Œuvres complètes de m. le vicomte de Chateaubriand: Mélanges littérairesLadvocat, 1826 |
Dentro del libro
Resultados 1-5 de 22
Página 8
... bras , et dans laquelle sont des fruits et un livre ; toutes tenant les yeux . baissés , toutes rougissant lorsqu'on les regarde . Quand j'ai revu nos petites Françoises coiffées à l'huile antique , relevant la queue de leur robe MÉLANGES.
... bras , et dans laquelle sont des fruits et un livre ; toutes tenant les yeux . baissés , toutes rougissant lorsqu'on les regarde . Quand j'ai revu nos petites Françoises coiffées à l'huile antique , relevant la queue de leur robe MÉLANGES.
Página 75
... livre . J'aime mieux agrandir l'homme devant l'homme , que de le rapetisser à ses yeux . D'ailleurs , on s'instruit mieux par l'admiration que par le dégoût ; l'une vous révèle la présence du génie , l'autre se borne à vous découvrir ...
... livre . J'aime mieux agrandir l'homme devant l'homme , que de le rapetisser à ses yeux . D'ailleurs , on s'instruit mieux par l'admiration que par le dégoût ; l'une vous révèle la présence du génie , l'autre se borne à vous découvrir ...
Página 80
... livre - toi aux illusions et à l'espérance ; trop tôt , hélas ! l'espérance et les illusions s'évanouiront elles - mêmes . Quand la cloche du soir , balancée dans les airs , char- geoit de ses gémissements la brise solitaire , le jeune ...
... livre - toi aux illusions et à l'espérance ; trop tôt , hélas ! l'espérance et les illusions s'évanouiront elles - mêmes . Quand la cloche du soir , balancée dans les airs , char- geoit de ses gémissements la brise solitaire , le jeune ...
Página 131
... en permettent l'emploi ; malheur réel , tourment de l'homme , si elles le contrarient . Ce passage est tiré du livre même que nous annonçons aujourd'hui au public . Rien n'est plus touchant et en même temps plus triste que les 9 .
... en permettent l'emploi ; malheur réel , tourment de l'homme , si elles le contrarient . Ce passage est tiré du livre même que nous annonçons aujourd'hui au public . Rien n'est plus touchant et en même temps plus triste que les 9 .
Página 150
... livre où tout se trouve : Non des illi potesta- tem in juventute , et ne despicias cogitatus illius . Bientôt parut cette société fameuse qui donna le Tasse à l'Italie et Voltaire à la France , et dont , pour ainsi dire , chaque membre ...
... livre où tout se trouve : Non des illi potesta- tem in juventute , et ne despicias cogitatus illius . Bientôt parut cette société fameuse qui donna le Tasse à l'Italie et Voltaire à la France , et dont , pour ainsi dire , chaque membre ...
Términos y frases comunes
admirable Anglois aujourd'hui auroit avoient avoit avons beau beauté bientôt Boissy-d'Anglas Bonald Bossuet C'étoit canot chant charme chose chrétiens cœur comte de Forbin connoissance connoître consoler désert Dieu dire dom Bouquet duc de Bourgogne écrit écrivains Édouard III enfants esprit étoient étoit fleuve fleuve Mackenzie François François Ier GÉNIE DU CHRISTIANISME gloire goût Grèce heureux Homère hommes Indiens Jean Chandos Jérusalem Jésus-Christ jour l'auteur l'esprit l'histoire l'homme l'Océan littéraires littérature long-temps Louis XIV Mackenzie madame de Staël Malesherbes malheurs ment Michaud mœurs monde montagnes Montagnes Rocheuses monuments mort muses nation nature naturel noble ouvrage parle paroît passé patrie pensée Père de Ligny peuple philosophie pleurs poëme poésie poëte politique pourroit pouvoit premier prince qu'un quelquefois raison religieux religion reste rivière Rollin ruines Saint sauvages scène semble sentiments seroit seul Shakspeare siècle société sort style tableau talent terre tombeau trouve vérité vertus Voltaire voyage voyageur
Pasajes populares
Página 34 - Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence sans prendre la peine de penser.
Página 306 - C'est en vain que Néron prospère, Tacite est déjà né dans l'Empire ; il croît inconnu auprès des cendres de Germanicus , et déjà l'intègre Providence a livré à un enfant obscur la gloire du maître du monde.
Página 193 - Full many a gem of purest ray serene The dark unfathom'd caves of ocean bear : Full many a flower is born to blush unseen, And waste its sweetness on the desert air. Some village- Hampden, that, with dauntless breast, The little tyrant of his fields withstood, Some mute inglorious Milton here may rest, Some Cromwell guiltless of his country's blood. Th...
Página 42 - Talions voir dépouillée même de cette triste décoration. Elle va descendre, à ces sombres lieux, à ces demeures souterraines, pour y dormir dans la poussière avec les grands de la terre...
Página 31 - They, looking back, all the eastern side beheld Of Paradise, so late their happy seat, Waved over by that flaming brand; the gate With dreadful faces thronged and fiery arms. Some natural tears they dropped, but wiped them soon; The world was all before them, where to choose Their place of rest, and Providence their guide. They, hand in hand, with wandering steps and slow, Through Eden took their solitary way.
Página 345 - Quand je vois, dit Montaigne, ces braves formes de s'expliquer, si vives, si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je dis que c'est bien penser.
Página 287 - Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations, Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme, Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme, Pour prendre de la main d'un avide imprimeur Celui de ridicule et misérable auteur.
Página 33 - Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie. La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie; Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix?
Página 313 - Suave, mari magno turbantibus aequora ventis, E terra magnum alterius spectare laborem ; Non quia vexari quemquamst iucunda voluptas, Sed quibus ipse malis careas quia cernere suave est.
Página 36 - Ah fields belov'd in vain, Where once my careless childhood stray'd, A stranger yet to pain ! I feel the gales, that from ye blow, A momentary bliss bestow, As waving fresh their gladsome wing, My weary soul they seem to sooth, And, redolent of joy and youth, To breathe a second spring.