L'Église et l'État, Volumen 1Bureaux de la Bibl. Nouvelle, 1850 - 284 páginas |
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Términos y frases comunes
Abiathar abstraction des dons actes c'est-à-dire catholique cause choses chrétiens Christ ciété concile conscience consentement crime défendre démocratie démocratie primitive Denys d'Halicarnasse devoir distinction divine donner ecclésiastique églises églises réformées empereurs évêques fin dernière fin temporelle gallicans gentils glise gouvernement hommes humaine institution jamais Jésus-Christ juge Juifs juridiction justice l'autre l'état l'homme l'institution l'ordre spirituel l'ordre temporel legibus légitime Lépide liberté lois de l'ordre lois stables ment moyen âge nations nature naturel nécessaire non-seulement obligé Pape personne peuple politique porelle pouvoir spirituel pouvoir temporel pouvoir vient prêtres prince propriété protestants puissance spirituelle puissance temporelle raison régir reli religion résistance révolutions rois royaume s'il sacerdoce sacerdotal sacré saint Saint-Siége sance Seigneur serait serment seul société civile société religieuse société spirituelle société temporelle souverain Pontife souveraineté Suarez subordonné surnaturelle synodes théologiens tion tribu de Lévi tuelle tyrannie vérité vertu vient de Dieu violer volonté
Pasajes populares
Página 256 - Chacun professe sa religion avec une égale liberté, et obtient pour son culte la même protection.
Página 134 - Pharaon toute l'Egypte, avec tous les peuples d'une extrémité du royaume jusqu'à l'autre, excepté les seules terres des prêtres qui leur avaient été données par le roi; car on leur fournissait une certaine quantité de blé des greniers publics : c'est pourquoi ils ne furent point obligés de vendre leurs terres.
Página 223 - Et je te donnerai les clefs du royaume des cieux et tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux; et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux ». Matt.
Página 196 - Dieu l'hommage d'obéissance qui lui est dû et vous convaincrez vos gouvernants que la vraie religion n'est nullement faite pour renverser les lois civiles. Votre conduite les convaincra tous les jours de plus en plus de cette vérité ; elle les portera à chérir et à protéger votre culte en faisant observer les préceptes de l'Évangile et les règles de la discipline ecclésiastique.
Página 294 - Ceux que regarde l'élection de l'empereur, lui éliront librement un successeur à l'empire, et, quant au royaume de Sicile, nous y pourvoirons, avec le conseil de nos frères, comme nous le jugerons convenable (1).
Página 213 - ... pas changée; il ya seulement des modifications sur quelques points de cette discipline; mais les dispositions qu'ils contiennent n'en ont pas moins , en vertu de cette stipulation solennelle, une force spéciale qui oblige les parties contractantes à une réciproque et plus étroite observance; de telle sorte que ces traités, bien qu'ils aient pour objet des points de discipline ecclésiastique, prennent cependant le caractère de ceux qu'on appelle internationaux.
Página 297 - Animo libenti et devoto promitto vobis et perdono quia unicuique de vobis et ecclesiis vobis commissis canonicum privilegium et debitam legem atque justitiam servabo.
Página 203 - Jésus-Christ a séparé les deux puissances, en sorte que les empereurs eussent besoin des pontifes pour la vie éternelle, et que les pontifes se servissent des lois des empereurs pour les affaires temporelles '. » LA DISTINCTION DES DEUX POUVOIRS.
Página 8 - Je ne parle pas maintenant de chaque prince ,'mais de la chose même; car, qu'il y ait des gouvernements , que les uns commandent et que les autres obéissent , afin que le monde n'aille pas au hasard , les peuples se laissant pousser ça et là comme les vagues de la mer , je dis que c'est là Tœuvre de l'a divine sagesse.
Página 287 - Pontife est consulté, comme dans une question douteuse et importante, s'il est permis de donner le titre de roi à celui qui a déjà la puissance royale. Il répond que cela est permis. Cette réponse, partie de l'autorité la plus grande qui soit au monde, est regardée comme une décision juste et légitime. En vertu de cette autorité, la nation même ôte le royaume à Childéric, et le transporte à Pépin.