Œuvres complètes de m. le vicomte de Chateaubriand: Mélanges littérairesLadvocat, 1826 |
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... chrétiens et des philoso- phes . On peut dire en effet que , s'il étoit prouvé que la parole est révélée et non inventée , on auroit une preuve physique de l'existence de Dieu , et Dieu n'auroit pu donner le verbe à l'homme sans lui ...
... chrétiens et des philoso- phes . On peut dire en effet que , s'il étoit prouvé que la parole est révélée et non inventée , on auroit une preuve physique de l'existence de Dieu , et Dieu n'auroit pu donner le verbe à l'homme sans lui ...
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... chrétiens . Les peuples- païens ont été des barbares . Il faut entendre le mot barbare dans le sens de l'auteur . Les arts pour lui ne constituent pas un peuple civilisé , mais un peuple policé . Il n'attache le mot de civilisation qu ...
... chrétiens . Les peuples- païens ont été des barbares . Il faut entendre le mot barbare dans le sens de l'auteur . Les arts pour lui ne constituent pas un peuple civilisé , mais un peuple policé . Il n'attache le mot de civilisation qu ...
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... chrétiens . Le perfectionnement de la société politique en Europe a été de faire passer les hommes de l'état domestique à l'état public et fixe des peuples civilisés qui composent la chrétienté . Le lecteur doit s'apercevoir ici qu'il a ...
... chrétiens . Le perfectionnement de la société politique en Europe a été de faire passer les hommes de l'état domestique à l'état public et fixe des peuples civilisés qui composent la chrétienté . Le lecteur doit s'apercevoir ici qu'il a ...
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... chrétiens d'une foi assez foible , pour penser qu'elles seront moins respectées à mesure qu'elles se- ront plus connues . Au milieu des violentes critiques qui nous ont assailli dès nos premiers pas dans la littérature , nous avouerons ...
... chrétiens d'une foi assez foible , pour penser qu'elles seront moins respectées à mesure qu'elles se- ront plus connues . Au milieu des violentes critiques qui nous ont assailli dès nos premiers pas dans la littérature , nous avouerons ...
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... chrétiens se prosternent au pied des autels : le foible pour prier le Dieu de force , le coupa- ble pour implorer le Dieu de miséricorde , l'in- nocent pour chanter le Dieu de bonté . Un paysage paroît - il nu , triste et désert ...
... chrétiens se prosternent au pied des autels : le foible pour prier le Dieu de force , le coupa- ble pour implorer le Dieu de miséricorde , l'in- nocent pour chanter le Dieu de bonté . Un paysage paroît - il nu , triste et désert ...
Términos y frases comunes
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Pasajes populares
Página 34 - Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence sans prendre la peine de penser.
Página 306 - C'est en vain que Néron prospère, Tacite est déjà né dans l'Empire ; il croît inconnu auprès des cendres de Germanicus , et déjà l'intègre Providence a livré à un enfant obscur la gloire du maître du monde.
Página 193 - Full many a gem of purest ray serene The dark unfathom'd caves of ocean bear : Full many a flower is born to blush unseen, And waste its sweetness on the desert air. Some village- Hampden, that, with dauntless breast, The little tyrant of his fields withstood, Some mute inglorious Milton here may rest, Some Cromwell guiltless of his country's blood. Th...
Página 42 - Talions voir dépouillée même de cette triste décoration. Elle va descendre, à ces sombres lieux, à ces demeures souterraines, pour y dormir dans la poussière avec les grands de la terre...
Página 31 - They, looking back, all the eastern side beheld Of Paradise, so late their happy seat, Waved over by that flaming brand; the gate With dreadful faces thronged and fiery arms. Some natural tears they dropped, but wiped them soon; The world was all before them, where to choose Their place of rest, and Providence their guide. They, hand in hand, with wandering steps and slow, Through Eden took their solitary way.
Página 345 - Quand je vois, dit Montaigne, ces braves formes de s'expliquer, si vives, si profondes, je ne dis pas que c'est bien dire, je dis que c'est bien penser.
Página 287 - Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations, Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme, Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme, Pour prendre de la main d'un avide imprimeur Celui de ridicule et misérable auteur.
Página 33 - Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie. La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie; Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix?
Página 313 - Suave, mari magno turbantibus aequora ventis, E terra magnum alterius spectare laborem ; Non quia vexari quemquamst iucunda voluptas, Sed quibus ipse malis careas quia cernere suave est.
Página 36 - Ah fields belov'd in vain, Where once my careless childhood stray'd, A stranger yet to pain ! I feel the gales, that from ye blow, A momentary bliss bestow, As waving fresh their gladsome wing, My weary soul they seem to sooth, And, redolent of joy and youth, To breathe a second spring.