Histoire des littératures étrangères condidérées dans leurs rapports avec le développement de la littérature française: Littératures méridionales. Italie, Espagne

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Hachette et Cie., 1884
 

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Página 193 - Recuerde el alma dormida, avive el seso y despierte, contemplando cómo se pasa la vida, cómo se viene la muerte tan callando; cuan presto se va el placer, cómo después de acordado da dolor, cómo, a nuestro parecer, cualquiera tiempo pasado fue mejor.
Página 140 - Et comme si l'on eût sa part à la conquête, Discourir sur Florence et sur Naples aussi : Seigneuriser chacun d'un baisement de main, Et, suivant la façon du courtisan romain, Cacher sa pauvreté d'une brave apparence ; Voilà de cette cour la plus grande vertu, Dont souvent mal monté, mal sain et mal vêtu, Sans barbe et sans argent, on s'en retourne en France.
Página 139 - En petit bien compris, vous pouvez voir Ce qui comprend beaucoup par renommée : Plume, labeur, la langue et le devoir Furent vaincus par l'amant de l'aimée. 0 gentille âme étant tant estimée, Qui te pourra louer qu'en se taisant? Car la parole est toujours réprimée Quand le sujet surmonte le disant.
Página 103 - Numidae, natos erecta superstat, 415 mente sub incerta torvum ac miserabile frendens ; ilia quidem turbare globos et frangere morsu tela queat, sed prolis amor crudelia vincit pectora, et a media catulos circumspicit ira.
Página 145 - C'est alors que ses cris en tonnerre s'éclatent, Ses soupirs se font vents qui les chênes combattent, Et ses pleurs qui tantôt descendaient mollement Ressemblent un torrent qui des hautes montagnes Ravageant et noyant les voisines campagnes, Veut que tout l'univers ne soit qu'un élément.
Página 240 - Ma flamme assez longtemps n'ait combattu [pour toi : Juge de son pouvoir : dans une telle offense J'ai pu délibérer si j'en prendrais vengeance. Réduit à te déplaire, ou souffrir un affront...
Página 308 - Rodrigue, as-tu du cœur? — Tout autre que mon père L'éprouverait sur l'heure.
Página 57 - 1 ciel ne mostrò, terra nasconde ; Veggio, ed odo, ed intendo ; ch' ancor viva Di sì lontano a' sospir miei risponde. Deh perché innanzi tempo ti consume ? Mi dice con pietate : a che pur versi Degli occhi tristi un doloroso fiume ? Di me non pianger tu ; che miei dì fersi, Morendo, eterni ; e neh" eterno lume, Quando mostrai di chiuder gli occhi, apersi.
Página 374 - Espagnols des sujets qui, traités dans notre goût » par des mains comme les vôtres, produiraient de » grands effets. Apprenez leur langue, elle est aisée; je » m'offre de vous montrer ce que j'en sais, et, jusqu'à » ce que vous soyez en état de lire par vous-même, de » vous traduire quelques endroits de Guillen de Cas
Página 104 - Et altri n' ha tutta la spoglia opima. Se non ne tocca a me frutto ne fiore, Perche affliger per lei mi vo' piu il core ? La verginella e simile alia rosa Ch' in bel giardin su la nativa spina Mentre sola e sicura si riposa, Ne gregge ne pastor se le avvicina : L" aura soave e 1' alba rugiadosa, L' acqua, la terra al suo favor s' inchina : Gioveni vaghi e donne inamorate Amano averne e seni e tempie ornate.

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