Histoire de France: pendant le dix-huitième siècle, Volumen 3Delaunay, 1819 |
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... campagne d'Italie , se conduisait comme un courtisan très - indocile . Quelque- fois il avait devant la marquise de Pompa- dour le ton qu'il eût pu se permettre devant madame Le Normand d'Étioles ** . Fatigué La dauphine avait comblé ...
... campagne d'Italie , se conduisait comme un courtisan très - indocile . Quelque- fois il avait devant la marquise de Pompa- dour le ton qu'il eût pu se permettre devant madame Le Normand d'Étioles ** . Fatigué La dauphine avait comblé ...
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... campagne . Les seigneurs imitaient à grands frais l'élégante somptuosité des châ- teaux bâtis pour le roi et pour les princes . Nulle manière de se ruiner ne paraissait plus noble . Les financiers cédaient à cette vanité , et quelques ...
... campagne . Les seigneurs imitaient à grands frais l'élégante somptuosité des châ- teaux bâtis pour le roi et pour les princes . Nulle manière de se ruiner ne paraissait plus noble . Les financiers cédaient à cette vanité , et quelques ...
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... campagne au milieu de sa famille et de ses sujets désolés . Ce fléau ne semblait pouvoir s'arrêter . Une nouvelle secousse eut lieu à Lisbonne six semaines après ce grand désastre . La France éprouva aussi quelques tremblemens de terre ...
... campagne au milieu de sa famille et de ses sujets désolés . Ce fléau ne semblait pouvoir s'arrêter . Une nouvelle secousse eut lieu à Lisbonne six semaines après ce grand désastre . La France éprouva aussi quelques tremblemens de terre ...
Página 241
... campagne de la marquise , Bernis avait provoqué la ligue contre le roi de Prusse , pour se venger de la manière dont le poëte de Sans - Souci avait parlé de ses vers : Évitez de Bernis la stérile abondance . Ce reproche est exprimé avec ...
... campagne de la marquise , Bernis avait provoqué la ligue contre le roi de Prusse , pour se venger de la manière dont le poëte de Sans - Souci avait parlé de ses vers : Évitez de Bernis la stérile abondance . Ce reproche est exprimé avec ...
Página 261
... campagne qui ont été tracés dans le ca- binet de la maîtresse du roi , et chantent encore après des revers ignominieux . Les Russes s'avancent pesamment vers de longs massacres qui attristent le coeur de leur in- dolente souveraine ...
... campagne qui ont été tracés dans le ca- binet de la maîtresse du roi , et chantent encore après des revers ignominieux . Les Russes s'avancent pesamment vers de longs massacres qui attristent le coeur de leur in- dolente souveraine ...
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Histoire de France: pendant le dix-huitième siècle, Volumen 3 Charles Lacretelle Vista completa - 1809 |
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Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 350 - France promet de fournir à l'impératricereine , pendant toute la présente guerre , un secours de dix-huit mille hommes d'infanterie et de six mille hommes de cavalerie, soit en troupes, soit en argent, au choix de l'impératrice-reine.
Página 272 - Il serait fâcheux qu'un aussi bon prince, par la trop grande bonté qu'il a pour les ecclésiastiques; dont il accorde toute sa confiance, ne soit pas sûr de sa vie ; et si vous n'avez pas la bonté d'y remédier sous peu de temps, il arrivera de trèsgrands malheurs, votre royaume n'étant pas II 20 en sûreté.
Página 272 - ... par malheur pour vous que vos sujets vous ont donné leur démission, l'affaire ne provenant que de leur part. Et si vous n'avez pas la bonté, pour votre peuple, d'ordonner qu'on leur donne les sacrements à l'article de la mort, les ayant refusés depuis votre lit de justice, dont le...
Página 202 - Je ne sais quel fripon, nommé Sandrin, ayant été condamné à être pendu par le Châtelet, en appela à la chambre royale qui confirma la sentence. Le Châtelet prétendit qu'on ne devait en appeler qu'au parlement, et refusa de pendre le coupable.
Página 171 - Il en paraissait touché pendant quelques momens; mais bientôt il n'y voyait que des artifices pour le dominer , et il s'en rendait le délateur auprès de la marquise qui faisait rentrer ces rivales dans leur obscurité. L'insensibilité morale s'accroissait chez le monarque lascif, à mesure qu'il assouvissait et réveillait encore la fougue de ses sens. Il n'entendait point les cris des familles qu'il livrait aux discordes et au déshonneur. Roi chrétien, il ne rougissait pas d'un harem d'où...
Página 170 - On prétend que le roi y faisait élever des jeunes filles de neuf ou dix ans. Le nombre de celles qui y furent conduites fut immense. Elles étaient dotées, mariées à des hommes vils ou crédules. « Les dépenses du Parc-aux-Cerfs se payaient avec des acquits au comptant.
Página 176 - On prétendit que des médecins avaient conseillé à un grand personnage de prendre des bains de sang humain pour réparer son sang altéré par des dé,bauches.
Página 343 - Soubise dit , la lanterne à la main : J'ai beau chercher , où diable est mon armée ? Elle était là pourtant hier matin. Me l'at-on prise , ou l'aurais-je égarée ? Ah ; je perds tout , je suis un étourdi ; Mais attendons au grand jour , à midi.
Página 210 - Aux mânes de Louis XV et des grands hommes qui ont vécu sous son règne, ou Essai sur les progrès des arts et de l'esprit humain sous le règne de Louis XV.
Página 310 - Ami, le sort en est jeté, Las de plier dans l'infortune, Sous le joug de l'adversité, J'accourcis le temps arrêté Que la nature notre mère A mes jours remplis de misère A daigné prodiguer par libéralité. D'un cœur assuré, d'un œil ferme, , Je m'approche de l'heureux terme Qui va me garantir contre les coups du sort, Sans timidité, sans effort.