista completa - 1809 |
Términos y frases comunes
Anglais armée assez attaque Autrichiens avaient bataille bataille de Kolin bientôt Broglie c'était çais calme campagne cardinal de Fleury clergé combat comte contrôleur général corps cour courtisans crut d'Alembert d'Argenson Damiens Daun dauphin dix-huitième siècle duc de Cumberland Dupleix enfin ennemis esprit eût exilé faible faisait favorite Fontenelle française Frédéric génie gloire goût gouvernement guerre Hanovre hommes d'État jansénistes jésuites L'abbé de Bernis l'Angleterre l'armée l'Autriche l'avait l'Esprit des Lois laissé lettres livres long-temps losophe Louis XIV Machault madame de Pompadour malheur maréchal de Richelieu marquise de Pompadour ment mille hommes ministre mœurs monarque Montesquieu montrait n'avait n'était nation Newton paix paraissait parlement parut pendant poëme poëte politique pouvait prince de Soubise prince Ferdinand prince Henri Prusse Prussiens règne religion retraite rival Rosbach Russes s'était savans Saxe sciences secours seul Silésie sort succès talent tion traité vaisseaux vait venait Versailles victoire vint Voltaire voulait voulut
Pasajes populares
Página 350 - France promet de fournir à l'impératricereine , pendant toute la présente guerre , un secours de dix-huit mille hommes d'infanterie et de six mille hommes de cavalerie, soit en troupes, soit en argent, au choix de l'impératrice-reine.
Página 272 - Il serait fâcheux qu'un aussi bon prince, par la trop grande bonté qu'il a pour les ecclésiastiques; dont il accorde toute sa confiance, ne soit pas sûr de sa vie ; et si vous n'avez pas la bonté d'y remédier sous peu de temps, il arrivera de trèsgrands malheurs, votre royaume n'étant pas II 20 en sûreté.
Página 272 - ... par malheur pour vous que vos sujets vous ont donné leur démission, l'affaire ne provenant que de leur part. Et si vous n'avez pas la bonté, pour votre peuple, d'ordonner qu'on leur donne les sacrements à l'article de la mort, les ayant refusés depuis votre lit de justice, dont le...
Página 202 - Je ne sais quel fripon, nommé Sandrin, ayant été condamné à être pendu par le Châtelet, en appela à la chambre royale qui confirma la sentence. Le Châtelet prétendit qu'on ne devait en appeler qu'au parlement, et refusa de pendre le coupable.
Página 171 - Il en paraissait touché pendant quelques momens; mais bientôt il n'y voyait que des artifices pour le dominer , et il s'en rendait le délateur auprès de la marquise qui faisait rentrer ces rivales dans leur obscurité. L'insensibilité morale s'accroissait chez le monarque lascif, à mesure qu'il assouvissait et réveillait encore la fougue de ses sens. Il n'entendait point les cris des familles qu'il livrait aux discordes et au déshonneur. Roi chrétien, il ne rougissait pas d'un harem d'où...
Página 170 - On prétend que le roi y faisait élever des jeunes filles de neuf ou dix ans. Le nombre de celles qui y furent conduites fut immense. Elles étaient dotées, mariées à des hommes vils ou crédules. « Les dépenses du Parc-aux-Cerfs se payaient avec des acquits au comptant.
Página 176 - On prétendit que des médecins avaient conseillé à un grand personnage de prendre des bains de sang humain pour réparer son sang altéré par des dé,bauches.
Página 343 - Soubise dit , la lanterne à la main : J'ai beau chercher , où diable est mon armée ? Elle était là pourtant hier matin. Me l'at-on prise , ou l'aurais-je égarée ? Ah ; je perds tout , je suis un étourdi ; Mais attendons au grand jour , à midi.
Página 210 - Aux mânes de Louis XV et des grands hommes qui ont vécu sous son règne, ou Essai sur les progrès des arts et de l'esprit humain sous le règne de Louis XV.
Página 310 - Ami, le sort en est jeté, Las de plier dans l'infortune, Sous le joug de l'adversité, J'accourcis le temps arrêté Que la nature notre mère A mes jours remplis de misère A daigné prodiguer par libéralité. D'un cœur assuré, d'un œil ferme, , Je m'approche de l'heureux terme Qui va me garantir contre les coups du sort, Sans timidité, sans effort.