Mémoires sur la vie et les ouvrages de Jean Racine, par Louis Racine. La Thébaïde, ou Les frères ennemis. Alexandre le Grand. AndromaqueLefèvre, 1820 |
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... trépas ; - Ma tête achèvera l'office de mon bras . « Il s'approche à ces mots , lui veut ôter l'épée . Mais sa main est à peine à cette œuvre occupée , Que l'autre , ramassant un reste de vigueur , « Que la haine entretient à l'entour ...
... trépas ; - Ma tête achèvera l'office de mon bras . « Il s'approche à ces mots , lui veut ôter l'épée . Mais sa main est à peine à cette œuvre occupée , Que l'autre , ramassant un reste de vigueur , « Que la haine entretient à l'entour ...
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... trépas ... JOCASTE . Ah ciel ! quelle rigueur ! Que vous pénétrez mal dans le fond de mon cœur ! Je ne demande pas que vous quittiez l'empire : Régnez toujours , mon fils , c'est ce que je desire . Mais si tant de malheurs vous touchent ...
... trépas ... JOCASTE . Ah ciel ! quelle rigueur ! Que vous pénétrez mal dans le fond de mon cœur ! Je ne demande pas que vous quittiez l'empire : Régnez toujours , mon fils , c'est ce que je desire . Mais si tant de malheurs vous touchent ...
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... trépas , le droit de la naissance2 Fait tomber en vos mains la suprême puissance , Le sang qui vous unit aux deux princes mes fils , Vous fait trouver en eux vos plus grands ennemis ; Et votre ambition , qui tend à leur fortune , Vous ...
... trépas , le droit de la naissance2 Fait tomber en vos mains la suprême puissance , Le sang qui vous unit aux deux princes mes fils , Vous fait trouver en eux vos plus grands ennemis ; Et votre ambition , qui tend à leur fortune , Vous ...
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... trépas . HÉMON . Mais enfin qu'ai - je fait , en ce malheur extrême , Que ne m'ait ordonné ma princesse elle - même ? J'ai suivi Polynice ; et vous l'avez voułu : Vous me l'avez prescrit par un ordre absolu . Je lui vouai dès - lors une ...
... trépas . HÉMON . Mais enfin qu'ai - je fait , en ce malheur extrême , Que ne m'ait ordonné ma princesse elle - même ? J'ai suivi Polynice ; et vous l'avez voułu : Vous me l'avez prescrit par un ordre absolu . Je lui vouai dès - lors une ...
Página 212
... trépas ensanglante vos terres . » ANTIGONE . O Dieux , que vous a fait ce sang infortuné ? Et pourquoi tout entier l'avez - vous condamné ? N'êtes - vous pas contents de la mort de mon père ? Tout notre sang doit - il sentir votre ...
... trépas ensanglante vos terres . » ANTIGONE . O Dieux , que vous a fait ce sang infortuné ? Et pourquoi tout entier l'avez - vous condamné ? N'êtes - vous pas contents de la mort de mon père ? Tout notre sang doit - il sentir votre ...
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Términos y frases comunes
Alexandre amant amour Andromaque ANTIGONE ATTALE auroit avoient avoit AXIANE beau Boileau CÉPHISE charmes cher chose CLÉOFILE CLÉONE cœur combat connois connoître Corneille courroux Créon crime cruel d'Alexandre d'Andromaque d'Hector d'Hermione d'Oreste déja devoit dieux dire disoit douleur éditions enfin ennemis ÉPHESTION ÉTÉOCLE étoient étoit Euripide faisoit fils frère fureur gloire goût grace Grecs haine Harpe Hémon HERMIONE heureux homme j'ai jamais JOCASTE jour l'amour l'auteur laisse lettres long-temps Louis Racine m'en madame de Maintenon madame de Montespan madame de Sévigné malheureux mort mourir n'avoit n'étoit OLYMPE ORESTE paix parcequ'il parceque parler paroît passion père Phèdre PHOENIX pièce pleurs poésie poëte Polynice Port-Royal Porus pouvoit première prince PYLADE Pyrrhus qu'un régner rien rois sang scène seigneur sentiments seroit seul sœur soin sort soupirs style sujet Taxile théâtre Thèbes tragédie trépas trône trouve vainqueur venger veut veux victoire vouloit yeux
Pasajes populares
Página 498 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix, et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux . Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux.
Página 513 - Songe, songe, Céphise, à cette nuit cruelle Qui fut pour tout un peuple une nuit éternelle. Figure-toi Pyrrhus, les yeux étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants Sur tous mes frères morts se faisant un passage; Et de sang tout couvert échauffant le carnage Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés sous le fer expirants.
Página 45 - Pour toute ambition, pour vertu singulière, II excelle à conduire un char dans la carrière, A disputer des prix indignes de ses mains, A se donner lui-même en spectacle aux Romains, A venir prodiguer sa voix sur un théâtre, A réciter des chants qu'il veut qu'on idolâtre ; Tandis que des soldats, de moments en moments, Vont arracher pour lui les applaudissements.
Página 542 - Où suis-je? Qu'ai-je fait? Que dois-je faire encore? Quel transport me saisit? Quel chagrin me dévore? Errante et sans dessein, je cours dans ce palais. Ah! ne puis-je savoir si j'aime ou si je hais? Le cruel ! de quel œil il m'a congédiée : Sans pitié, sans douleur au moins étudiée ! L'ai-je vu se troubler et me plaindre un moment?
Página 515 - Chère épouse , dit-il en essuyant mes larmes , • J'ignore quel succès le sort garde à mes armes ; « Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : « S'il me perd , je prétends qu'il me retrouve en toi. « Si d'un heureux hymen la mémoire t'est chère , « Montre au fils à quel point tu chérissais le père.
Página 53 - J'ai peu de voix pour moi, mais je les ai sans brigue, Et mon ambition, pour faire plus de bruit...
Página 460 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie , J'allais , seigneur , pleurer un moment avec lui : Je ne l'ai point encore embrassé d'aujourd'hui ! PYRRHUS.
Página 557 - Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Página 465 - Je vous offre mon bras ; puis-je espérer encore Que vous accepterez un cœur qui vous adore ? En combattant pour vous, me sera-t-il permis ' De ne vous point compter parmi mes ennemis ? ANDROMAQUE.
Página 39 - Au Cid persécuté Cinna doit sa naissance ; Et peut-être ta plume aux censeurs de Pyrrhus * Doit les plus nobles traits dont tu peignis Burrhus.