Œuvres complètes de m. le vicomte de Chateaubriand: Mélanges littérairesLadvocat, 1826 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 44
Página 26
... poëte , a déjà créé tout un monde de pleurs et de rêve- ries , vous ne trouvez plus rien de ce que l'on vous a promis . Vous voyez un homme qui tour- mente son esprit dans tous les sens , pour en- fanter des idées tendres et tristes ...
... poëte , a déjà créé tout un monde de pleurs et de rêve- ries , vous ne trouvez plus rien de ce que l'on vous a promis . Vous voyez un homme qui tour- mente son esprit dans tous les sens , pour en- fanter des idées tendres et tristes ...
Página 27
... poëte fait sortir des tableaux de la nature ; mais il est certain qu'il la retrouve à chaque pas . Il unit son âme au bruit des vents , qui lui rap- pelle des idées de solitude : une onde qui fuit , c'est la vie ; une feuille qui tombe ...
... poëte fait sortir des tableaux de la nature ; mais il est certain qu'il la retrouve à chaque pas . Il unit son âme au bruit des vents , qui lui rap- pelle des idées de solitude : une onde qui fuit , c'est la vie ; une feuille qui tombe ...
Página 32
... poëte écossois , qui vit encore1 , a répandu dans son Minstrel la rêverie la plus aimable . C'est la peinture des premiers effets de la muse sur un jeune barde de la mon- tagne , qui ignore encore le génie dont il est tourmenté . Tantôt ...
... poëte écossois , qui vit encore1 , a répandu dans son Minstrel la rêverie la plus aimable . C'est la peinture des premiers effets de la muse sur un jeune barde de la mon- tagne , qui ignore encore le génie dont il est tourmenté . Tantôt ...
Página 33
... poëte d'Albion : Grotte , d'où sort ce clair ruisseau , De mousse et de fleur tapissée , N'entretiens jamais ma pensée Que du murmure de ton eau . Fontenay , lieu délicieux , Où je vis d'abord la lumière , Bientôt au bout de ma carrière ...
... poëte d'Albion : Grotte , d'où sort ce clair ruisseau , De mousse et de fleur tapissée , N'entretiens jamais ma pensée Que du murmure de ton eau . Fontenay , lieu délicieux , Où je vis d'abord la lumière , Bientôt au bout de ma carrière ...
Página 34
François-René vicomte de Chateaubriand. C'est un grand poëte que celui - là qui a fait de pareils vers . La page la plus rêveuse d'Young ne peut être comparée à ce passage de J.-J. Rousseau : >> >> « Quand le soir approchoit , je ...
François-René vicomte de Chateaubriand. C'est un grand poëte que celui - là qui a fait de pareils vers . La page la plus rêveuse d'Young ne peut être comparée à ce passage de J.-J. Rousseau : >> >> « Quand le soir approchoit , je ...
Términos y frases comunes
admirable Anglois aujourd'hui auroit avoient avoit avons beau beauté bientôt Boissy-d'Anglas Bonald Bossuet C'étoit canot chant charme chose chrétiens cœur comte de Forbin connoissance connoître consoler désert Dieu dire dom Bouquet duc de Bourgogne écrit écrivains Édouard III enfants esprit étoient étoit fleuve fleuve Mackenzie François François Ier GÉNIE DU CHRISTIANISME gloire goût Grèce heureux Homère hommes Indiens Jean Chandos Jérusalem Jésus-Christ jour l'auteur l'esprit l'histoire l'homme l'Océan littéraires littérature long-temps Louis XIV Mackenzie madame de Staël Malesherbes malheurs ment Michaud mœurs monde montagnes Montagnes Rocheuses monuments mort muses nation nature naturel noble ouvrage parle paroît passé patrie pensée Père de Ligny peuple philosophie pleurs poëme poésie poëte politique pourroit pouvoit premier prince qu'un quelquefois raison religieux religion reste rivière Rollin ruines Saint sauvages scène semble sentiments seroit seul Shakspeare siècle société sort style tableau talent terre tombeau trouve vérité vertus Voltaire voyage voyageur
Pasajes populares
Página 34 - Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence sans prendre la peine de penser.
Página 306 - C'est en vain que Néron prospère, Tacite est déjà né dans l'Empire ; il croît inconnu auprès des cendres de Germanicus , et déjà l'intègre Providence a livré à un enfant obscur la gloire du maître du monde.
Página 193 - Full many a gem of purest ray serene The dark unfathom'd caves of ocean bear : Full many a flower is born to blush unseen, And waste its sweetness on the desert air. Some village- Hampden, that, with dauntless breast, The little tyrant of his fields withstood, Some mute inglorious Milton here may rest, Some Cromwell guiltless of his country's blood. Th...
Página 42 - Talions voir dépouillée même de cette triste décoration. Elle va descendre, à ces sombres lieux, à ces demeures souterraines, pour y dormir dans la poussière avec les grands de la terre...
Página 31 - They, looking back, all the eastern side beheld Of Paradise, so late their happy seat, Waved over by that flaming brand; the gate With dreadful faces thronged and fiery arms. Some natural tears they dropped, but wiped them soon; The world was all before them, where to choose Their place of rest, and Providence their guide. They, hand in hand, with wandering steps and slow, Through Eden took their solitary way.
Página 345 - Quand je vois, dit Montaigne, ces braves formes de s'expliquer, si vives, si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je dis que c'est bien penser.
Página 287 - Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations, Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme, Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme, Pour prendre de la main d'un avide imprimeur Celui de ridicule et misérable auteur.
Página 33 - Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie. La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie; Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix?
Página 313 - Suave, mari magno turbantibus aequora ventis, E terra magnum alterius spectare laborem ; Non quia vexari quemquamst iucunda voluptas, Sed quibus ipse malis careas quia cernere suave est.
Página 36 - Ah fields belov'd in vain, Where once my careless childhood stray'd, A stranger yet to pain ! I feel the gales, that from ye blow, A momentary bliss bestow, As waving fresh their gladsome wing, My weary soul they seem to sooth, And, redolent of joy and youth, To breathe a second spring.